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La première manche pour Saint-Servais - 25/04/2005

La finale des play-off a démarré samedi soir avec la victoire des tenants du titre du Dexia Namur 85 à 65 sur les Flandriennes de IMC Waregem. Deuxième manche, mercredi à 20h30 à Waregem.

Pourquoi changer ? Cultivons la victoire ! - 22/04/2005

Réunis au début de l’année, les clubs de division I, hormis les deux clubs namurois, ont opté pour une élite à douze clubs en 2005-2006. Si les arguments individuels peuvent sembler légitimes, elle ne sert en rien la cause et la valeur du basket féminin belge dans son ensemble. Il faut être réaliste : il n’existe pas suffisamment de joueuses en Belgique capables de composer l’ossature de 12 clubs, même 11 si l’on fait abstraction du Dexia Namur tourné vers les joueuses étrangères. Dix clubs parmi l’élite constituent un strict maximum. Le problème ne se situe pas uniquement dans le nombre de joueuses aptes à évoluer parmi l’élite. Quoique, déjà, l’exemple de Tournai, qui s’est déplacé plus d’une fois, à six joueuses durant la deuxième phase, celui de St-Katelijne Waver qui joue son dernier match à 8, ou celui-ci de Spirou PDL Charleroi confronté presque constamment à un problème d’effectif, pour ne citer que ceux-là, devraient déjà faire réfléchir. Les blessures et les absences, pour raisons professionnelles ou estudiantines, sont des données inéluctables et loin d’être exceptionnelles. Imaginez, surtout, un peu comment se passent les entraînements avec un effectif aussi réduit. Combien de clubs peuvent se vanter de dispenser à leur groupe trois entraînements de bonne valeur à leurs joueuses en nombre suffisant ! Ils se comptent sur les doigts d’une main. Impossible de disputer des « cinq contre cinq » de bon niveau, ou même le plus souvent, tout court… Personne ne progresse, personne n’avance, sans compter, sans avoir assez des dix doigts de ces mêmes mains, le nombre de clubs ayant mis la clé sous le paillasson pour n’avoir pu franchir le gouffre les séparant de l’élite. On passera aussi sur les clubs faussant le championnat de division II, actuellement régionale 1, l’envie de ne pas monter primant sur la régularité sportive, et ce, de façon aussi flagrante que certains clubs n’hésitent pas à déclarer forfait en fin de championnat. Alors, oui, dix clubs c’est un grand maximum !

Des cadettes nationales
Il y a assez de places pour les jeunes joueuses aussi talentueuses que capables d’évoluer en division I. Mais les envoyer au casse-pipe ne sert à rien non plus. Place à la formation, au travail et à la compétitivité. Quelle aberration d’avoir supprimé le championnat Espoir ! Deerlijk et Gand ont mis la clé de l’élite sous le paillasson, en grande partie pour cette raison. Est-ce pourtant si contraignant de s’occuper d’une formation de jeunes ? Ne prenons pas exemple sur le premier club du pays qui ne joue pas son rôle ! Existe-il une raison valable de ne pas relancer un championnat national de jeunes ? Nous sommes bien d’accord qu’une jeune, si elle est talentueuse, jouera en dames. Prenons des cadettes alors. Le club qui veut jouer en D1 doit garantir une formation cadettes nationales. C’est presque un devoir, il convient d’ajouter que certains s’en chargent à merveille !

Un lieu, une promotion…
D’autres astuces existent pour promouvoir le basket féminin belge. Pourquoi ne pas disputer la première journée de compétition en seul lieu. En Flandres ou en Wallonie ? Au diable ! Ça tombe bien, avec une élite à dix clubs la saison prochaine, il y a six clubs wallons et quatre néerlandophones. Pourquoi pas trois matches en Wallonie le samedi entre les Wallons, deux matches en Flandres, le dimanche, ou inversement. N’oublions pas les cadettes … Question publicité et promotion médiatique, il n’y a pas mieux pour un sport mineur !

Une Coupe BNT Dames…
Les clubs se plaignent de la domination sans partage de Dexia Namur sur le championnat. Le club namurois a raison. Ce n’est pas à lui à régresser, c’est aux autres à progresser. Mais, avec la bénédiction des championnes de Belgique occupées par l’Euroligue, pourquoi ne pas créer une Coupe de la « Ligue » ou une Coupe du BNT Dames ? Les clubs n’ont pas hésité à se prononcer pour un départ de Dexia Namur dans le championnat de France. Ce ne sera jamais le cas dans la configuration actuelle. Alors pourquoi pas une formule avec les neuf clubs restants pour un trophée belge ? Une bonne affaire pour le vainqueur, pour les sponsors, pour l’intérêt. Quels sont désormais les dirigeants prêts à investir et prêts au sacrifice pour être deuxième ? Poser la question, c’est y répondre. Alors que les clubs soient cohérents ! Une finale au « best of five » ? Dexia Namur est déjà imbattable en un match, alors imaginez un club devant gagner à trois reprises pour s’approprier le titre et créer l’exploit. Dexia Namur est victime de son succès, qu’il ne pleurniche pas, c’est dans l’air du temps, même Michael Schumacher et Ferrari s’accommodent très bien, avec intelligence, de cet acharnement à les faire tomber de leur piédestal.

