"J’ai passé deux supers saisons à Sprimont ", explique Hilde Kreemers après avoir œuvré à Runkster jusqu’au terme du club limbourgeois puis à Houthalen. "J’avais déjà hésité à continuer après Houthalen », avoue-t-elle, "mais dès les premiers contacts avec Sprimont, je savais que la décision de poursuivre en D1, même loin de chez moi, était la bonne. "
"J’ai senti beaucoup de respect, en tant que capitaine, c’est un rôle qui me plait beaucoup. L’équipe était jeune et Bernard (Schoonbroodt) voulait me confier la tâche de motiver les jeunes et d’être un exemple pour elles. "Ce que Hilde Kreemers n’a pas jamais manqué d’être tout au long de sa carrière. Battante et à la mentalité irréprochable, la Limbourgeoise a même fini la saison à Sprimont en boulet de canon. "La saison n’a pourtant pas été facile. Il y a du talent, mais il y a aussi des filles à caractère fort. Le but était de faire comprendre qu’il fallait travailler pour l’équipe et pas seulement pour soi. Il a fallu expliquer. Encore, et encore. J’ai été jeune aussi (rires), je n’était pas une joueuse facile non plus. Les sœurs Mayombo ont beaucoup de talent, elles doivent apprendre encore à rester positive, pour l’équipe. Mais elles vont y arriver, j’en suis sûre. Il a fallu plusieurs fois durant la saison jouer plus la psychologue que la coéquipière. Cela n’a pas toujours été facile pour Bernard. Mais c’est un coach et un homme vraiment super. Il a réussi à m’apprendre encore beaucoup de choses. "
"J’ai senti beaucoup de respect, en tant que capitaine, c’est un rôle qui me plait beaucoup. L’équipe était jeune et Bernard (Schoonbroodt) voulait me confier la tâche de motiver les jeunes et d’être un exemple pour elles. "Ce que Hilde Kreemers n’a pas jamais manqué d’être tout au long de sa carrière. Battante et à la mentalité irréprochable, la Limbourgeoise a même fini la saison à Sprimont en boulet de canon. "La saison n’a pourtant pas été facile. Il y a du talent, mais il y a aussi des filles à caractère fort. Le but était de faire comprendre qu’il fallait travailler pour l’équipe et pas seulement pour soi. Il a fallu expliquer. Encore, et encore. J’ai été jeune aussi (rires), je n’était pas une joueuse facile non plus. Les sœurs Mayombo ont beaucoup de talent, elles doivent apprendre encore à rester positive, pour l’équipe. Mais elles vont y arriver, j’en suis sûre. Il a fallu plusieurs fois durant la saison jouer plus la psychologue que la coéquipière. Cela n’a pas toujours été facile pour Bernard. Mais c’est un coach et un homme vraiment super. Il a réussi à m’apprendre encore beaucoup de choses. "
Contente de partir sur une note positive
Avec plusieurs départs à la trêve, une saison qui tournait à une lutte pour le maintien, Point Chaud Sprimont n’a retrouvé des couleurs qu’en fin de saison, « j’ai eu des gens qui m’ont demandé pourquoi je continuais dans ce contexte-là », avoue encore Hilde Kreemers. « Mais je ne pouvais pas laisser tomber ce groupe-là et rester à la maison. On a eu des moments difficiles, mais notre travail a fini par payer. Et je veux vraiement remercier tout le monde, le Comité, Christian, Bernard, Carmelo, John et Marc, des personnes vraiment magnifique! Ils m'ont témoigné beaucoup de respect! Ce sont des personnes qui travaillent beaucoup, mais qui ne recoivent pas, eux, le respect qu’ils méritent tant. Merci beaucoup! A tout les gens de Sprimont aussi qui m'ont supporté. Ils vont vraiment me manquer. Je suis contente de partir sur une note positive, sur le terrain, mais aussi en dehors.»