Le Season Opening a battu son plein au Lange Munte

Pour le premier match de championnat, les Gantoises et les Brabançonnes wallonnes ont ouvert le bal au Lange Munte de Courtrai. Après un départ canon dans le premier quart, Braine a vu Gentson revenir progressivement dans le deuxième quart mais le retour des vestiaires verra la triplette Copeland-Lucet-Bestagno permettre aux Brainoises d’empocher la victoire (39-65) face à des Gantoises en difficulté offensivement durant plusieurs moments dans la rencontre.

Ce fut donc Gentson par l’entremise de Lynn Delvaux aura inscrit les premiers points du championnat mais c’est Braine qui va prendre la direction des opérations dans le premier quart-temps grâce à Kurtozi et Bestagno notamment . Dans le même temps, les Gantoises resteront plusieurs minutes sans inscrire le moindre point. Après 10 minutes, Braine s’est réservé un bel avantage (7-21).

Mais lors des 10 minutes suivantes, Gentson réagit. Plus agressives, les joueuses de Ly Hamady verouillent l’accès au panier tandis que Lut De Meyer et Liz Schmitz aident les Gantoises à revenir à moins de 10 points à la pause (22-29).

Au début du troisième quart-temps, l’écart se stabilise autour des 10 points avant que Kirby Copeland n’alimente le marquoir.

La meneuse américaine de Braine bien aidée par Soana Lucet et Martina Bestagno continue son travail de sape pour aider son équipe à doubler l’écart à l’entame du dernier quart temps (30-52).

Comme lors du premier quart et du troisième, l’attaque de Gentson n’aura pas réussir à finir ses action tandis que Braine continuera sur sa lancée pour empocher son premier succès de la saison (39-65).

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• Les réactions

Ly Hamady (coach Jeugd Gentson): A aucun moment, nous avons été dans le match. Mes joueuses ont montré trop de respect pour une équipe comme Braine qui a les moyens de faire Top 4 ou Top 5. Les filles n’étaient pas prêtes à se battre, ça a été mon discours après le match. Je peux accepter que l’adversaire est plus fort sans pour autant accepter de prendre 25 points. (…)Quand offensivement ça ne tourne pas trop et que défensivement on manque de combativité, cela rend le match trois fois plus difficile."

Soana Lucet (Royal Castors Braine): "On est satisfaites de notre match. Le coach avait souligné un élément : l’importance de notre défense. On a fait un boulot satisfaisant dans ce domaine et on est donc contentes de cette victoire. (…) On sait que l’on peut marquer des points mais un élément important à reproduire dans les semaines qui viennent, c’est d’arrêter les autres équipes. C’est un objectif important que ce soit pour moi ou pour l’équipe".

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Le deuxième match de la journée voit s’affronter deux équipes attendue dans le Top 5 du Championnat. Malgré les absences de part et d’autres: Winkelmans (blessure) du côté Malinois et Strubbe, Raman, Celus (blessure) et Vucurovic (pas en règle au niveau administratif) du côte de Waregem. Les deux équipes se sont livrées dans un mano-à-mano rythmé qui aura vu Waregem mener mais Sint-Katelijne faire sentir son souffle jusqu’à la dernière seconde.

Le match commence avec intensité dès les premières minutes et c’est Waregem qui prend un petit avantage de quatre points après cinq minutes mais les défenses prennent le pas sur les attaques et les deux équipes restent au coude à coude, Ben Abdelkader répondant à Vanloo depuis la ligne des 3 points. Dennett permet cependant à Waregem d’enfoncer le clou après 10 minutes : 12-19.

Le deuxième quart recommence et les deux équipes continue de se livrer en défense et aux rebonds et de se rendre coup pour en attaque. Sint-Katelijne prend le contrôle du rebond mais pêche dans son adresse aux tirs. Waregem garde un léger écart et va même flirter avec les 10points d’écart en fin de première mi-temps (24-33).

Les joueuses d’Arvid Diels entament le troisième quart de belle manière et refont tout leur retard en 3 minutes. Les deux équipes se rendent panier pour panier avec notamment Lisa Biebuyck adroite aux 6,75 mètres. L’adresse de Julie Vanloo et l’activité de Melissa Dennett permettent cependant à Waregem de creuser à nouveau un avantage au score (44-53).

Comme au retour des vestiaires, Sint-Katelijne réduit l’écart et revient à égalité grâce à un triple de Leemans mais Vanloo lui répond. A un peu plus de trois minutes du terme, SKW prend l’avantage et les rebonds de ses shoots manqué. Dennett va redonner deux points d’avance à Waregem au début de la dernière minute. Vanloo manque deux lancers pour tuer le match mais Sint-Katelijne ne réussit pas exploiter le dernier ballon. Le plus important rebond de la partie, sans doute, est pris par Ellen De Stoop. Résultat final : 61-63.

