Lien Delmulle (photo: Ann Dee Lamour)
Lien Delmulle (photo: Ann Dee Lamour)
Lettonie (lundi à 13h30), Tchéquie (mardi à 13h30) et Hongrie (mercredi à 13h30), puis à nouveau Lettonie (vendredi à 15h45), Tchéquie (samedi à 11h50) et enfin Hongrie (dimanche à 9h30 !), c'est le programme des U18 de Sven Van Camp et Stefan Baczaï. Un véritable parcours du combattant pour les Belges qui doivent terminer parmi les deux premières du groupe pour assurer leur salut au plus haut niveau européen. Pas évident, d'autant qu'en jouant en ouverture à 13h30, un horaire déjà difficile à gérer, l'heure d'entraînement est fixée à 8h00. De quoi user les organismes.
Après trois matches ardus face à la Russie, la Suède et la Slovénie, la Belgique doit se reconcentrer sur un nouvel objectif et oublier les stigmates de la fatigue née d'un double campagne. "Il n'y avait pas de grande différence entre nous et la Suède ou la Russie, excepté le fait que les Russes pouvaient disposer de beaucoup plus de joueuses de taille et que nous avons eu beaucoup de mal à rentrer nos shoots ouverts contre la Suède. Contre les Russes, nous les avons laissées jouer 5 minutes en deuxième mi-temps. En ne jouant plus notre jeu, en ne travaillant pas suffisamment en défense, la Russie a creusé un écart que nous n'avons plus jamais su rattrapper. Contre la Suède, la victoire était possible, mais notre pourcentage de shoot fut trop bas que pour pouvoir revendiquer quelque chose. Nous avons manqué presque tous nos shoots offrant la possibilité aux Suédoises d'autant de contre-attaques possible. Contre la Slovénie, ce n'était pas facile non plus. Nous avons réalisé un bon départ, mais sans pouvoir tenir le niveau ensuite. Cela nous semblait aller de soi d'être devant en maîtrisant absolument leur deux meilleures joueuses, mais nous avons relâché notre attention à ce niveau et la Slovénie est revenue dans le match."
Quatrième des Mondiaux U17 à Toulouse, Lien Delmulle et plusieurs de ses coéquipières doivent enchaîner un nouveau challenge, se maintenir en U18 avec une autre équipe composée de filles ayant aussi déjà un Euro U20 dans les jambes. "Je me sens fatiguée, c'est vrai", avoue l'ailière de Declercq Stortbeton Waregem tracassée aussi par son coude. "Et au nom des 8 joueuses qui ont réalisé une double campagne, je peux dire que c'est surtout difficile mentalement, de faire le déclic dans sa tête pour se concentrer sur un autre évènement et jouer dans une autre équipe. Je me suis blessée à Toulouse, en demi-finale. Ou bien j'ai fait un faux mouvement, ou bien je suis tombée dessus, mais je me suis fait mal au coude. Je m'en ressens encore un peu, mais on fait beaucoup de travail avec Laetitia, notre kiné, et cela va déjà beaucoup mieux."
Après trois matches ardus face à la Russie, la Suède et la Slovénie, la Belgique doit se reconcentrer sur un nouvel objectif et oublier les stigmates de la fatigue née d'un double campagne. "Il n'y avait pas de grande différence entre nous et la Suède ou la Russie, excepté le fait que les Russes pouvaient disposer de beaucoup plus de joueuses de taille et que nous avons eu beaucoup de mal à rentrer nos shoots ouverts contre la Suède. Contre les Russes, nous les avons laissées jouer 5 minutes en deuxième mi-temps. En ne jouant plus notre jeu, en ne travaillant pas suffisamment en défense, la Russie a creusé un écart que nous n'avons plus jamais su rattrapper. Contre la Suède, la victoire était possible, mais notre pourcentage de shoot fut trop bas que pour pouvoir revendiquer quelque chose. Nous avons manqué presque tous nos shoots offrant la possibilité aux Suédoises d'autant de contre-attaques possible. Contre la Slovénie, ce n'était pas facile non plus. Nous avons réalisé un bon départ, mais sans pouvoir tenir le niveau ensuite. Cela nous semblait aller de soi d'être devant en maîtrisant absolument leur deux meilleures joueuses, mais nous avons relâché notre attention à ce niveau et la Slovénie est revenue dans le match."
Quatrième des Mondiaux U17 à Toulouse, Lien Delmulle et plusieurs de ses coéquipières doivent enchaîner un nouveau challenge, se maintenir en U18 avec une autre équipe composée de filles ayant aussi déjà un Euro U20 dans les jambes. "Je me sens fatiguée, c'est vrai", avoue l'ailière de Declercq Stortbeton Waregem tracassée aussi par son coude. "Et au nom des 8 joueuses qui ont réalisé une double campagne, je peux dire que c'est surtout difficile mentalement, de faire le déclic dans sa tête pour se concentrer sur un autre évènement et jouer dans une autre équipe. Je me suis blessée à Toulouse, en demi-finale. Ou bien j'ai fait un faux mouvement, ou bien je suis tombée dessus, mais je me suis fait mal au coude. Je m'en ressens encore un peu, mais on fait beaucoup de travail avec Laetitia, notre kiné, et cela va déjà beaucoup mieux."
Le programme des Belges
. Lundi (13h30):
Belgium U18 - Lettonie
. Mardi (13h30):
Belgium U18 - Tchéquie
. Mercredi (13h30):
Belgium U18 - Hongrie
. Vendredi (15h45):
Belgium U18 - Lettonie
. Samedi (11h50):
Belgium U18 - Tchéquie
. Dimanche (09h30):
Belgium U18 - Hongrie
Belgium U18 - Lettonie
. Mardi (13h30):
Belgium U18 - Tchéquie
. Mercredi (13h30):
Belgium U18 - Hongrie
. Vendredi (15h45):
Belgium U18 - Lettonie
. Samedi (11h50):
Belgium U18 - Tchéquie
. Dimanche (09h30):
Belgium U18 - Hongrie