Marjorie Carpréaux et Kim Mestdagh seront toujours à Castors Braine la saison prochaine et complètent déjà à coup sûr une ossature qui comptera toujours Thibaut Petit à sa tête, ainsi que son Américaine Celeste Trahan-Davis. Les dirigeants brainois sont en train de reconduire leur ossature pour la saison prochaine. Il n'y a pas de raison en effet de changer une équipe qui fonctionne bien. "Et puis parce qu'ici c'est génial", lâche Marjorie Carpréaux. La meneuse des Castors, 26 ans, se sent bien à la salle André Renauld, "dans un environnement qui me fait confiance, qui m'accepte tel que je suis avec mes qualités et mes défauts", rajoute Marjorie Carpréaux qui avait rejoint les Brainoises en début de saison.
"Je suis revenue en Belgique via Houthalen, que je remercierai toujours. Cela m'a beaucoup aidé et puis j'ai trouvé avec Thibaut Petit, un coach qui me fait confiance, qui a osé travailler avec moi. C'est primordial. Tout est fait pour tout ce que ce passe bien. Il y a une stabilité qui me plaît ici à Braine, c'est un club très pro, mais aussi avec un côté familial qui est la clé de la réussite aussi."
"Je suis revenue en Belgique via Houthalen, que je remercierai toujours. Cela m'a beaucoup aidé et puis j'ai trouvé avec Thibaut Petit, un coach qui me fait confiance, qui a osé travailler avec moi. C'est primordial. Tout est fait pour tout ce que ce passe bien. Il y a une stabilité qui me plaît ici à Braine, c'est un club très pro, mais aussi avec un côté familial qui est la clé de la réussite aussi."
Une progression plus rapide que prévu
Les résultats et l'ambiance y sont aussi bien entendu pour beaucoup. "Tout s'est mis en place très vite. J'avais déjà décidé en octobre de rester ici. On m'avait dit que le club faisait beaucoup d'efforts et qu'il voulait grandir très vite. Mais on ne s'attendait peut-être pas à ce que cela soit si rapide."
Même son de cloche du côté de Kim Mestdagh. L'ailière flandrienne, 23 ans, revenue des Etats-Unis après 4 années à Colorado State University, voulait tenter l'aventure d'une carrière pro. Mais elle ne s'attendait peut-être pas à la savourer à Braine plutôt qu'à Zamora où elle a passé sa première saison en Europe.
"Quand j'ai signé à Braine, il était très clair que le club avait des projets précis et des ambitions", a expliqué Kim Mestdagh. "Le club travaille dur pour être aussi professionnel que possible. Depuis le début de la saison, il y a déjà eu tellement de progrès et d'améliorations. Braine est un club qui grandit et qui explose. C'est une grande chance pour moi d'en faire partie. Et pour la suite, disputer une Coupe d'Europe, c'est l'idéal pour pouvoir progresser encore en tant que joueuse et pour le club aussi."
Même son de cloche du côté de Kim Mestdagh. L'ailière flandrienne, 23 ans, revenue des Etats-Unis après 4 années à Colorado State University, voulait tenter l'aventure d'une carrière pro. Mais elle ne s'attendait peut-être pas à la savourer à Braine plutôt qu'à Zamora où elle a passé sa première saison en Europe.
"Quand j'ai signé à Braine, il était très clair que le club avait des projets précis et des ambitions", a expliqué Kim Mestdagh. "Le club travaille dur pour être aussi professionnel que possible. Depuis le début de la saison, il y a déjà eu tellement de progrès et d'améliorations. Braine est un club qui grandit et qui explose. C'est une grande chance pour moi d'en faire partie. Et pour la suite, disputer une Coupe d'Europe, c'est l'idéal pour pouvoir progresser encore en tant que joueuse et pour le club aussi."