Les initiatives des sport-études à Merksem côté VBL et à Jambes côté AWBB ne doivent pas rester lettre morte. Le talent chez nos jeunes est là. C’est indéniable. Mais ces talents-là, arrivés dans le giron de la division I et de la vie active, ne progressent plus ! Il est grand temps de parler de compétitivité et, non plus, de sport pour tous, d’autres s’en occupent avec talent. S’il vous plaît, messieurs les décideurs, pensez à l’avenir de notre basket féminin, il en vaut la peine ! Ce n’est pas qu’une question de moyens, c’est une question de mentalité. Cultivons la victoire !

Waarom veranderen ? Cultivons la victoire ! - 22/04/2005

In het begin van dit seizoen hebben de clubs van de eerste afdeling, buiten de 2 Naamse clubs gerekend, geopteerd voor een elite van 12 clubs in 2005-2006. Als individuele argumenten legitiem kunnen lijken, draagt het niet bij aan de waarde van het Belgische dames basketbal in het algemeen. Men moet realistisch blijven: er zijn niet genoeg speelsters die in staat zijn de kern van 12 clubs samen te stellen, zelfs 11 als we Dexia Namur die voor buitenlandse speelsters opteert, buiten beschouwing laten. Tien clubs binnen de elite is een strict maximum. Het probleem situeert zich niet enkel in het aantal speelsters die bekwaam zijn om in de elite te evolueren. Om slechts enkele voorbeelden te citeren: Doornik dat meer dan één keer gespeeld heeft met 6 speelsters gedurende de tweede fase en St Katelijne Waver die haar laatste wedstrijd met 8 speelt, of Spirou bijna altijd geconfronteerd met een speelstersprobleem. Dit stemt tot nadenken. De blessures en de afwezigheden ten gevolge van studie of werk, zijn onvermijdelijke gegevens en verre van uitzonderlijk. Beeld u zich vooral in op welke manier de trainingen verlopen met een dergelijk verminderd effectief. Hoeveel clubs kunnen zich veroorloven 3 kwalitatieve trainingen te geven met een onvoldoende aantal speelsters? Men kan ze op één hand tellen. Onmogelijk om 5 tegen 5 te spelen op een goed niveau of zelfs helemaal niet. Niemand evolueert, gaat vooruit. We hebben niet genoeg handen om de clubs te tellen die de handdoek hebben moeten werpen omdat de kloof tussen hen en de elite te groot is. En ook de clubs die de competitie in tweede afdeling, eerste landelijke genoemd, vervalsen. De wens om niet te willen stijgen primeert op het sportive resultaat. Er zijn zelfs clubs die forfait geven aan het einde van de competitie. Zodus jawel, 10 clubs is een groot maximum!!!

De nationale kadetten
Er is genoeg plaats voor jonge talentrijke speelsters die bekwaam zijn om in eerste nationale te evolueren. Maar om ze dan verloren te laten gaan, dat dient tot niets. Plaats aan opleiding, werk en competitie. Wat een verontwaardiging om de competitie voor beloften te hebben geschrapt!
Deerlijk en Gent hebben vorig seizoen om deze reden er de brui aan gegeven. Is het zo belastend om zich met de vorming van jongeren bezig te houden? Laten we niet het voorbeeld geven van de eerste club van het land die deze rol niet op zich neemt! Bestaat er geen waardige reden om een nationale jeugdcompetitie herop te starten? We zijn akkoord dat een jonge, talentrijke speelster al bij de dames zal spelen. Laten we dan kadetten nemen. De club die in eerste nationale wil spelen moet de vorming van nationale kadetten garanderen. Het is bijna een verplichting ! We zijn akkoord dat enkele clubs deze role al zeer goed vervullen!

Een plaats, een promotie
Andere kleinigheden bestaan om het Belgische Dames basketbal te promoveren. Waarom de eerste speeldag van de competitie niet in één enkele zaal te laten spelen. In Vlaanderen of in Wallonië? Naar de duivel ermee! Dat komt goed uit met een elite van 10 clubs volgend seizoen. Er zijn 6 waalse en 4 vlaamse clubs. Drie wedstrijden zaterdag in Wallonië, 2 wedstrijden zondag in vlaanderen, of omgekeerd. Laten we de kadetten niet vergeten.... Er bestaat niet beter voor een minderwaarige sport wat betreft reclame en mediatisering !

