Sophie Charlier
Née le 17/02/1982
1m80
Ailière
1998-1999: Herve-Battice (D2)
1999-2001: All. Flémalle
2001-2002: BCSS Namur
2002-2004: Deerlijk
2004-2006: Dexia Namur
2006-2007: Neuchâtel (Sui)
1m80
Ailière
1998-1999: Herve-Battice (D2)
1999-2001: All. Flémalle
2001-2002: BCSS Namur
2002-2004: Deerlijk
2004-2006: Dexia Namur
2006-2007: Neuchâtel (Sui)
Progresser dans le professionnalisme
(Photos: www.unibasket.ch)
Si Neuchâtel s'est incliné ce week-end à Sierre (où évolue la Canadienne Marie-Hélène Pedneau - 20 pts contre Neuchâtel - que l'on a vu en Belgique) 72 à 67 pour le compte de la 18e journée du championnat, le club suisse de Thibaut Petit conserve la tête du classement général. Sophie Charlier a joué 36mn pour inscrire 11 pts (4/11 à 2pts, 1/3 à 3) pour 4rbds et Nina Crelot a joué 19mn pour inscrire 2pts (1/2 à 2pts, 0/3 à 3) pour 2 rbds.
"L'objectif pour le club en début de saison était de jouer les demi-finales de play-off", explique Sophie Charlier, "ce qui est une certitude à trois journées de la fin du championnat. Objectif atteint donc ! Après on verra… mais je pense que l’on peut vivre une finale… ce qui serait historique pour le club ! Sur le plan personnel, je me sens progresser en constance, ainsi que sur certains fondamentaux. Je suis très heureuse de mon choix qui était de croire à un projet et surtout de me retrouver dans une structure professionnelle qui me permet de m’épanouir pleinement."
Neuchâtel devrait en principe disputer l'EuroCoupe FIBA la saison prochaine et Sophie Charlier ne voudrait pas que l'on sous-estime la compétition suisse. "On peut compter dans chaque équipe 2 Américaines et souvent deux européennes, ce qui élève le niveau de jeu. De plus évoluer dans un championnat à 8 équipes où tout le monde peut battre tout le monde rend, pour moi, la compétion plus intéressante que chez nous. Les Suissesses qui évoluent en Ligue A sont plus jeunes que chez nous. Et quand je vois l’infrastructure proposée par le centre de formation d’Uni Neuchâtel, je regrette de ne pas avoir quelques années de moins !... Il faut que les joueuses belges s'expatrient pour progresser. Je pense que c'est un plus de connaitre une expérience hors de nos frontières, car le fait de passer au statut "d'étrangère professionnelle" oblige à une certaine évolution dans la manière de jouer, sans compter l'apport au niveau personnel et humain."
"L'objectif pour le club en début de saison était de jouer les demi-finales de play-off", explique Sophie Charlier, "ce qui est une certitude à trois journées de la fin du championnat. Objectif atteint donc ! Après on verra… mais je pense que l’on peut vivre une finale… ce qui serait historique pour le club ! Sur le plan personnel, je me sens progresser en constance, ainsi que sur certains fondamentaux. Je suis très heureuse de mon choix qui était de croire à un projet et surtout de me retrouver dans une structure professionnelle qui me permet de m’épanouir pleinement."
Neuchâtel devrait en principe disputer l'EuroCoupe FIBA la saison prochaine et Sophie Charlier ne voudrait pas que l'on sous-estime la compétition suisse. "On peut compter dans chaque équipe 2 Américaines et souvent deux européennes, ce qui élève le niveau de jeu. De plus évoluer dans un championnat à 8 équipes où tout le monde peut battre tout le monde rend, pour moi, la compétion plus intéressante que chez nous. Les Suissesses qui évoluent en Ligue A sont plus jeunes que chez nous. Et quand je vois l’infrastructure proposée par le centre de formation d’Uni Neuchâtel, je regrette de ne pas avoir quelques années de moins !... Il faut que les joueuses belges s'expatrient pour progresser. Je pense que c'est un plus de connaitre une expérience hors de nos frontières, car le fait de passer au statut "d'étrangère professionnelle" oblige à une certaine évolution dans la manière de jouer, sans compter l'apport au niveau personnel et humain."
"Pour la prochaine campagne de l'équipe nationnale, j'espère que l'équipe et le staff vont continuer à avancer dans le professionnalisme, et que nous verrons tout pour faire de cet Euro 2007 une réussite. Pour ce qui est des jeux Olympiques, nous sommes peut-être un petit pays, mais si on s'en donne les moyens pourquoi pas...."