Samedi à Eeklo sera désigné le coach de la saison 2004-2005. Si Guy Crab est venu à la rescousse d'une formation de Boom durant la saison et qui lui a offert le maintien sur le terrain parmi l'élite nationale (car finalement il n'y a aucun descendant de Division I), si Benny Mertens a tenu le choc le plus longtemps possible à Dexia Namur avant d'être jeté sans respect dans un aéroport russe en décembre dernier et si Marc Foucart aura été le seul à mener son équipe à vaincre la présumée invincible armada saint-servaitoise, comment ne pas mettre en évidence tout le travail et les compétences de Didier Prinsen ? Avec une formation sans véritable intérieure, jugée moins performante a priori que certaines de ses homologues de l'élite et promise aux pires difficultés à l'aube de cette saison, Didier Prinsen a réussi la gageure, comme à son habitude car il est coutumier du fait, de tirer le maximum (et même plus) de ses joueuses ! Résultats des courses, le Novia Namur s'est qualifié pour les play-off et a disputé les demi-finales du championnat de Belgique où il n'a pas déroulé, loin s'en faut, le tapis rouge devant son voisin saint-servaitois. Alors comment ne pas reconnaître son travail ? Quel manque de respect !
Certes, il n'y a que trois nominés, mais comment ne pas citer non plus Ivan Delcroix qui pour la première saison de Wytewa Roeselare parmi l'élite a mené les Flandriennes en demi-finales des play-off et en demi-finales de la Coupe de Belgique, voire Jean-Pierre Barbier amenant ses Herviennes en finale de la Coupe de Belgique, après avoir longtemps tenu le top 3 du championnat de Belgique.
Certes, il n'y a que trois nominés, mais comment ne pas citer non plus Ivan Delcroix qui pour la première saison de Wytewa Roeselare parmi l'élite a mené les Flandriennes en demi-finales des play-off et en demi-finales de la Coupe de Belgique, voire Jean-Pierre Barbier amenant ses Herviennes en finale de la Coupe de Belgique, après avoir longtemps tenu le top 3 du championnat de Belgique.