Arvid Diels, Olivier Foucart, Sebastien Fortier (SKW)
Arvid Diels, Olivier Foucart, Sebastien Fortier (SKW)
"Ce sont deux équipes qui se connaissent. Qui vont se connaître encore mieux au fil des prochains matches", prédit Arvid Diels à quelques heures du choc anversois, premier Acte du duel face à Kangoeoes-Boom. "Et ce sera de plus en plus difficile offensivement. La différence se fera peut-être là, d'une surprise offensive de nous ou de Boom. De toute façon, les deux équipes vont préparer le match en défense. De notre côté, nous avons travaillé là-dessus lundi et mardi sur un entraînement en offense. Nous allons essayer de mettre beaucoup de ryhtme. Durant 40 minutes." St-Katelijne Waver affiche une [grande sérénité à l'approche de l'affrontement final]article:.2787, là où Kangoeroes-Boom ne doute pas le moindre du monde. Et tout le monde est d'accord là-dessus, cela se jouera sur des détails.
Kangoeores-Boom veut gagner chez lui pour la der à domicile
"SKW a une équipe plus jeune", analyse Sven Van Camp. "C'est peut-être une donnée au fil de l'accumulation des matches. Pour l'instant, c'est du 50-50, mais n'oubliez pas que nous jouons le premier match chez nous. C'est, quoiqu'il arrive, notre dernier match à domicile. Nous allons tout faire pour le gagner, pour nous, pour les dirigeants, pour notre public surtout. En cas de victoire, cela deviendrait du 52-48, j'en suis persuadé."
Kangoeores-Boom veut gagner chez lui pour la der à domicile
"SKW a une équipe plus jeune", analyse Sven Van Camp. "C'est peut-être une donnée au fil de l'accumulation des matches. Pour l'instant, c'est du 50-50, mais n'oubliez pas que nous jouons le premier match chez nous. C'est, quoiqu'il arrive, notre dernier match à domicile. Nous allons tout faire pour le gagner, pour nous, pour les dirigeants, pour notre public surtout. En cas de victoire, cela deviendrait du 52-48, j'en suis persuadé."
Elles ont faim (Sven Van Camp)
Sven Van Camp et Kim D'Haese (KaBo)
Pour Arvid Diels, la finale de la Coupe de Belgique intercalée au milieu de la finale des play-off pourra avoir une grande influence sur l'attribution du titre. Chacun s'y prépare. "J'ai entendu que du côté de Kangoeroes-Boom, il n'y avait pas beaucoup d'entraînement entre les matches", reprend encore le sélectionneur malinois. "De mon côté, je trouve, comme coach, qu'il y a toujours moyen de trouvrer quelque chose tactiquement, de préparer un petit truc. Je pense que physiquement, nous sommes bien."
"Elles ont faim!", rassure Sven Van Camp en parlant de ses joueuses. "Je peux vous dire: elles ont faim ! Vous savez, SKW a la chance d'avoir l'une ou l'autre joueuse pro. Cela leur donne du temps, de la récupération. Mes joueuses travaillent toute la journée et au niveau de la récupération ce n'est pas facile. Notre stratégie a payé pour amener les filles dans leur meilleure forme au meilleur moment. Une équipe qui joue le plus haut possible doit faire en sorte d'être au top de sa forme en play-off. Nous y sommes."
Etre devant efface la fatigue, être derrière la décuple (Arvid Diels)
Kangoeroes-Boom affiche une grosse confiance qui lui fait oublier probablement les stigmates de la fatigue. "Nous sommes très bien aussi", répond Arvid Diels. "Et pour ce qui est du rythme, tout dépend du rythme aussi que l'adversaire imprime. Nous avons vu la 3e manche entre Waregem et Kangoeroes-Boom, c'était important. Comme coach, c'est plus facile pour expliquer à mes joueuses ce que je veux dire, pour insister sur l'un ou l'autre point d'un match qu'elles ont toutes vues. Je n'ai pas vu une équipe de Waregem être capable de mettre un rythme très élevé durant tout le match. Par moment oui, mais pas pendant 40 minutes. Et puis, il y a la physionomie du match. On ressent différemment les choses si l'on est devant avec 5 points, et certainement plus durement si l'on est derrière avec -1. Mes joueuses, qui jouent 20 à 25 minutes, savent déjà que jouer deux matches en deux jours pèsent dans les jambes. Ce doit être le cas pour Boom où des filles jouent parfois 35 minutes. Nous verrons qui le supportera le mieux.'
"Mon équipe est peut-être un peu plus expérimentée", estime le coach anversois. "Du côté de SKW, il y a beaucoup d'options. On peut citer beaucoup de joueuses, mais il est clair que l'on a vu durant la saison que des filles comme Melissa Dennett et Sara Leemans savent faire la différence. Elles sont à surveiller. Comme d'autres. Nous avons eu un léger entraînement lundi, rien hier (mardi), mais s'il est difficile de dire qui va gagner. Je peux vous l'assurer: nous sommes prêts !"
