Marc Foucart: "mon équipe joue nettement mieux"
Marc Foucart
Marc Foucart
Après le match, Marc Foucart, le coach de Deerlijk revenait sur la clé de la rencontre, la bonne tenue de ses joueuses et les progrès en cours: "Je suis très content de mon équipe. Par rapport au match aller à Deerlijk, je pense bien que c'était une autre équipe. On était bien dans le match au moins 35 minutes mais à la fin c'était trop et surtout avec Erica Davis à l'intérieur. En men-to-men, sur la zone... Elle était dominante et ça a été un peu la clé du match pour Sprimont mais mon équipe joue nettement mieux: il y a plus de mouvement du ballon et des joueuses et c'est ça que je veux et j'espère que l'on va encore s'améliorer en ce qui concerne notre niveau de jeu. (...) Le plus important pour moi c'est que l'équipe doit jouer plus vite mais "plus vite" avec une patience. Cela veut dire des actions plus rapides mais bien contrôlées: c'est ce que je veux et ça va prendre un peu de temps. Aujourd'hui j'ai vu des bonnes choses au niveau de la défense mais aussi par le fait que l'on marque 60 points. Avant ce n'était pas le cas et Deerlijk a eu plusieurs matches avec 40, 45 points inscrits. Maintenant, on est plutôt sur un niveau de D1 et c'est ce que je veux avec Deerlijk." a-t-il expliqué.
Marc Foucart arrivé en décembre à Deerlijk pour aider l'équipe est aussi engagé sur d’autres fronts (à Kain en D3 Hommes et chez les jeunes à Waregem) ce qu'il explique à l'interview. Quant à la question de la durée son intérim avec les Flandriennes, difficile d'y apporter une réponse même si le technicien veut encore voir l'équipe progresser et remplir ses objectifs: le Top 8. "Kain a maintenant un coach français. Là-bas il y aussi beaucoup de travail parce que cette équipe est montée de la septième place en Régionale 1 à la Division 3. Maintenant il y a un nouveau coach, c'est un bon coach: un Français habitant pas très loin de Tournai. Un joueur américain est arrivé mais on cherche encore l'alchimie et l'équilibre dans l'équipe. Je viens d'apprendre qu'ils ont perdu ce soir contre Nivelles; c'est dommage mais le but maintenant c'est de rester en Division 3 et on a bien compris au niveau de ce qui est nécessaire en Division 3 sur le terrain et à côté. Maintenant ça va prendre du temps. On a bien compris les leçons pour cette saison et le but est de rester en Division 3.
Avec Deerlijk, j'ai dit que c'est un intérim. Ma fille joue aussi dans cette équipe, je veux bien aider cette équipe mais le but est de chercher un autre coach. On a contacté des gens mais ce n'est pas évident de trouver un coach, je ne sais pas... Mais, je travaille pour Waregem comme directeur technique au niveau des jeunes: il y a 10 équipes et je travaille au niveau des fondamentaux, aider des coaches, etc... J'ai encore deux boulots mais ce n'est pas un problème, je sais bien combiner les deux. (...) Envisager rester jusqu'au bout de la saison? J'ai dit au comité "Recherchez un coach." Pour moi, si j'ai du temps je veux bien aider cette équipe et encore progresser pendant la saison: le mois de février est très important pour cette équipe." a-t-il analysé.
"Au début on a rêvé d'éviter les playdowns et jouer les playoffs. Après des débuts difficiles on a gagné les deux matches contre Monceau et ça donne une chance pour jouer les playoffs mais on va voir... Le plus important est que le club va progresser, va s'améliorer et va avoir une équipe pour laquelle il va y avoir un minimum de respect en Division 1. Dans la division, il y a deux vitesses, deux niveau: le Top avec beaucoup d'entrainements, de talent et d'étrangères et il y a quatre, cinq équipes avec beaucoup moins de moyens, du talent mais moins de capacité au niveau d'entrainement et c'est pour ça que je suis quand même content car Sprimont est plutôt avec le Top du championnat et on a fait un bon boulot contre eux. Il faut progresser." a-t-il détaillé.
