Jacques Grégoire se réjouissait d'entrer dans le giron du basket féminin (photo: D. Tombal/La Meuse)
Jacques Grégoire se réjouissait d'entrer dans le giron du basket féminin (photo: D. Tombal/La Meuse)
Le malaise qui caractérisait la conférence de presse annonçant la fusion entre Dexia Namur et Novia Munalux Namur il y a juste un an est réapparu au grand jour ces dernières semaines. Après Jacques Ippersiel, membre du Comité, Marc Germiat, c'est une troisième personnalité du club fusionné qui a jeté l'éponge. Tous dénoncent la fracture entre le projet de D1 hérité de feu Dexia Namur et l'école des jeunes, caractéristique du Novia. Le dernier départ en date, c'est celui de Jacques Grégoire, donc, qui a décidé jeudi de rendre son tablier de directeur technique des jeunes. Pour lui, le club vend son âme et, lui non plus ne se retrouve pas dans la façon de fonctionner d'un club fusionné, c'est une certitude, à la vite.
Arrivé en octobre dernier, Jacques Grégoire passe pour être un homme consciencieux, absolument pas polémique et d'excellente composition. Sa démission interpelle d'autant plus. Il a expliqué avoir été déçu d'avoir le titre de directeur technique sans en avoir les fonctions dénonçant le fait que le club est désormais dirigé par un triumvirat, sans concertation avec nombre de personnes qui veulent, ou voulaient, s'investir dans le club, dans un projet. La commission des jeunes a été supprimée, regrette-t-il soulignant des dysfonctionnements dans la gestion du club.
Arrivé en octobre dernier, Jacques Grégoire passe pour être un homme consciencieux, absolument pas polémique et d'excellente composition. Sa démission interpelle d'autant plus. Il a expliqué avoir été déçu d'avoir le titre de directeur technique sans en avoir les fonctions dénonçant le fait que le club est désormais dirigé par un triumvirat, sans concertation avec nombre de personnes qui veulent, ou voulaient, s'investir dans le club, dans un projet. La commission des jeunes a été supprimée, regrette-t-il soulignant des dysfonctionnements dans la gestion du club.
La fracture entre la D1 et l'école des jeunes n'a jamais été aussi importante, clament en choeur les démissionnaires. "Auparavant, le Novia se moquait du Dexia et de sa politique mais les dirigeants actuels suivent la même voie. Voilà pourquoi certaines chevilles ouvrières et l’entourage du club en général se posent des questions", note encore Jacques Grégoire dans le quotidien de Namur. Namur suit-il le même chemin que Dexia Namur ? A-t-il vendu son âme au diable ? Après l'absorption du Novia par le Dexia, certains pensaient qu'il était urgent de remettre de l'ordre dans la maison et d'instaurer une gouvernance claire. La fusion était signée dans ce but. Cela semble manifestement tarder.
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