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Avec Ann Wauters, de retour à Ekaterinburg cette saison, Noémie Mayombo sera la deuxième joueuse belge dans la Premier League russe cette saison. Si la jeune Liégeoise, 22 ans, 1m70, confie n'avoir pas eu de contacts avec l'intérieure waeslandienne pour disserter sur la vie en Russie, Noémie Mayombo ne part non plus totalement en terre inconnue. "J'ai été à Moscou déjà, en 2007, pour les Mondiaux U21 et c'est là que le coach de Novossibirisk (Boris Sokolovsky) m'avait déjà remarqué, puis on a joué à Chevakata et à Novossibirsk précisément, avec les Young Cats en Coupe d'Europe", raconte Noémie Mayombo qui sait aussi qu'un déplacement ponctuel ne vaut pas une saison complète, ou plutôt deux dans son cas prévues au contrat, en Sibérie.
Avec la neige en hiver une température qui descend jusqu'à -20°, les conditions y seront bien entendu particulières, même si les voyages occuperont une grosse partie du temps de la désormais ex-joueuse de Point Chaud Sprimont. "Oui, je sais", rigole Noémie Mayombo. "Mais on ne peut pas toujours tout avoir. A la fois jouer dans l'un des meilleurs championnats d'Europe et avoir le beau temps. Je suis super contente, très impatiente d'y aller, mais c'est sûr que c'est une expérience que j'appréhende un peu parce que c'est ma première expérience 100% professionnelle. On ne peut pas comparer avec mon passage en Suisse (à Neuchatel), où j'étais encore étudiante, j'avais l'unif. Ce n'est pas du tout pareil."
Avec la neige en hiver une température qui descend jusqu'à -20°, les conditions y seront bien entendu particulières, même si les voyages occuperont une grosse partie du temps de la désormais ex-joueuse de Point Chaud Sprimont. "Oui, je sais", rigole Noémie Mayombo. "Mais on ne peut pas toujours tout avoir. A la fois jouer dans l'un des meilleurs championnats d'Europe et avoir le beau temps. Je suis super contente, très impatiente d'y aller, mais c'est sûr que c'est une expérience que j'appréhende un peu parce que c'est ma première expérience 100% professionnelle. On ne peut pas comparer avec mon passage en Suisse (à Neuchatel), où j'étais encore étudiante, j'avais l'unif. Ce n'est pas du tout pareil."
Cela ne peut que servir l'équipe nationale
Noémie Mayombo (photo: FIBA Europe/Ulrich Schulte)
Noémie Mayombo quittera la Belgique samedi pour ... Zagreb et rejoindre sa nouvelle équipe en stage en Croatie pour une vingtaine de jours et 5 matches de préparation. Novossibirisk, habitué de l'Eurocup FIBA, veut faire mieux que l'an dernier dans le championnat russe (9e sur 10 en phase régulière et privé de play-off), réussir des résultats en Eurocup FIBA et compte, outre une joueuse belge, une Suédoise Binta Drammeh (qui évoluait à Mondeville l'an dernier) et une Américaine Devereaux Peters (Minnesota Lynx) dans ses rangs.
"Je ne l'ai su qu'au moment du transfert, mais le coach me suivait depuis 2007", explique encore Noémie Mayombo. "Il a confiance en moi, en mes capacités et me fera jouer. J'ai hâte. Bien sûr, le fait d'avoir joué la Coupe d'Europe aide à nous mettre en valeur et à montrer ce que nous savons faire contre des équipes plus fortes. C'est grâce à cela aussi que des joueuses belges pourront obtenir une chance d'évoluer à l'étranger. Et après avoir connu le championnat belge, avoir pu disputer la Coupe d'Europe avec une sélection belge, on a fait le tour et il est temps à moment de jouer à l'étranger pour acquérir de l'expérience. Cela ne peut être que bénéfique. Au niveau de la progression individuelle, bien entendu, mais aussi pour l'équipe nationale. Si l'on peut mettre à profit ce que nous allons apprendre à l'étranger en équipe nationale, ce n'est que tout bon. Nous sommes jeunes, il y a du talent, mais nous avons encore beaucoup de choses à apprendre. Ce que nous allons apprendre dans des clubs qui jouent les meilleurs championnats et en Coupe d'Europe ne peut que servir l'équipe nationale."
"Je ne l'ai su qu'au moment du transfert, mais le coach me suivait depuis 2007", explique encore Noémie Mayombo. "Il a confiance en moi, en mes capacités et me fera jouer. J'ai hâte. Bien sûr, le fait d'avoir joué la Coupe d'Europe aide à nous mettre en valeur et à montrer ce que nous savons faire contre des équipes plus fortes. C'est grâce à cela aussi que des joueuses belges pourront obtenir une chance d'évoluer à l'étranger. Et après avoir connu le championnat belge, avoir pu disputer la Coupe d'Europe avec une sélection belge, on a fait le tour et il est temps à moment de jouer à l'étranger pour acquérir de l'expérience. Cela ne peut être que bénéfique. Au niveau de la progression individuelle, bien entendu, mais aussi pour l'équipe nationale. Si l'on peut mettre à profit ce que nous allons apprendre à l'étranger en équipe nationale, ce n'est que tout bon. Nous sommes jeunes, il y a du talent, mais nous avons encore beaucoup de choses à apprendre. Ce que nous allons apprendre dans des clubs qui jouent les meilleurs championnats et en Coupe d'Europe ne peut que servir l'équipe nationale."
Dommage de ne pas jouer contre un club belge en Coupe d'Europe
Novosibirsk, le Dynamo GUVD, figure dans le groupe C en Eurocup FIBA avec les Roumaines de ASC-Sepsi, les Turques de Tarsus et les Bélarusses de Horizont Minsk, qui n'est pas inconnu non plus des clubs belges en Coupe d'Europe. Le tirage au sort a cette fois été influencé par une répartition en zone géographique. Pas d'adversaire de l'Ouest donc pour le club de Sibérie. "C'est dommage", avoue Noémie Mayombo. "J'aurais bien voulu pouvoir jouer en Belgique avec mon nouveau club, cela aurait été trop cool !".
Pour tout savoir sur le Dynamo GUVD
Noémie Mayombo en cyrillique, cela s'écrit Ноэми Майомбо. Novosibirsk est la troisième ville la plus importante en Russie après Moscou et St-Petersbourg, et compte plus d'un million et demie d'habitants, se situant à 2.800 km à l'est de Moscou. "Je sais que j'aurai un appartement pour moi toute seule sur place, mais pour les détails, nous verrons une fois là-bas," ajoute encore Noémie Mayombo.
Pour tout savoir sur le Dynamo GUVD
Noémie Mayombo en cyrillique, cela s'écrit Ноэми Майомбо. Novosibirsk est la troisième ville la plus importante en Russie après Moscou et St-Petersbourg, et compte plus d'un million et demie d'habitants, se situant à 2.800 km à l'est de Moscou. "Je sais que j'aurai un appartement pour moi toute seule sur place, mais pour les détails, nous verrons une fois là-bas," ajoute encore Noémie Mayombo.