Pas encore là où elles veulent être
2013. En France, un mix de plusieurs générations a brillé : les plus anciennes avec Rafaella Masciadri ou Marina Kress, les "montantes" comme Giorgia Sottana et les jeunes qui frappent à la porte avec de bons résultats en jeunes comme Francesca Dotto. Résultat? Quart de finale. La sauce a pris donc et pour la campagne de qualification, les Italiennes vont continuer à avancer et à vouloir participer à l'Euro. Mais voilà, avec l'absence de Marina Kress et l'ajout de Cecilia Zandalasini, en vue lors des compétitions de jeunes l'été, la sauce peut-elle rester au point? Le groupe des Azzurris parait abordable cet été avec l'Estonie et le Portugal mais il faudra aussi compter avec les Lettones. "Les attentes sont plus élevées. Tout le monde nous regarde comme une équipe surprise. Certaines joueuses importantes ne sont pas là cette année, notamment sur les postes intérieurs donc nous souffrons sous l'anneau. Je reste optimiste, nous travaillons dur et cela paiera. Nous n'avons pas beaucoup de temps." tempère Giorgia Sottana.
2013 n'est pas 2014, l'Italie ne peut pas être où elle était l'an passé mais elle n'est pas où elle veut être. Elle a a l'ambition, celle d'être numéro un du groupe."Nous voulons nous qualifier pour l'Euro et nous voulons obtenir notre ticket en terminant premières du groupe. Nous savons que ça va être dur. Tout qui a vu notre match face à la Belgique voit que ce ne sera pas facile. Les gens pensent que nous avons un groupe facile mais ce n'est pas le cas. Nous devons rester concentrées." explique-t-elle
Après avoir été cadenassé par l'Ukraine le vendredi, les Italiennes (sans Rafaella Masciadri laissée au repos) sont parties en retard face à la Belgique samedi en fin d'après-midi (22-12 puis 27-19). En sortant des vestiaires, les transalpines vont revenir "à l'heure" avant d'à nouveau laisser un décalage à la demi-heure 51-40. Sofie Hendrickx fait mal "inside" aidée par Noémie Mayombo alors qu'en face la phalange transalpine ne trouvait pas la cible avec constance. Au final, l'Italie s'incline 76 à 51, laissant apparaître ce qui... ne devra pas apparaître lors des qualifs. "On ne peut pas les laisser dribbler facilement, on a besoin de bloquer au rebond. Nous devons mettre la pression sur la joueuse qui a la balle. C'est ce que nous devons faire, le reste ne compte pas." martèle Sottana. "Défensivement nous avons montrés que si nous jouons ensemble, les choses deviennent plus faciles en attaque également. Mon impression est que si nous avons des difficultés en attaque, ces difficultés ont un impact sur notre défense. Nous travaillons là-dessus mais c'est notre point d'amélioration possible le plus important." détaille-t-elle.
2013 n'est pas 2014, l'Italie ne peut pas être où elle était l'an passé mais elle n'est pas où elle veut être. Elle a a l'ambition, celle d'être numéro un du groupe."Nous voulons nous qualifier pour l'Euro et nous voulons obtenir notre ticket en terminant premières du groupe. Nous savons que ça va être dur. Tout qui a vu notre match face à la Belgique voit que ce ne sera pas facile. Les gens pensent que nous avons un groupe facile mais ce n'est pas le cas. Nous devons rester concentrées." explique-t-elle
Après avoir été cadenassé par l'Ukraine le vendredi, les Italiennes (sans Rafaella Masciadri laissée au repos) sont parties en retard face à la Belgique samedi en fin d'après-midi (22-12 puis 27-19). En sortant des vestiaires, les transalpines vont revenir "à l'heure" avant d'à nouveau laisser un décalage à la demi-heure 51-40. Sofie Hendrickx fait mal "inside" aidée par Noémie Mayombo alors qu'en face la phalange transalpine ne trouvait pas la cible avec constance. Au final, l'Italie s'incline 76 à 51, laissant apparaître ce qui... ne devra pas apparaître lors des qualifs. "On ne peut pas les laisser dribbler facilement, on a besoin de bloquer au rebond. Nous devons mettre la pression sur la joueuse qui a la balle. C'est ce que nous devons faire, le reste ne compte pas." martèle Sottana. "Défensivement nous avons montrés que si nous jouons ensemble, les choses deviennent plus faciles en attaque également. Mon impression est que si nous avons des difficultés en attaque, ces difficultés ont un impact sur notre défense. Nous travaillons là-dessus mais c'est notre point d'amélioration possible le plus important." détaille-t-elle.
Trouver un nouvel équilibre
Giorgia Sottana: "Il n'y a pas de superstars dans cette équipe, il y quelques joueuse à qui vous allez donner le ballon si le match se joue sur une possession."
Aussi bien Martina Bestagno que Giorgia Sottana l'explique, la capacité à performer viendra aussi de la capacité des Italiennes à faire fonctionner une nouvelle alchimie car la joueuse de Schio est une des leader avec Rafaella Masciadri. Les données sont les mêmes: trois générations mais des joueuses différentes. "Les différentes générations ont des façons différentes de jouer. Cecilia Zandalasini vient d'une équipe jeune, les autres jouent en Division 1, Rafaella Masciadri et moi jouons l'Euroleague. On a déjà réussi avoir une alchimie dans le passé et nous pouvons le réaliser à nouveau. Notre force, c'est de jouer en groupe. C'est frustrant parce que les choses ne viennent pas, c'est plus compliqué mais l'an passé nous perdions aussi des matches. Je ne dis pas que nous allons gagner à l'avenir mais nous continuons à travailler dur, c'est notre force." assène Sottana. Et Martina Bestagno de conclure: "Après le tournoi, le travail continuera. Le but c'est l'Eurobasket 2015."