A 32 ans, Stéphanie Dubuc a décidé de mettre un terme à sa carrière. Après 17 années en division 1, dont 14 passées dans les clubs narmurois, la Couvinoise aura sans doute été l’une des joueuses ayant disputé le plus de rencontres européennes (64 en 11 saisons de Coupe d’Europe).
Ex-internationale, Stéphanie Dubuc avait trouvé refuge à Liège Panthers depuis son départ de Belfius Namur en 2015. Deux saisons plus tard et avec une nouvelle orientation professionnelle, la combinaison avec le basket devenait de plus en plus difficile et pour Stéphanie Dubuc, le “moment est venu de se retirer. Ce n’est pas une décision facile à prendre parce que physiquement et au niveau basket je suis bien, j'ai encore quelques possibilités, mais cela fait quelques mois que j’y pense. Cela devenait de plus en plus pesant de combiner avec mon boulot à temps plein. Ma décision est dans la tête depuis un moment. Cela fait juste bizarre de l’annoncer, mais il est temps de passer à autre chose pour moi.”
Stéphanie Dubuc, c’est la joueuse clubman par excellence. Son éviction de Belfius Namur en 2015 lui avait d’ailleurs particulièrement fait mal, elle qui, discrète, n’avait de cesse de se dévouer corps et âmes pour ses couleurs namuroises. Une seule grosse blessure aura émaillé sa carrière avec une déchirure des ligaments du genou, qui fit capoter une expérience prévue en Suisse.
Ex-internationale, Stéphanie Dubuc avait trouvé refuge à Liège Panthers depuis son départ de Belfius Namur en 2015. Deux saisons plus tard et avec une nouvelle orientation professionnelle, la combinaison avec le basket devenait de plus en plus difficile et pour Stéphanie Dubuc, le “moment est venu de se retirer. Ce n’est pas une décision facile à prendre parce que physiquement et au niveau basket je suis bien, j'ai encore quelques possibilités, mais cela fait quelques mois que j’y pense. Cela devenait de plus en plus pesant de combiner avec mon boulot à temps plein. Ma décision est dans la tête depuis un moment. Cela fait juste bizarre de l’annoncer, mais il est temps de passer à autre chose pour moi.”
Stéphanie Dubuc, c’est la joueuse clubman par excellence. Son éviction de Belfius Namur en 2015 lui avait d’ailleurs particulièrement fait mal, elle qui, discrète, n’avait de cesse de se dévouer corps et âmes pour ses couleurs namuroises. Une seule grosse blessure aura émaillé sa carrière avec une déchirure des ligaments du genou, qui fit capoter une expérience prévue en Suisse.
Elle avait rejoint le Mosa james en 1999 rejoignant l’équipe première jusqu’en 2003, suivant ensuite les fusionnés avec le Féminamur pour porter les couleurs du Novia jusqu’en 2008. Elle sera toujours de la partie après la fusion entre le Novia et Dexia Namur réduisant de trois à un seul le nombre de clubs narmuois au sein de l’élite. Dexia s’appelant Belfius en 2010, elle y restera jusqu’en 2015, année aussi d’un 8e de finale d’Eurocup. Deux fois championnes de Belgique avec un doublé Coupe championnat (en 2009 et 2013), trios fois finalistes de la Coupe de Belgique et deux fois vice-championnes de Belgique. Elle fut élue 2e du réferendum de la joueuse de l’année en 2008, derrière Nele Deyaert.
"Le doublé Coupe-Championnat, mes premiers titres, reste l'un des plus beaux souvenirs. C'était ma première année pro et l'ambiance au sein du groupe était super. Ensuite, il y en a d'autres au bout de 17 ans.. mais les rencontres de Coupe d'Europe restent particulières. C'est un autre jeu, un autre basket, une ambiance pour la préparation, les 3 jours en déplacement. Mes parents ont joué un grand rôle me permettant d'aller à Namur 3 à 4 fois par semaine et Didier Prinsen aussi. Il est venu me chercher quand j'avais 14 ans à Couvin. J'en ai pris pour mon grade, mais il m'a amené là où je suis.", ajouté encore Stéphanie Dubuc, ex-internationale, dont la carrière s'est donc achevée samedi en quarts de finale des play-off à Kangoereoes Willebroek.
"Le doublé Coupe-Championnat, mes premiers titres, reste l'un des plus beaux souvenirs. C'était ma première année pro et l'ambiance au sein du groupe était super. Ensuite, il y en a d'autres au bout de 17 ans.. mais les rencontres de Coupe d'Europe restent particulières. C'est un autre jeu, un autre basket, une ambiance pour la préparation, les 3 jours en déplacement. Mes parents ont joué un grand rôle me permettant d'aller à Namur 3 à 4 fois par semaine et Didier Prinsen aussi. Il est venu me chercher quand j'avais 14 ans à Couvin. J'en ai pris pour mon grade, mais il m'a amené là où je suis.", ajouté encore Stéphanie Dubuc, ex-internationale, dont la carrière s'est donc achevée samedi en quarts de finale des play-off à Kangoereoes Willebroek.
