Noémie Mayombo va repartir pour la Russie. Après deux saisons à Novosibirsk, en Sibérie, la meneuse Liégeoise, 24 ans, met le cap sur Kranosïarsk, toujours en Sibérie, en remontant le fleuve Ienesey, où cette ville de plus d'un million d'habitants accueille le club d'Enisey Krasnoïarsk.
Noémie Mayombo a le sourire. Elle a réussi à apprivoiser les conditions russes d'un des championnats les plus relevés d'Europe, s'adaptant surtout à la différence de culture. "Le fait d'apprendre le Russe a permis de mieux me socialiser, de parler à plus de gens, de rencontrer d'autres personnes", a confié Noémie Mayombo, très heureuse finalement de retourner dans un championnat qui l'aura pourtant fait beaucoup souffrir à ses débuts. "Humainement, surtout. Et c'est vrai que si j'ai quand même aussi joué près de 30 minutes la première année, je n'était pas contente de ma saison. Celle qui vient de s'écouler a été nettement meilleure. Je l'ai ressenti comme tel."
Noémie Mayombo a le sourire. Elle a réussi à apprivoiser les conditions russes d'un des championnats les plus relevés d'Europe, s'adaptant surtout à la différence de culture. "Le fait d'apprendre le Russe a permis de mieux me socialiser, de parler à plus de gens, de rencontrer d'autres personnes", a confié Noémie Mayombo, très heureuse finalement de retourner dans un championnat qui l'aura pourtant fait beaucoup souffrir à ses débuts. "Humainement, surtout. Et c'est vrai que si j'ai quand même aussi joué près de 30 minutes la première année, je n'était pas contente de ma saison. Celle qui vient de s'écouler a été nettement meilleure. Je l'ai ressenti comme tel."
La saison écoulée, Noémie Mayombo a figuré dans le top 10 des scoreuses du dernier championnat avec 13,3 points de moyenne par match (pour 4 assists et 2,3 interceptions). Novosibirsk a terminé 9e sur 10 dans un championnat russe qui passe à 12 équipes. "La priorité n'était pas forcément de rester en Russie. Découvrir un autre championnat m'aurait bien plus aussi. Maintenant voilà, il y a eu une belle proposition d'Enisey. Et se frotter aux meilleures joueuses de WNBA en face et aux meilleurs joueuses d'Europe, c'est une bonne chose aussi."
Si Novossibirsk avait disputé l'Eurocoupe FIBA la saison dernière, le club sibérien avait du faire l'impasse la saison dernière. Le fait de retrouver aussi l'Eurocup avec Enisey la saison prochaine a joué sur sa décision de repartir pour une saison. "Oui, c'est certain. Jouer le championnat russe et la Coupe d'Europe, c'est très bien. Maintenant, il y aussi le calendrier de l'équipe nationale. C'est pour cela aussi que je n'ai pas hésité très longtemps. Je sais que j'aurai l'occasion de revenir plusieurs fois. En novembre, lors de la trêve de Noël, en février (pour les qualifications en vue de l'Euro-2017). Et puis cela me permet de gagner encore beaucoup d'expérience. Durant ces deux saisons, j'ai beaucoup appris, même si ce ne fut pas toujours facile. J'ai appris tant au niveau basket qu'au niveau humain. J'ai mûri."
Si Novossibirsk avait disputé l'Eurocoupe FIBA la saison dernière, le club sibérien avait du faire l'impasse la saison dernière. Le fait de retrouver aussi l'Eurocup avec Enisey la saison prochaine a joué sur sa décision de repartir pour une saison. "Oui, c'est certain. Jouer le championnat russe et la Coupe d'Europe, c'est très bien. Maintenant, il y aussi le calendrier de l'équipe nationale. C'est pour cela aussi que je n'ai pas hésité très longtemps. Je sais que j'aurai l'occasion de revenir plusieurs fois. En novembre, lors de la trêve de Noël, en février (pour les qualifications en vue de l'Euro-2017). Et puis cela me permet de gagner encore beaucoup d'expérience. Durant ces deux saisons, j'ai beaucoup appris, même si ce ne fut pas toujours facile. J'ai appris tant au niveau basket qu'au niveau humain. J'ai mûri."
Noémie Mayombo va changer de maillot, pas de pays
Tout cela s'annonce très réjouissant pour Noémie Mayombo qui a pris son rythme de croisière dans une expérience à l'étrangère qu'elle poursuivra sur les bord du Ienesey l'un des plus grands fleuves du monde (plus de 4.000 km) qui remonte la Sibérie pour se jeter dans l'Océan Arctique.
Avec un maintien en condition pour l'heure avec quelques filles de l'équipe nationale, puis une préparation plus ardue au début du mois d'août avec la Belgique, ponctuée d'un stage en Slovénie, Noémie Mayombo a de quoi se poser d'abord, pour savourer son retour en Belgique, elle qui est attendue le 1er septembre avec son club russe. Pour de nouvelles aventures...
Avec un maintien en condition pour l'heure avec quelques filles de l'équipe nationale, puis une préparation plus ardue au début du mois d'août avec la Belgique, ponctuée d'un stage en Slovénie, Noémie Mayombo a de quoi se poser d'abord, pour savourer son retour en Belgique, elle qui est attendue le 1er septembre avec son club russe. Pour de nouvelles aventures...