i[i[C’est atterré et véritablement consterné que j’ai pris connaissance ce jour sur votre site de certains propos à mon encontre de l’entraîneur qui m’a succédé au Dexia Namur ; des déclarations aussi navrantes que ridicules qui m’attribuent les faiblesses défensives des joueuses présentes au Dexia l’an passé, faiblesses à l’origine selon lui de la défaite à Waregem ; n’ayant connaissance que du score ( 56 – 42 ) il est vrai qu’avec 42 points marqués en attaque, la carence défensive s’avère véritablement prépondérante sur le résultat final ( ouvrir le parapluie semble si simple ! ). Quelques 5 jours plus tard lors de la victoire sur l’USVO, son travail avait vraisemblablement déjà transformé les joueuses !!!
Courant mars et avril, avant mon départ du Dexia, j’avais déjà lu quelques commentaires sur la manière dont il comptait faire jouer cette équipe et les critiques déjà scabreuses qu’il émettait sur le jeu du Dexia à cette époque ; je suis arrivé en décembre 2005 au cœur d’une équipe qui connaissait de graves difficultés de jeu et de résultats, je me suis toujours bien gardé de faire quelques commentaires que ce soit à l’encontre de mon prédécesseur qui venait de quitter le club. Là et en toutes autres circonstances il me semble que l’éthique de notre profession nous impose retenue, respect et humilité.
Mieux, alors qu’il vient, semble t’il de découvrir le basket féminin de haut-niveau, de quel droit se permet-il d’émettre des déclarations réellement diffamatoires et lamentables sur ma réputation et mon aura dans le basket français.
Si impressionnants que puissent être son palmarès et ses connaissances du basket que je n’ai pas l’avantage de connaître, ce monsieur s’honorerait en s’épargnant de tels commentaires. Il devrait probablement méditer sur d’évidentes difficultés à rester humble dans une profession ou chacun d’entre nous constate fréquemment que rien n’est jamais acquis dans un exercice ou la frontière entre succès et échecs s’avère souvent bien mince !]]ii
Marc Silvert
Courant mars et avril, avant mon départ du Dexia, j’avais déjà lu quelques commentaires sur la manière dont il comptait faire jouer cette équipe et les critiques déjà scabreuses qu’il émettait sur le jeu du Dexia à cette époque ; je suis arrivé en décembre 2005 au cœur d’une équipe qui connaissait de graves difficultés de jeu et de résultats, je me suis toujours bien gardé de faire quelques commentaires que ce soit à l’encontre de mon prédécesseur qui venait de quitter le club. Là et en toutes autres circonstances il me semble que l’éthique de notre profession nous impose retenue, respect et humilité.
Mieux, alors qu’il vient, semble t’il de découvrir le basket féminin de haut-niveau, de quel droit se permet-il d’émettre des déclarations réellement diffamatoires et lamentables sur ma réputation et mon aura dans le basket français.
Si impressionnants que puissent être son palmarès et ses connaissances du basket que je n’ai pas l’avantage de connaître, ce monsieur s’honorerait en s’épargnant de tels commentaires. Il devrait probablement méditer sur d’évidentes difficultés à rester humble dans une profession ou chacun d’entre nous constate fréquemment que rien n’est jamais acquis dans un exercice ou la frontière entre succès et échecs s’avère souvent bien mince !]]ii
Marc Silvert
Les propos repris dans Sport-Magazine
- "J'ai, malheureusement, succédé à un coach qui ne leur a rien appris au niveau défensif pendant deux ans. La défense individuelle, elles ne savent plus ce que c'est. Elles mélangent avec la défense de zone. Je suis désolé de dire cela de Marc Silvert, qui jouissait d'une bonne réputation dans le basket féminin, mais cela ne m'étonne pas qu'il soit grillé en France." (Sport-Magazine - 7 novembre 2007).