Jean-François Prior (Dexia): 'dans le bon sens, mais c'est trop lent' (2)

Quelle évolution pour le basket féminin belge ?

En constatant qu'il est impossible de devenir une vedette en s'entraînant trois fois par semaine, Jean-François Prior estime qu'une professionnalisation du basket est nécessaire, "pas nécessairement comme des pros qui gagnent des sommes comme Tony Parker, mais il est possible de faire comme la France."

Demain, samedi, Jean-François Prior confirme qu'il s'agit de sa dernière saison comme Dexia Namur et évoque les pistes pour l'avenir.

Premier volet


Made in Belgium Jean-François Prior (Dexia): 'dans le bon sens, mais c'est trop lent' (2) Dans l'état actuel, dix clubs en D1, c'est le maximum Deuxième volet de l'entretien avec Jean-François Prior, le président de Dexia Namur, après la victoire 84 à 92 à Spirou Monceau lundi soir et à la veille du duel face à Waregem, champion en titre. Le président st-servaitois évoque la situation du basket belge estimant que des choses vont dans le bon sens, mais que c'est peut-être trop lent par rapport à l'urgence de la situation. Quelle évolution pour le basket féminin belge ? En constatant qu'il est impossible de devenir une vedette en s'entraînant trois fois par semaine, Jean-François Prior estime qu'une professionnalisation du basket est nécessaire, "pas nécessairement comme des pros qui gagnent des sommes comme Tony Parker, mais il est possible de faire comme la France." Demain, samedi, Jean-François Prior confirme qu'il s'agit de sa dernière saison comme Dexia Namur et évoque les pistes pour l'avenir. Premier volet Jean-François Prior (Dexia Namur) et la compétition belge (3.53 Mo) Vendredi 14 Novembre 2008
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Jean-François Prior (Dexia): 'dans le bon sens, mais c'est trop lent' (2)

Dans l'état actuel, dix clubs en D1, c'est le maximum