Belfius Namur Capitale n'a pas été entendu. La juge du tribunal des référés de Bruxelles a débouté vendredi le club namurois qui demandait la suspension des play-off, a expliqué le président de Namur Capitale, Jean-François Davreux. La juge a considéré que le préjudice subit était "relatif" en terme sportif et "réparable" au regard des recettes possibles lors des rencontres à domicile.
Les trois rencontres perdues par forfait par Belfius Namur Capitale - à Declercq Stortbeton Waregem, Crack Blue Cats Ieper et face à Spirou Monceau - ont rétrogradé les Namuroises de Daniel Goethals de la première à la 4e place du classement avec pour conséquence la perte de l'avantage du terrain à partir des demi-finales.
"La juge a cependant mis le doigt sur l'ineptie de la fédération qui n'a pas adapté son règlement depuis 2008 sur base des dispositions de l'AWBB et de la VBL, soulignant que le réglement de la fédération ne prévaut qu'en cas de discordance entre ceux de l'AWBB et de la VBL, or dans le cas qui nous occupe, l'AWBB et la VBL sont d'accord en matière de joueuses étrangères", analyse Jean-François Davreux qui souligne aussi que la juge a estimé le préjudice "réparable". "Nous nous laissons dès lors le temps de réclamer des dommages et intérêts à la fédération."
Les trois rencontres perdues par forfait par Belfius Namur Capitale - à Declercq Stortbeton Waregem, Crack Blue Cats Ieper et face à Spirou Monceau - ont rétrogradé les Namuroises de Daniel Goethals de la première à la 4e place du classement avec pour conséquence la perte de l'avantage du terrain à partir des demi-finales.
"La juge a cependant mis le doigt sur l'ineptie de la fédération qui n'a pas adapté son règlement depuis 2008 sur base des dispositions de l'AWBB et de la VBL, soulignant que le réglement de la fédération ne prévaut qu'en cas de discordance entre ceux de l'AWBB et de la VBL, or dans le cas qui nous occupe, l'AWBB et la VBL sont d'accord en matière de joueuses étrangères", analyse Jean-François Davreux qui souligne aussi que la juge a estimé le préjudice "réparable". "Nous nous laissons dès lors le temps de réclamer des dommages et intérêts à la fédération."
Les play-off vont donc se poursuivre suivant le schéma prévu, sans pour autant que le contentieux ne soit définitivement réglé, ni sans que le noeud du problème ne soit résolu au niveau de la fédération et de ses règlements clairement archaïques désormais.
L'affaire en est au stade de la Cassation au niveau de la fédération, qui a maintenant une quinzaine de jours pour se prononcer.
Le rappel des faits
L'affaire en est au stade de la Cassation au niveau de la fédération, qui a maintenant une quinzaine de jours pour se prononcer.
Le rappel des faits