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• Réactions:

Benny Mertens (coach Declercq Stortbeton Waregem): «Jouer avec 6 joueuses même si on s’appelle Waregem, on n'était vraiment pas sûr de gagner contre Sint-Katelijne. (…) En ce qui concerne les blessés, on verra comment les choses évoluent : on a Jana Raman qui reviendra la semaine prochaine, Anne-Sophie Strubbe peut-être aussi et puis Miete Celus qui est à plus long terme sans oublier Lien Delmulle et puis Maja Vucurovic qui normalement devrait venir la semaine prochaine. (…) Les filles se sont battues à fond et c’est un succès qui nous donne un plus. »

Arvid Diels (coach Sint-Katelijne-Waver): "La deuxième mi-temps a été meilleure que la première. On termine la première mi-temps avec 24 points et ça c’est trop peu. Waregem a joué tout le match en zone. Ca signifie que tu sais que tu vas recevoir des shoots ouverts. On avait beaucoup plus confiance en nous en seconde mi-temps, que ce soit au niveau de la prise de responsabilités, au niveau des shoots. On revient deux fois à égalité, on passe devant une fois. (…) On perd de 2 points et d’autre matches vont arriver maintenant pour faire sortir un esprit de revanche, pour motiver l’équipe mais ça ne va pas être facile. En préparation contre de très bonnes équipes, on a eu de matches avec de bons pourcentages de tirs. Ici on a raté beaucoup. Je pense qu’à domicile on aura un bon pourcentage de shoots mais on devra trouver des solutions quand on jouera en déplacement. »

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Le match de milieu d’après-midi du Season Opening opposait le DBC Houthalen au Spirou Monceau. Houthalen qui cette semaine a pu compter sur l’arrivée d’un renfort: l’intérieur US Kelly Keil mais qui ne peut pas encore évoluer en championnat. Un championnat que Monceau a entamé par une victoire (62-66) malgré un gros retour d’Houthalen dans les dernières minutes.

Après des débuts équilibrés, c’est Monceau qui prend la direction des opération en comptant six points d’avance après cinq minutes de jeu grâce notamment à la Française Westelynckx (12 points en 7 minutes). Houthalen pousse pour recoller au score par l’entremise de Nathalie Smolders et Annelies Blommaers et revient à 4 points en fin de premier quart : 19-23.

Spirou Monceau porte son avance à 11 point en milieu de deuxième quart grâce au travail de Virginie Michiels au poste bas. L’attaque d’Houthalen est en panne. Les Limbourgeoises n’inscrivent que 8 points sur l’entièreté du quart-temps. 27-38 à la mi-temps.

Il faut attendre 2 minutes après la pause pour voir le score évoluer tandis que l’écart reste proche des 10 points malgré les efforts de Zurings et l’agressivité de Carpréaux en attaque. Mais Houthalen revient fort dans la dernière minute grâce à 2 bombes de Lisa Gielen : un triple d’abord puis un shoot au buzzer à 7 mètres. Les Limbourgeoises rappliquent à 6 points avant d’entamer les dix dernières minutes.

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• Réaction

Patrick Stainier (coach Spirou Monceau): «On commence à faire des choses intéressantes. On a fait une première mi-temps conforme au travail réalisé à l’entrainement. On sait qu’on a un jeu à risques et donc qu’il y aura du déchet. On a eu un petit souci sur le fait que notre joueuse Sénégalaise (ndlr : Lika Sy) ne puisse pas jouer le match et les filles ont été un peu stressé par rapport à ça et ça s’est ressenti au début du troisième quart-temps, le soufflé est un peu retombé et l’équipe adverse revenant, ça devient un match beaucoup plus équilibré.(…) Ce que je retire de positif c’est que l’on a commencé à essayer de chercher les bonnes option et que défensivement, on a eu de bonnes séquences. 60 point au rythme où on a joué, c’est pas trop mal.»

Marjorie Carpréaux (DBC Houthalen): «C’est difficile pour moi parce que je reviens de blessure, cela faisait 15 jours que j’étais sur la touche. J’appréhendais ce match tant physiquement qu’au point de vue de l’équipe. (…) Du côté de Monceau, ça tournait bien : Westelynckx et Balleau ont fait un bon job. On était un peu en retard sur tout. Physiquement, on était brûlées et donc ce n’était pas simple. On perd ce match de 3 points et normalement on devait le gagner. La deuxième mi-temps était meilleure que la première. Aussi bien moi que mes coéquipière on a bâclé la première mi-temps. (…) Honnêtement, je suis brulée physiquement et je pense que cette blessure me dit clairement : stop, il faut que tu arrêtes. D’ailleurs je voudrais dire un gros merci au kiné de Monceau qui m’a suivi durant des années à Namur et qui a pu m’orienter sur la nature de ma blessure. »

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La quatrième match de la journée opposait les deux demi-finalistes de la saison passée : Sprimont et Namur. Une absente à déplorer du côté Sprimontois, celle de la meneuse Noémie Mayombo victime d’un accident de voiture dimanche soir en rentrant du tournoi de Namur. Sur le banc et à l'échauffement, le stratège sprimontois n'a pas joué. Une absence qui n’a pas empêché les filles de Pierre Cornia de l’emporter face à Namur après avoir fait la course en tête et creusé l’écart dans le deuxième quart sans que les joueuses de Daniel Goethals ne trouvent les ressources pour revenir.