Marc Foucart arrivé en décembre à Deerlijk pour aider l'équipe est aussi engagé sur d’autres fronts (à Kain en D3 Hommes et chez les jeunes à Waregem) ce qu'il explique à l'interview. Quant à la question de la durée son intérim avec les Flandriennes, difficile d'y apporter une réponse même si le technicien veut encore voir l'équipe progresser et remplir ses objectifs: le Top 8. "Kain a maintenant un coach français. Là-bas il y aussi beaucoup de travail parce que cette équipe est montée de la septième place en Régionale 1 à la Division 3. Maintenant il y a un nouveau coach, c'est un bon coach: un Français habitant pas très loin de Tournai. Un joueur américain est arrivé mais on cherche encore l'alchimie et l'équilibre dans l'équipe. Je viens d'apprendre qu'ils ont perdu ce soir contre Nivelles; c'est dommage mais le but maintenant c'est de rester en Division 3 et on a bien compris au niveau de ce qui est nécessaire en Division 3 sur le terrain et à côté. Maintenant ça va prendre du temps. On a bien compris les leçons pour cette saison et le but est de rester en Division 3.
Avec Deerlijk, j'ai dit que c'est un intérim. Ma fille joue aussi dans cette équipe, je veux bien aider cette équipe mais le but est de chercher un autre coach. On a contacté des gens mais ce n'est pas évident de trouver un coach, je ne sais pas... Mais, je travaille pour Waregem comme directeur technique au niveau des jeunes: il y a 10 équipes et je travaille au niveau des fondamentaux, aider des coaches, etc... J'ai encore deux boulots mais ce n'est pas un problème, je sais bien combiner les deux. (...) Envisager rester jusqu'au bout de la saison? J'ai dit au comité "Recherchez un coach." Pour moi, si j'ai du temps je veux bien aider cette équipe et encore progresser pendant la saison: le mois de février est très important pour cette équipe." a-t-il analysé.
"Au début on a rêvé d'éviter les playdowns et jouer les playoffs. Après des débuts difficiles on a gagné les deux matches contre Monceau et ça donne une chance pour jouer les playoffs mais on va voir... Le plus important est que le club va progresser, va s'améliorer et va avoir une équipe pour laquelle il va y avoir un minimum de respect en Division 1. Dans la division, il y a deux vitesses, deux niveau: le Top avec beaucoup d'entrainements, de talent et d'étrangères et il y a quatre, cinq équipes avec beaucoup moins de moyens, du talent mais moins de capacité au niveau d'entrainement et c'est pour ça que je suis quand même content car Sprimont est plutôt avec le Top du championnat et on a fait un bon boulot contre eux. Il faut progresser." a-t-il détaillé.
Pierre Cornia: "un match difficile et piégeux"
Pierre Cornia (photo: Ann Dee Lamour)
Au bout des 40 minutes, Pierre Cornia le coach sprimontois se montrait soulagé mais aussi fier du travail accompli par son équipe qui devait passer outre le match perdu en prolongation contre Namur: "Mes impressions? Bonne victoire! C'était un match difficile et piégeux dans le sens où on avait la victoire au bout des mains mercredi et je pense que c'est plus dur de se remettre d'une défaite comme ça qu'à la limite de prendre 15 points. Ce n'était pas simple mais on a bien réagi, je suis très très fier de mes "encore plus jeunes joueuses", de filles qui sont sorties du banc, qui ne jouent pas souvent. Je pense à Alexandra Milanovic et Justine Colson qui ont vraiment fait un très très bon travail. Bien sûr c'est une prestation d'équipe mais je tiens à féliciter Erica Davis qui a été exemplaire tout le match, qui a été au four et au moulin et qui vraiment a fait un tout gros match. Au niveau de sa mentalité c'était vraiment très très bien. (...) Le match à Namur? On a eu la maîtrise jusqu'à une minute de la fin du match et puis dans la dernière minute ... ce serait un grand mot de dire que l'on a "pêté les plombs" mais on n’a absolument pas su gérer cette fin de match à Namur. Pourquoi? Je n'en sais rien, honnêtement. Ce sont des choses qui arrivent. J'étais très déçu et je pense que les filles devaient l'être aussi. D'office c'est tendu après parce que l'on met les responsabilités sur tout le monde et sur chacun en réalité.