Een Trofee “BNT dames”
De clubs klagen over de dominantie van Dexia op de competitie. De Naamse club heeft gelijk. Het is niet aan hen om achteruit te gaan, maar aan de anderen om vooruit te gaan. Met het akkoord van de Begische kampioen, bezig met de Euroligue, waarom geen Liga beker of een BNT damesbeker stichten? De clubs hebben niet getwijfeld zich uit te spreken voor een vertrek van Dexia namur naar de Franse competitie. Dit zou op dit ogenblik in de actuele naamse structuur niet mogelijk zijn. Zodus een formule van 9 resterende clubs voor één Belgische Trofee. Een goede zaak voor de winnaar, de sponsors en de belangstelling. Wie zijn heden de bestuursleden die klaar zijn en willen investeren in een tweede plaats? De vraag stellen, is ze beantwoorden. De clubs dienen logisch te zijn. Een finale naar “de best of five”? Dexia is al onverslaanbaar in één match. Dus stel u voor: een club die drie wedstrijden moeten winnen om de titel te behalen en een verrassing te creëren. Dexia Namen is het slachtoffer van zijn succes. Heden ten dage is het in de mode. Bijvoorbeeld Michael Schumacher en Ferrari die samen goed varen, probeert men met halstarrigheid van hun eerste plaats te verdrijven.

De initiatieven van de sportscholen te Merksem (VBL) en te Jambes (AWBB) mogen niet zonder vervolg blijven. Het talent bij onze jeugd is daar. Dat is zeker. Maar die talenten die aankomen in eerste nationale gaan niet meer vooruit! Het is de hoogste tijd om over competitie te spreken en niet meer over sport voor allen. Anderen zullen hier zich wel over ontfermen. AUB mijnheren, denk aan de toekomst van het Belgische vrouwen basketbal. Ze is de moeite waard! Het is niet enkel kwestie van middelen, maar meer een kwestie van mentaliteit. ....Cultivons la victoire !

Play-off - Waregem et D. Namur en finale - 18/04/2005

IMC Waregem a rejoint la finale des play-off du championnat de Belgique grâce à sa large victoire sur Wytewa Roeselare en demi-finale. Déjà victorieuses 78 à 37 dans leur salle, les Flandriennes de Marc Foucart ont récidivé samedi soir: 38 à 67. Dimanche, Dexia Namur entérinera sa seconde manche en déplacement au Novia Namur en essayant d'y ajouter la manière, ce que contestera une dernière fois les filles de Didier Prinsen. La première manche avait vu les Saint-Servaitoises s'imposer 69 à 52 au Hall Octave Henry.

Spirou PDL Charleroi sauvé - 18/04/2005

Quoiqu'il puisse arriver parmi l'élite pour la saison prochaine, Spirou PDL Charleroi en sera. Les Lupipontaines de Etienne Louvrier, qui devrait rester à la barre la saison prochaine, ont battu...

Evelien Callens en route pour le Dexia Namur - 17/04/2005

Après la meneuse du Novia Namur, Marjorie Carpréaux, Dexia Namur se prépare à enroler l'ailière de IMC Waregem, Evelien Callens. La formation saint-servaitoise prend forme pour la saison prochaine après l'annonce faite de la prolongation de contrat de la Russe Natalia Khalturina et de Sophie Charlier.

C'est quoi ce cirque? - 11/04/2005

Sans revenir sur les multiples changements de règlements en cours de saison les années précédentes, sans parler du fait que la finale de la Coupe de Belgique est reléguée en fin d'après-midi après celle des messieurs, bien à l'écart de l'attention médiatique et de toute publicité, en soulignant que cette année à Louvain au Sportplaza, le site de la Fédération belge annonçait la finale à 18 heures, celui de l'AWBB à 18h30... C'est finalement la fédération wallonne qui a eu raison puisque la finale a démarré avec du retard parce que ces Meeesssieurs de la fédération avaient oublié que, depuis cette saison, les ballons pour les dames font une taille "en-dessous". Eh bien, cette fois, la dernière journée de la dernière phase s'achève et personne ne connaît la composition des demi-finales! Affligeant...

Sprimont se stabilise pour l'élite - 10/04/2005

Néo-promues en division I la saison prochaine, les Sprimontoises ont entamé la première étape de leurs démarches en vue de constituer leur noyau pour l'élite. Premières informations pour la...

Dujeux reste au Novia, Swaab quitte - 10/04/2005

Deux nouvelles concernant le Novia Namur pour la saison prochaine. Malgré la déception de la tournure prise par les demi-finales de play-off, les dirigeants namurois s'activent pour la saison...

Marjorie Carpréaux au Dexia Namur - 10/04/2005

Les voies de Dexia Namur ne sont pas impénétrables. Il apparaît que Marjorie Carpréaux portera le maillot du Dexia Namur la saison prochaine. La jeune meneuse du Novia devrait prendre la direction de Saint-Servais pour rejoindre les championnes de Belgique dans le sillage de Krystyna Szymanska-Lara.
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