Russie, Monténégro, Lettonie, un groupe D très ouvert se présente à la Belgique pour son premier Euro depuis 10 ans. Le tirage au sort aurait pu être terrible. Sans être clément car aucun pays n'est un petit poucet dans ce championnat d'Europe où le plateau a été réduit de 20 (en 2015) à 16, les possibilités existent pour réaliser "quelque chose".
Pour Philip Mestdagh, comme pour les autres sélectionneurs des équipes appelées à jouer la Belgique, la poule offre "des possibilités, c'est un groupe très ouvert, ce qui veut dire que nous pouvons très bien gagner contre tout le monde, mais aussi perdre contre tout le monde. Donc entre la 2e et la 4e place, la marge est très faible. Cela aurait pu être pire comme tirage, c'est sûr. Ce n'est pas mal, mais cela a ses inconvénients aussi. Jouer à Prague directement est une bonne chose. Après nous croisons avec le groupe C (France, Serbie, Grèce, Slovénie), et si nous parvenons à terminer 3e, cela veut dire prendre France ou Serbie sans doute, cela s'est moins bien. Peut-être le groupe C était mieux pour nous, en tablant sur une victoire sur la Grèce, nous aurions été 3es pour jouer en barrage le 2e du groupe D, peut-être Monténégro par exemple. Mais nous n'avons pas à nous plaindre quand on vient du 4e chapeau."
Tout savoir sur le tirage au sort
Pour Philip Mestdagh, comme pour les autres sélectionneurs des équipes appelées à jouer la Belgique, la poule offre "des possibilités, c'est un groupe très ouvert, ce qui veut dire que nous pouvons très bien gagner contre tout le monde, mais aussi perdre contre tout le monde. Donc entre la 2e et la 4e place, la marge est très faible. Cela aurait pu être pire comme tirage, c'est sûr. Ce n'est pas mal, mais cela a ses inconvénients aussi. Jouer à Prague directement est une bonne chose. Après nous croisons avec le groupe C (France, Serbie, Grèce, Slovénie), et si nous parvenons à terminer 3e, cela veut dire prendre France ou Serbie sans doute, cela s'est moins bien. Peut-être le groupe C était mieux pour nous, en tablant sur une victoire sur la Grèce, nous aurions été 3es pour jouer en barrage le 2e du groupe D, peut-être Monténégro par exemple. Mais nous n'avons pas à nous plaindre quand on vient du 4e chapeau."
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Trois adversaires de grande tradition de basket féminin
Le premier match le 16 juin se jouera contre le Monténégro, le 17 la Russie sera au programme et après un premier jour de repos, la Lettonie constituera fort probablement le match décisif. Ce sont trois adversaires avec une grande tradition de basket féminin et qui disposent d'une grosse expérience des phases finales à l'Euro, pas la Belgique.
Les Belgian Cats de Philip Mestdagh se retrouvent en effet pour la première fois en phase finale depuis 10 ans et l’Euro-2007 à Chieti, en Italie, où les filles de Laurent Buffard avaient pris la 7e place, avec Ann Wauters et Marjorie Carpréaux, déjà. Un exploit d’autant plus grand que le plateau de l’Euro a été réduit de 20 (en 2015) à 16 pays et que tous les pays ont du passer par le stade des qualifications, même la Serbie championne d'Europe et médaillée de bronze aux jeux Olympiques de Rio. Seule la Tchèquie, pays organisateur, était qualifiée d'office. Les Belgian Cats se sont qualifiées elles en terminant en tête de leur groupe avec 3 victoires et une seule défaite contre le Bélarusse et la Pologne.
L’objectif des Belgian Cats est de passer le premier tour pour pouvoir disputer un maximum de matches ensuite afin d’acquérir de l’expérience. Cette jeune équipe est en effet appelée à rester de nombreuses années ensemble avec comme premier gros objectif à long terme, les jeux Olympiques de Tokyo en 2020.
Cet Euro à Prague est aussi qualificatif pour la Coupe du monde 2018 en Espagne. Le championnat d’Europe en Tchèque délivre en effet 5 tickets pour le rendez-vous espagnol (donc le top 5 ou le top 6 si l’Espagne figure dans le top 5). Les Espagnoles, organisatrices de l’évènement, mais aussi vice-championnes olympiques, et les Etats-Unis, championnes olympiques, sont en effet déjà qualifiés pour le rendez-vous du Mondial du 22 au 30 septembre 2018.
Les Belgian Cats de Philip Mestdagh se retrouvent en effet pour la première fois en phase finale depuis 10 ans et l’Euro-2007 à Chieti, en Italie, où les filles de Laurent Buffard avaient pris la 7e place, avec Ann Wauters et Marjorie Carpréaux, déjà. Un exploit d’autant plus grand que le plateau de l’Euro a été réduit de 20 (en 2015) à 16 pays et que tous les pays ont du passer par le stade des qualifications, même la Serbie championne d'Europe et médaillée de bronze aux jeux Olympiques de Rio. Seule la Tchèquie, pays organisateur, était qualifiée d'office. Les Belgian Cats se sont qualifiées elles en terminant en tête de leur groupe avec 3 victoires et une seule défaite contre le Bélarusse et la Pologne.
L’objectif des Belgian Cats est de passer le premier tour pour pouvoir disputer un maximum de matches ensuite afin d’acquérir de l’expérience. Cette jeune équipe est en effet appelée à rester de nombreuses années ensemble avec comme premier gros objectif à long terme, les jeux Olympiques de Tokyo en 2020.
Cet Euro à Prague est aussi qualificatif pour la Coupe du monde 2018 en Espagne. Le championnat d’Europe en Tchèque délivre en effet 5 tickets pour le rendez-vous espagnol (donc le top 5 ou le top 6 si l’Espagne figure dans le top 5). Les Espagnoles, organisatrices de l’évènement, mais aussi vice-championnes olympiques, et les Etats-Unis, championnes olympiques, sont en effet déjà qualifiés pour le rendez-vous du Mondial du 22 au 30 septembre 2018.