"Elles ont faim!", rassure Sven Van Camp en parlant de ses joueuses. "Je peux vous dire: elles ont faim ! Vous savez, SKW a la chance d'avoir l'une ou l'autre joueuse pro. Cela leur donne du temps, de la récupération. Mes joueuses travaillent toute la journée et au niveau de la récupération ce n'est pas facile. Notre stratégie a payé pour amener les filles dans leur meilleure forme au meilleur moment. Une équipe qui joue le plus haut possible doit faire en sorte d'être au top de sa forme en play-off. Nous y sommes."
Etre devant efface la fatigue, être derrière la décuple (Arvid Diels)
Kangoeroes-Boom affiche une grosse confiance qui lui fait oublier probablement les stigmates de la fatigue. "Nous sommes très bien aussi", répond Arvid Diels. "Et pour ce qui est du rythme, tout dépend du rythme aussi que l'adversaire imprime. Nous avons vu la 3e manche entre Waregem et Kangoeroes-Boom, c'était important. Comme coach, c'est plus facile pour expliquer à mes joueuses ce que je veux dire, pour insister sur l'un ou l'autre point d'un match qu'elles ont toutes vues. Je n'ai pas vu une équipe de Waregem être capable de mettre un rythme très élevé durant tout le match. Par moment oui, mais pas pendant 40 minutes. Et puis, il y a la physionomie du match. On ressent différemment les choses si l'on est devant avec 5 points, et certainement plus durement si l'on est derrière avec -1. Mes joueuses, qui jouent 20 à 25 minutes, savent déjà que jouer deux matches en deux jours pèsent dans les jambes. Ce doit être le cas pour Boom où des filles jouent parfois 35 minutes. Nous verrons qui le supportera le mieux.'
"Mon équipe est peut-être un peu plus expérimentée", estime le coach anversois. "Du côté de SKW, il y a beaucoup d'options. On peut citer beaucoup de joueuses, mais il est clair que l'on a vu durant la saison que des filles comme Melissa Dennett et Sara Leemans savent faire la différence. Elles sont à surveiller. Comme d'autres. Nous avons eu un léger entraînement lundi, rien hier (mardi), mais s'il est difficile de dire qui va gagner. Je peux vous l'assurer: nous sommes prêts !"
BBC Kangoeroes-Boom
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4 | Antonia Delaere | 01/08/1994 | 1m66 | G | Bel
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5 | Kristien Callebaut | 02/04/1980 | 1m80 | C | Bel
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6 | Ilse Van Den Vonder | 01/05/1980 | 1m74 | F | Bel
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7 | Lynn Delvaux | 24/07/1993 | 1m80 | F | Bel
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8 | Virginie Michiels | 05/07/1987 | 1m80 | F | Bel
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9 | Vreny Van Driel | 30/04/1988 | 1m75 | G | Bel
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10 | Corina Arts | 03/11/1976 | 1m88 | C | Bel
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11 | Steffi De Meyer | 07/05/1988 | 1m74 | F | Bel
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12 | Melissa Van Breedam | 09/08/1985 | 1m72 | G | Bel
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13 | Ellen Lauwers | 21/05/1987 | 1m82 | F | Bel
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14 | Eveline Decroos | 26/12/1984 | 1m84 | F | B
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15 | An Boel | 04/09/1988 | 1m80 | C | Bel
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l[Coach:Sven Van Camp]b]l
l[Assistant: Kim D'Haese]b]l
l[Assistant: Kim D'Haese]b]l
- Kiné: Kim Verbeeck
St-Katelijne Waver
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4 | Ann Schyvens | 11/07/1993 | 1m65 | G | Bel
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5 | Sara Leemans | 06/08/1988 | 1m72 | G | Bel
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6 | Inge Meylemans | 13/01/1992 | 1m68 | G | Bel
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7 | Miete Celus | 03/04/1991 | 1m77 | G | Bel
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8 | Sofie Hendrickx | 18/05/1986 | 1m86 | C | Bel
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9 | Marie An Caers | 26/05/1978 | 1m80 | F | Bel
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10 | Daphne van Dessel | 17/01/1982 | 1m72 | G | Bel
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11 | Lieve Rombouts | 06/02/1991 | 1m80 | F | Bel
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12 | Freya Mertens | 01/07/1987 | 1m80 | G/F | Bel
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13 | Lut de Meyer | 09/09/1992 | 1m80 | F | Bel
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14 | Anne Winkelmans | 06/04/1983 | 1m83 | C | Bel
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15 | Melissa Dennett | 09/11/1983 | 1m88 | F/C | USA
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l[Coach: Arvid Diels]b]l
l[Assistants: Olivier Foucart - Sébastien Fortier]b]l
l[Assistants: Olivier Foucart - Sébastien Fortier]b]l
- Kiné: Tom Van Calster