Jeugd Gentson et Blue Cats Ieper ont démontré, et démontrent, qu'il n'est point besoin de budgets démesurés pour réaliser du bon travail avec les jeunes et leur permettre, non seulement, de percer en division I, mais de constituer une plus-value pour les sélections nationales au point de les faire briller sur la scène européenne. Seules conditions, du talent, une formation adéquate axée sur le haut niveau et de la patience. Les clubs qui comprennent cela aujourd'hui seront aux avants-postes demain. Côté wallon, Point Chaud Sprimont a pris la tangente et le Novia Munalux Namur veut donner aussi sa chance aux jeunes joueuses. "Il y a du talent chez les jeunes en Wallonie et très certainement en région liégeoise pour parler de celles que je connais", explique Guillaume Barbieux. "Mais avec la fusion à Namur, il ne reste que 3 clubs wallons sur les 10 de DI. Quel avenir reste-t-il pour les jeunes talents wallons ? Si j'avais une fille de 9 ans, je ne l'encouragerais pas à faire du basket. Il n'y a pas d'avenir comme c'est parti là !"
Guillaume Barbieux ne veut pourtant pas baisser les bras et ne désarme pas. "Je veux tout tenter pour trouver les fonds nécessaires et permettre à la Renaissance Montegnée de jouer en D1. Je veux remuer tout ce qui est possible pour offrir aux jeunes un débouché au plus haut niveau. C'est vital pour le basket féminin wallon. Pourquoi ne pas voir l'AWBB soutenir ce genre de projet ? Si la Ville de Namur soutient ses clubs, pourquoi pas la Ville de Liège ? Je veux aller voir la Région Wallonne, aller trouver des entreprises, des sociétés. Je veux explorer n'importe quelle piste, mais il faut faire quelque chose !" L'appel est lancé !
Guillaume Barbieux ne veut pourtant pas baisser les bras et ne désarme pas. "Je veux tout tenter pour trouver les fonds nécessaires et permettre à la Renaissance Montegnée de jouer en D1. Je veux remuer tout ce qui est possible pour offrir aux jeunes un débouché au plus haut niveau. C'est vital pour le basket féminin wallon. Pourquoi ne pas voir l'AWBB soutenir ce genre de projet ? Si la Ville de Namur soutient ses clubs, pourquoi pas la Ville de Liège ? Je veux aller voir la Région Wallonne, aller trouver des entreprises, des sociétés. Je veux explorer n'importe quelle piste, mais il faut faire quelque chose !" L'appel est lancé !
Dans un premier temps, la Renaissance Montegnée avait renoncé à tenter de rejoindre l'élite. Guillaume Barbieux veut relancer différentes pistes. Côté néerlandophone, le point d'interrogation pèse toujours sur les intentions de Deerlijk, même si, pour l'instant, la volonté de rejoindre la D1 pourrait y être alors que Willebroek, derrière les Flandriennes en L1, piaffe d'impatience de grimper à l'échelon supérieur.