Je crois que quelque part il faut un peu voir ça avec du recul: on est en train de discuter du match à Namur et on ne trouve pas normal de ne pas l'avoir gagné (sourires) c'est un peu le monde à l'envers alors qu'avant le match... Je ne pars jamais battu mais je me disais: "aujourd'hui il ne faut pas prendre une claque" vu les circonstances. Il ne faut pas oublier que l'on joue sans Manon et sans Natacha qui sont quand même deux pions importants." a-t-il analysé.
Le technicien liégeois est aussi revenu plus en détails sur le match contre Deerlijk, a esquissé les prochains rendez-vous des Sprimontoises et revenait sur la prestation des jeunes de l'effectif: "Je suis très content de ce match-ci parce que c'est un match qui me faisait très peur et là on est de nouveau dans un bonne dynamique. On a un gros week-end la semaine prochaine parce qu'on a les demi-finales de Coupe AWBB et on a un match à Willebroek donc il va falloir gérer ça, gérer l'équipe mais bon je trouve que c'est gai pour le club, pour les filles, pour nous. Des challenges comme ça, tout le monde ne peut pas les avoir donc autant en profiter. (...) Le départ du match me faisait peur et le début du match m'a donné raison: on était emprunté, on était lent. Il faut toujours remettre les choses à leur place aussi; je pense que Deerlijk jouait bien, shootait très bien. On est gâtés à la mi-temps d'avoir deux points d'avance. A la limite ça ne reflète pas la mi-temps mais à partir du moment où on a joué beaucoup plus dur défensivement, on a pu développer notre jeu de contre-attaque, on a pu mettre nos shoots parce qu'on a été mis en confiance par notre défense. A partir de ce moment-là, j'ai su que l'on était de nouveau dans le rythme du match. On a un peu galvaudé à la fin du troisième quart-temps mais il fallait que je fasse souffler Erica Davis, Noémie Mayombo. On a quand même gardé sept points d'avance, on a eu quand même la maîtrise sur le dernier quart-temps sans jamais vraiment être à l'abri. (...)
Les rotations avec les jeunes joueuses? Je ne parle même plus de plus jeunes, sinon je peux parler de plus jeune d'une plus jeune joueuse (sourires). Dans notre équipe pour qu'on gagne des matches, elles doivent toute apporter quelque chose. On a besoin que toute les filles soient bien, soient au top et sur tout les matches style Namur... Ici face à Deerlijk on a été cherché des filles qui n'avaient pas l'habitude. Maintenant c'est bien de pouvoir faire ça, bien pour elles parce que ce sont des filles qui sont quand même là aux entrainements et pouvoir s'exprimer et montrer ce qu'elles valent... Je suis vraiment heureux parce que ce n'est pas tous les jours que l'on peut jouer en D1 et elles peuvent toute dire qu’elles ont joué, qu'elle on apporté quelque chose donc ça c'est magnifique parce que c'est une récompense pour elles du travail fourni. Il ne faut pas oublier qu'elles ont 16 ou 17 ans: c'est quand même pas mal." a-t-il expliqué.
"Concernant Manon Grzesinski? (ndlr: entorse du pouce) On ne prendra pas de risques mais elle devrait peut-être être là on va dire. Maintenant on ne va pas prendre de risques, ça ne sert à rien.(...) On a encore besoin d'une victoire pour être certain des playoffs et puis si on parvient à bien gérer tout le monde, la fatigue. Une fois que l'on est dans les playoffs, si on peut être au complet... Tout est possible. Tout est possible je pense avec notre équipe. Maintenant, il ne faut pas voir si loin, il faut bien préparer. Je pense que ça va être important de bien gérer tout ce qui est entrainement, match et tout ça. De toute façon quand on gagne c'est toujours plus simple." a-t-il déclaré.
Je crois que quelque part il faut un peu voir ça avec du recul: on est en train de discuter du match à Namur et on ne trouve pas normal de ne pas l'avoir gagné (sourires) c'est un peu le monde à l'envers alors qu'avant le match... Je ne pars jamais battu mais je me disais: "aujourd'hui il ne faut pas prendre une claque" vu les circonstances. Il ne faut pas oublier que l'on joue sans Manon et sans Natacha qui sont quand même deux pions importants." a-t-il analysé.
