Sven Van Camp (photo: Ann Dee)
Sven Van Camp (photo: Ann Dee)
Pour la 4e année, les joueuses, coaches et dirigeants de l'élite ont pu voter pour désigner celui qui est à leurs yeux le coach de la saison 2012-2013. Sven Van Camp a récolté 80 points, pour 67 à Arvid Diels, le mentor de Sint-Katelijne-Waver et 59 à Julian Martinez Alman, le coach espagnol de Namur.
"Cela fait naturellement très plaisir d'être reconnu par les siens", a apprécié Sven Van Camp. "L'an dernier, c'était clair. Philip Mestdagh, pour moi, il peut être dans les trois chaque année. Il n'a pas changé cette saison, c'est toujours le même, un très bon coach. Mais l'an dernier, en plus, il avait tout gagné. En général, c'est celui qui gagne des prix qui est élu. Julian Martinez Alman est arrivé à la mi-saison, après la Coupe d'Europe, peut-être que c'est lui qui aurait été choisi s'il avait fait toute la saison"
Il n'y a pourtant pas vraiment eu besoin de la photo-finish pour l'Anversois qui a tout de même encore du mal à digérer d'avoir manqué de si peu le premier titre de champion de Kangoeroes-Boom. "Pour la Coupe, il y a quelque chose de cassé. C'est vrai qu'au bout, à nouveau, l'écart est mince, il n'y a que 5 points, mais nous avons du toujours courir derrière. On est à 5 pts, on est 7 ou 10, puis on revient de nouveau, mais nous n'avons jamais mené."
"Cela fait naturellement très plaisir d'être reconnu par les siens", a apprécié Sven Van Camp. "L'an dernier, c'était clair. Philip Mestdagh, pour moi, il peut être dans les trois chaque année. Il n'a pas changé cette saison, c'est toujours le même, un très bon coach. Mais l'an dernier, en plus, il avait tout gagné. En général, c'est celui qui gagne des prix qui est élu. Julian Martinez Alman est arrivé à la mi-saison, après la Coupe d'Europe, peut-être que c'est lui qui aurait été choisi s'il avait fait toute la saison"
Il n'y a pourtant pas vraiment eu besoin de la photo-finish pour l'Anversois qui a tout de même encore du mal à digérer d'avoir manqué de si peu le premier titre de champion de Kangoeroes-Boom. "Pour la Coupe, il y a quelque chose de cassé. C'est vrai qu'au bout, à nouveau, l'écart est mince, il n'y a que 5 points, mais nous avons du toujours courir derrière. On est à 5 pts, on est 7 ou 10, puis on revient de nouveau, mais nous n'avons jamais mené."
Nous serons encore là !
"Mais comme j'ai dit au groupe, si l'on est obligé de choisir entre une saison correcte, sans jouer de finales, et jouer une magnifique saison, jouer des finales, même si on les perd, le choix est vite fait. Bien sûr, il y a toujours la déception de ne pas avoir gagné. Cela s'est joué sur un panier en trois matches, dont le 3e après prolongation. Mais nous avons fait une saison incroyable. Les filles ont vraiment travaillé très dur. Je veux partager aussi ça avec mon assistant, Gerrit (Driessens). Il a fait un boulot incroyable toute l'année. Non seulement en dehors des matches, mais sur la banc aussi !".
Sven Van Camp repart pour un tour à Kangoeroes-Boom. Après les points d'interrogations qui ont un moment plané au-dessus de la maison dames de KaBo, les Anversoises vont toujours être plus que compétitifs la saison prochaine. "Le Comité a fait un boulot incroyable pour à nouveau permettre d'avoir une belle équipe. Celle-ci sera moins étoffée, mais nous serons encore là." De quoi permettre en effet de peut-être encore rejoindre l'une ou l'autre finale. Avec deux Coupes de Belgique en 4 ans, 3 finales sur 4 que ce soit en Coupe de Belgique ou en championnat, le bilan est imposant. "Avec un groupe élargi, une seule joueuse étrangère, ce n'est pas mal, je crois", sourit encore Sven Van Camp. "Bien sûr, gérer tout cela n'était pas facile. Avec 10 filles qui peuvent revendiquer de jouer beaucoup, le plus important était de respecter tout le monde, car toutes font le même boulot et travaillent très dur, mais il fallait aussi être ferme dès le début et ne jamais laisser traîner la moindre petite frustration ou interrogation."
C'est la deuxième fois, après 2010, que Sven Van Camp obtient cette récompense. Il succède à Philip Mestdagh, lauréat ces deux dernières années, en 2011 et 2012.
Sven Van Camp repart pour un tour à Kangoeroes-Boom. Après les points d'interrogations qui ont un moment plané au-dessus de la maison dames de KaBo, les Anversoises vont toujours être plus que compétitifs la saison prochaine. "Le Comité a fait un boulot incroyable pour à nouveau permettre d'avoir une belle équipe. Celle-ci sera moins étoffée, mais nous serons encore là." De quoi permettre en effet de peut-être encore rejoindre l'une ou l'autre finale. Avec deux Coupes de Belgique en 4 ans, 3 finales sur 4 que ce soit en Coupe de Belgique ou en championnat, le bilan est imposant. "Avec un groupe élargi, une seule joueuse étrangère, ce n'est pas mal, je crois", sourit encore Sven Van Camp. "Bien sûr, gérer tout cela n'était pas facile. Avec 10 filles qui peuvent revendiquer de jouer beaucoup, le plus important était de respecter tout le monde, car toutes font le même boulot et travaillent très dur, mais il fallait aussi être ferme dès le début et ne jamais laisser traîner la moindre petite frustration ou interrogation."
C'est la deuxième fois, après 2010, que Sven Van Camp obtient cette récompense. Il succède à Philip Mestdagh, lauréat ces deux dernières années, en 2011 et 2012.
Referendum du Coach de l'année 2012-2013
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1 | Sven Van Camp | 80 (16x 1er)
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2 | Arvid Diels | 67 (13)
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3 | Julian Martinez Alman | 59 (13)
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4 | Pierre Cornia | 49 (4)
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5 | Marc Foucart | 25 (1)
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6 | Philip Mestdagh | 20 (3)
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7 | Ly Hamady | 11 (2)
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8 | Jean-Luc Cornia | 10 (1)
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9 | Daniel Goethals | 10 (1)
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10 | Dirk D'Haese | 6 (2)
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11 | Bernard Schoonbroodt | 3 (1)
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12 | Frank De Brucker | 3
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13 | Didier Pardons | 3 (1)
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14 | Michel Bechoux | 1
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15 | Benny Mertens | 1
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