Michel Bechoux prolonge l'interim
L'information lâchée par notre confrère, Benoît Aerts, dans le quotidien Sudpresse de Namur, a été confirmée par Jean-François Davreux, le président de Belfius Namur vendredi. "On ne pouvais pas indéfiniment reporté la décision de semaine en semaine et prolonger au cas par cas l'intérim de Michel Bechoux", explique le président namurois. "Il était de définir notre ligne de compte et pas de mettre une emplâtre sur une jambe de bois. Michel Bechoux est donc confirmé dans ses fonctions jusqu'à la fin de la campagne européenne, et je dis voire la trêve hivernale pour donner une marge. Si c'est avant, c'est mieux."
Jean-François Davreux a aussi expliqué qu'il restait 3 candidats sur la 40taine de cv reçues au club. "L'objectif est de travailler sur le long terme. Ce sont donc trois candidats belges. Un coach étranger était très intéressant, qui peut apporter quelque chose aux joueuses, c'est une certitude. Mais nous avons écarté l'idée d'un coach qui va d'abord penser à sa carrière et travailler dans le court terme, aussi bon soit-il. L'on voudrait un coach qui s'investisse à plus long terme dans un soucis de formation de nos jeunes et de continuité. Non, Michel Bechoux n'est pas une option, tout simplement pour une question de disponibilité. Il nous faut un coach à temps plein qui s'investisse à 300%."
Trois candidats composent, selon le président namurois, une short-list. L'idée étant que ce coach nommé, pour 2013 donc plus que probablement, puisse déjà préparer la saison suivante, l'exercice 2013-2014. En attendant, c'est Michel Bechoux qui poursuit son intérim avec Antoine Braibant comme assistant. Jusqu'à l'issue de la campagne européenne donc, avec au plus tôt la venue de Tarbes le 28 novembre au Hall O. Henry pour le dernier match du premier tour. Au moins.
Jean-François Davreux a aussi expliqué qu'il restait 3 candidats sur la 40taine de cv reçues au club. "L'objectif est de travailler sur le long terme. Ce sont donc trois candidats belges. Un coach étranger était très intéressant, qui peut apporter quelque chose aux joueuses, c'est une certitude. Mais nous avons écarté l'idée d'un coach qui va d'abord penser à sa carrière et travailler dans le court terme, aussi bon soit-il. L'on voudrait un coach qui s'investisse à plus long terme dans un soucis de formation de nos jeunes et de continuité. Non, Michel Bechoux n'est pas une option, tout simplement pour une question de disponibilité. Il nous faut un coach à temps plein qui s'investisse à 300%."
Trois candidats composent, selon le président namurois, une short-list. L'idée étant que ce coach nommé, pour 2013 donc plus que probablement, puisse déjà préparer la saison suivante, l'exercice 2013-2014. En attendant, c'est Michel Bechoux qui poursuit son intérim avec Antoine Braibant comme assistant. Jusqu'à l'issue de la campagne européenne donc, avec au plus tôt la venue de Tarbes le 28 novembre au Hall O. Henry pour le dernier match du premier tour. Au moins.