L'avenir de Boom incertain, au même titre que celui de Dexia Namur, quelle mouture prendra la D1 belge la saison prochaine. Au-delà de cette question immédiate, basée sur la constatation des faits, la vraie problématique réside dans la mouture que l'on VEUT faire adopter au basket féminin belge. Les dessins et les visons à long terme sont primordiales, or elles sont inexistantes. Tous les dirigeants des formations belges sont d'accord là-dessus. Une réunion est prévue le 18 mars par la fédération, excellente initiative, encore faudrait-il qu'elle débouche sur du concret. La sempiternelle réflexion revient sur la table...
Vous pouvez lire ici le projet de collaboration entre Verviers-Pepinster et Point Chaud Sprimont
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Besoin de concret
"Comment résoudre le problème de la D1 ?", réfléchit tout haut Christian Grandry, le manager de Point Chaud Sprimont. "Peut être en interdisant les étrangères ? En obligeant un salary cap aux clubs ? En mettant en place une structure (ligue) dédié au basket féminin ? On devrait lancer une enquête au niveau des dirigeants et connaître leurs points de vue et les solutions de chacun car chaque fois que nous allons à la fédération, nous parlons pendant une heure, puis plus rien pendant six mois, alors qu’il s’agit d’une réflexion de fond". Voilà bien le problème, car les volontés, la motivation et les idées ne manquent pas. Encore faut-il, à un moment donné, que quelqu'un tranche dans le vif du sujet. Qui d'autres que les instances fédérales ? Ou un organe constitué par elles et des responsables des clubs féminins ? La D1 belge a besoin de décisions concrètes !