Le technicien liégeois est aussi revenu plus en détails sur le match contre Deerlijk, a esquissé les prochains rendez-vous des Sprimontoises et revenait sur la prestation des jeunes de l'effectif: "Je suis très content de ce match-ci parce que c'est un match qui me faisait très peur et là on est de nouveau dans un bonne dynamique. On a un gros week-end la semaine prochaine parce qu'on a les demi-finales de Coupe AWBB et on a un match à Willebroek donc il va falloir gérer ça, gérer l'équipe mais bon je trouve que c'est gai pour le club, pour les filles, pour nous. Des challenges comme ça, tout le monde ne peut pas les avoir donc autant en profiter. (...) Le départ du match me faisait peur et le début du match m'a donné raison: on était emprunté, on était lent. Il faut toujours remettre les choses à leur place aussi; je pense que Deerlijk jouait bien, shootait très bien. On est gâtés à la mi-temps d'avoir deux points d'avance. A la limite ça ne reflète pas la mi-temps mais à partir du moment où on a joué beaucoup plus dur défensivement, on a pu développer notre jeu de contre-attaque, on a pu mettre nos shoots parce qu'on a été mis en confiance par notre défense. A partir de ce moment-là, j'ai su que l'on était de nouveau dans le rythme du match. On a un peu galvaudé à la fin du troisième quart-temps mais il fallait que je fasse souffler Erica Davis, Noémie Mayombo. On a quand même gardé sept points d'avance, on a eu quand même la maîtrise sur le dernier quart-temps sans jamais vraiment être à l'abri. (...)
Les rotations avec les jeunes joueuses? Je ne parle même plus de plus jeunes, sinon je peux parler de plus jeune d'une plus jeune joueuse (sourires). Dans notre équipe pour qu'on gagne des matches, elles doivent toute apporter quelque chose. On a besoin que toute les filles soient bien, soient au top et sur tout les matches style Namur... Ici face à Deerlijk on a été cherché des filles qui n'avaient pas l'habitude. Maintenant c'est bien de pouvoir faire ça, bien pour elles parce que ce sont des filles qui sont quand même là aux entrainements et pouvoir s'exprimer et montrer ce qu'elles valent... Je suis vraiment heureux parce que ce n'est pas tous les jours que l'on peut jouer en D1 et elles peuvent toute dire qu’elles ont joué, qu'elle on apporté quelque chose donc ça c'est magnifique parce que c'est une récompense pour elles du travail fourni. Il ne faut pas oublier qu'elles ont 16 ou 17 ans: c'est quand même pas mal." a-t-il expliqué.
"Concernant Manon Grzesinski? (ndlr: entorse du pouce) On ne prendra pas de risques mais elle devrait peut-être être là on va dire. Maintenant on ne va pas prendre de risques, ça ne sert à rien.(...) On a encore besoin d'une victoire pour être certain des playoffs et puis si on parvient à bien gérer tout le monde, la fatigue. Une fois que l'on est dans les playoffs, si on peut être au complet... Tout est possible. Tout est possible je pense avec notre équipe. Maintenant, il ne faut pas voir si loin, il faut bien préparer. Je pense que ça va être important de bien gérer tout ce qui est entrainement, match et tout ça. De toute façon quand on gagne c'est toujours plus simple." a-t-il déclaré.
Erica Davis: "Satisfaite, fatiguée et fière de mon équipe"
Erica Davis (photo: Ann Dee Lamour)
Avec ses 24 points (9/13 au tir) et 11 rebonds, Erica Davis, l'intérieure de Sprimont a imposé son jeu tout au long de la rencontre. A l'issue du match, elle confiait ses impressions et refaisait brièvement le film du match: "Mes impressions? Satisfaite (sourire), contente que nous ayons gagné, fatiguée: ça a vraiment été une longue semaine pour nous et juste fière de mon équipe parce que ce soir c'était dur et après la longue semaine avec des matches durs (...) Tout ce que j'ai à dire c'est que tous les matches que nous avons joués nous les avons joué plus ou moins au même niveau que les équipes que nous avons rencontré. Je pense que le match de ce soir était un exemple de comment notre attaque a du se battre un peu parce qu'elles jouaient une bonne défense. Mais à la fin ce qui nous a aidé et spécialement en deuxième mi-temps ça a été notre défense. On est vraiment montées d'un cran et davantage "touché" les ballons, on les a davantage interceptés. On a été meilleures au rebond, on a plus communiqué sur les écrans et en général. Cela nous a donné l'énergie et aidé à remonter dans ce match." a-t-elle confié.
