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Des changements dans le calendrier des play-down
Après avoir mené de 17 points en début de rencontre, Castors Braine s'est retrouvé à son tour mené de 10 unités pour repasser encore devant dans le money-time et s'incliner d'un point au décompte final (72-71) en ayant encore eu des possessions de balle dans les dernières secondes. Declercq Stortbeton Waregem a donc arraché la victoire chez lui pour mener 1 à 0 avant de se déplacer en terre brabançonne.
"Nous gardons à l'esprit que seule la victoire compte en play-off, nous sommes passés tout près là-bas, c'est sûr", analyse Jean-Luc Cornia, le coach de Castors Braine. "Mais nous restons dans notre plan de bataille. Battu à Waregem, nous devons et voulons gagner chez nous samedi et remporter la belle. C'est du 50-50 et le scénario sera à l'image de notre saison et de la saison en D1 de façon générale, assez imprévisible. Nous allons essayer de corriger les quelques petites choses qui nous ont manqué pour pouvoir s'imposer à Waregem. Mais avec l'esprit serein. Tout ce qui vient, est un plus par rapport à nos propres objectifs du début de saison. Mais on fera tout pour gagner et on va vendre chèrement notre peau, de cela Waregem peut en être certain. Le message est le même aussi. On se focalise sur le match qui vient et l'on oublie celui qui vient de se jouer. Qu'il soit perdu ou gagné d'ailleurs."
"Nous gardons à l'esprit que seule la victoire compte en play-off, nous sommes passés tout près là-bas, c'est sûr", analyse Jean-Luc Cornia, le coach de Castors Braine. "Mais nous restons dans notre plan de bataille. Battu à Waregem, nous devons et voulons gagner chez nous samedi et remporter la belle. C'est du 50-50 et le scénario sera à l'image de notre saison et de la saison en D1 de façon générale, assez imprévisible. Nous allons essayer de corriger les quelques petites choses qui nous ont manqué pour pouvoir s'imposer à Waregem. Mais avec l'esprit serein. Tout ce qui vient, est un plus par rapport à nos propres objectifs du début de saison. Mais on fera tout pour gagner et on va vendre chèrement notre peau, de cela Waregem peut en être certain. Le message est le même aussi. On se focalise sur le match qui vient et l'on oublie celui qui vient de se jouer. Qu'il soit perdu ou gagné d'ailleurs."
Benny Mertens: il va falloir jouer juste
Declercq Stortbeton Waregem aura l'avantage de mener 1 à 0 face à son adversaire, celui dont personne ne voulait en quarts de finale de play-off. Dans les chiffres, mais aussi dans la tête.
"C'était important. Un premier match de play-off est toujours difficile. Surtout contre un adversaire comme Braine," reconnaissait Benny Mertens. "Elles disposent de 5 joueuses étrangères, elles ont du talent et c'est une équipe difficile à manier. Hormis le début de rencontre, nous avons dominé une grande majorité de la première manche chez nous. Nous étions menés de 17 points je pense, nous passons à +10. Le bémol est que nous n'avons pas su gérer cet avantage. Cela a souvent été notre problème. Il faut jouer juste. On ne joue pas mal, on se crée les opportunités en attaque. Mais si par exemple, le shoot ouvert, qui doit être pris, ne rentre pas. Il faut penser à utiliser d'autres options. Nous devons mieux utiliser nos forces."
Castors Braine attend son adversaire de pied ferme et voudra entamer la partie pied au plancher, comme au Treffer samedi. "Il faut éviter aussi de voir Braine prendre le large en début de partie", souligne Benny Mertens. "En championnat là-bas, ce fut la même chose, on a pris une claque (79-69). Il faut s'en souvenir, mais utiliser cela pour tirer les leçons en vue de samedi."
Un samedi qui s'annonce chaud en terre brabançonne avec sans dout un public en nombre. En lever de rideau en effet, la R2B coachée par Gérard Beurlet jouera pour conquérir la première place de sa série face au co-leader de Montagnard (17h30), les dirigeants brainois ont rameuté du monde pour suivre ensuite le match de D1. "C'est bien", acquiesce Benny Mertens pour l'ambiance des play-off, "c'est comme cela que cela doit être."
Les deux formations se présenteront au complet au coup d'envoi à 20h30.
"C'était important. Un premier match de play-off est toujours difficile. Surtout contre un adversaire comme Braine," reconnaissait Benny Mertens. "Elles disposent de 5 joueuses étrangères, elles ont du talent et c'est une équipe difficile à manier. Hormis le début de rencontre, nous avons dominé une grande majorité de la première manche chez nous. Nous étions menés de 17 points je pense, nous passons à +10. Le bémol est que nous n'avons pas su gérer cet avantage. Cela a souvent été notre problème. Il faut jouer juste. On ne joue pas mal, on se crée les opportunités en attaque. Mais si par exemple, le shoot ouvert, qui doit être pris, ne rentre pas. Il faut penser à utiliser d'autres options. Nous devons mieux utiliser nos forces."
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