Alexandra Milanovic: "prendre notre courage à deux mains et faire de notre mieux"
Parmi les jeunes joueuses citées par Pierre Cornia à l'interview on retrouve notamment Alexandra Milanovic. Auteure de 9 points et ayant passé près de 20 minutes sur le parquet, l'ailière sprimontoise livrait ses impressions à la sortie du vestiaire "Je pense que l'on n'a pas été concentrées dès le début mais on s'est réveillées dès la mi-temps: on a joué plus collectivement, on a pris les bonnes options et on a plus joué à l'intérieur aussi donc au niveau du shoot ça a été beaucoup mieux. Il faut dire qu'elles ont eu un bon taux de réussite aux shoot, c'était impressionnant mais on a quand même su passer au-dessus et faire un très bon match au final. (...) C'est ma deuxième saison en tant que jeune. Je n'ai pas eu vraiment beaucoup de temps de jeu pour le moment et le fait qu'il y ait des absentes fait que l'on doit aussi prendre notre courage à deux mains et faire de notre mieux pour essayer d'apporter quelque chose à l'équipe. Le coach m'a fait jouer, il m'a fait confiance, j'ai fait ce que je pouvais faire pour essayer de faire gagner l'équipe et ça s'est super bien passé. (...) Pour le moment j'essaie de mieux progresser en défense parce qu'en attaque on dit souvent que j'ai du culot au niveau de mes shoots: je n'ai pas peur de les prendre. Même avec une fille à 10 centimètres de moi, je prendrai mon shoot. Je suis encore jeune, j'ai encore beaucoup de choses à travailler que ce soit dans les systèmes de jeu, dans la vision du jeu aussi. Là j'ai encore le temps pour bien progresser et comme vous dites, on n'est pas encore à la fin de la saison donc pas de soucis." a-t-elle détaillé.
Angèle Boucquey: "en février nous aurons des matches importants"
Angèle Boucquey (à gauche) meilleure marqueuse de son équipe face à Sprimont
Du côté de Deerlijk, Angèle Boucquey aura été un élément très en vue durant la rencontre. L'arrière-shooteuse auteure de 18 points (7/11 au tir) et 7 rebonds revenait sur le déroulement du match et l'importance du mois de février pour le club flandrien: "Je trouve que l'on a bien joué et c'est dommage d'avoir perdu parce que c'était un match très serré. Au début du match, on avait confiance. En deuxième mi-temps c'était plus difficile parce que Sprimont a accéléré le rythme et nous ont était pas dedans: elles ont marqués 12 points de suite je pense et nous cinq points dans ce troisième quart. C'est là qu'il y a eu un grand écart. Le but de ce match était d'améliorer notre jeu parce qu'en février nous aurons des matches importants pour essayer de jouer les playoffs. Je suis satisfaite du match que l'on a fait aujourd'hui. (...) La différence dans le troisième quart? L'intérieur et les rebonds. Leur Américaine a fait la différence en dessous de l'anneau. On manquait de taille et tous les rebonds que ce soit offensifs ou défensifs étaient pour eux. C'est ça qui a fait la différence en fait. Sans oublier leur rapidité. (...) La situation avec Marc Foucart? Pour l'instant tout se passe bien. On fait les entrainements, il vient coacher les matches et ça va, il n'y a pas de problèmes. Ce n'est pas qu'il ne se donne pas à fond quand il vient chez nous. Quand il est là, quand il vient pour les entrainements ou les matches, il est à 100% donc ce n'est pas un problème. (...) Les objectifs pour février? Essayer de gagner les matches comme contre Houthalen, Gentson, Ypres: des matches qu'on a perdus au premier tour. Le but est de pouvoir gagner ces matches-là pour pouvoir être dans le Top8 et participer aux playoffs" a-t-elle déclaré.