Après un 6-0 d’entrée de la part des Sprimontoises, Namur réagit et inscrit 5 points en une minute. Wojta égalise dans un premier quart et les deux équipes restent au coude à coude. Le match s’emballe sur la fin des 10 premières minute et les joueuses de Pierre Cornia gardent un avantage de 3 points (13-10).

Sprimont prend 7 points d’avance dans le début du deuxième quart, un écart qui se maintient et qui petit à petit grandit pour atteindre une douzaine d’unités à la pause (31-19).

Les choses ne s’arrangent pas pour les Namuroises à la sortie du vestiaire puisque après 5 minutes, elles se retrouvent menées de 18 points face à un Sprimont qui doit néanmoins déplorer la perte d’Emmanuella Mayombo sur blessure. Cela n’empêche pas les joueuses de Pierre Cornia de faire feu à 3 points notamment par l’intermédiaire de Mossong et d’ainsi porter l’écart au-delà des 20 points avant Namur ne réagisse (47-28).

Namur qui se montre maladroit sous l’anneau et en panne d’adresse dans le dernier quart que pour combler un trou qui reste fixé autour des 20 points et le match se termine sur la marque de 57-34.

• Réactions

Pierre Cornia (coach Point Chaud Sprimont): « Je suis vraiment très heureux de la façon avec laquelle mes filles ont joué : beaucoup de cœur et d’abnégation. Elles ont été très collectives et hargneuses, elles ont respecté à la lettre ce que je leur avait demandé et dans l’adversité (Noémie Mayombo forfait et la blessure d’Emanuela) elles se sont encore plus serré les coudes. Je leur tire mon chapeau. (…) Il y a encore des choses à travailler tant offensivement que défensivement mais je pense que le Tournoi des 4 Wallons nous a fait énormément de bien, on est dans une dynamique de victoires et c’est quelque chose d’important quand on est joueur. (…)Avec Emmanuela, on ne sait pas. Elle a déjà eu cette blessure l’an passé. On était parti sur quelque chose de grave et ça n’a duré que quelques semaines. J’espère que la blessure d’Emmanuella n’est pas grave car c’est un pion important dans l’équipe. »

Stéphanie Dubuc (Belfius Namur Capitale): « On a manqué énormément d’agressivité, de spontanéité dans notre jeu. On ne peut jamais gagner un match en ne mettant que 34 points et défensivement même si elles ne mettent qu’une cinquantaine de points, elles ont eu des shoots trop faciles et des secondes chances beaucoup trop souvent. (…) On ne peut pas présenter un visage comme ça chaque semaine. Je pense qu’on va discuter avec le staff et puis reprendre les entrainements, retravailler tout ce qui n’a pas été. On ne doit pas s’arrêter sur ce match-là, il faut repartir vers l’avant. »

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En début soirée, Kangeroes-Boom, l’une des grosses équipe du championnat affrontait Deerlijk pour qui le déplacement au Lange Munte était le plus court de la saison. Un déplacement qui ne leur aura pas réussi tant Boom (malgré la blessure d’Antonia Delaere) a montré une maîtrise et un jeu collectif durant une grande partie de la rencontre.

Dès l’entame du match, les joueuses de Sven Van Camp faisaient parler leur puissance intérieure avec Dana Boonen et leur capacité à jouer rapidement les transitions. Résultat : un 19-2 bien tassé avant que Snauwaert ne réagisse mais Rosseel lui rendait la pareille et Boom pouvait entamer le deuxième quart nanti d’un avantage de 18 points (25-7).

Deerlijk répond en passant un 6-0 lors des 4 premières minutes avant que Dana Boonen ne signe un 2+1 auquel Snauwaert répond par un triple… que lui rend Rosseel maintenant ainsi l’écart au dessus des 10 points. Mais c’était sans compter le triple de Boydens auquel Rosseel répond… par deux fois avant d’enfoncer le clou sur la ligne des lancers-francs et ainsi porter l’écart à 39-23.

A la sortie des vestiaires, Kangeroes-Boom repart bien mais Deerlijk réagit notamment par l’intermédiaire de Van Respaille. Boom peut compter sur Bekkering pour faire monter l’écart à 20 points, un écart qui se stabilise autour de cette marque tout le reste du troisième quart-temps (58-38).

Le dernier quart reprend avec Eline Verbeest relancant Deerlijk mais les joueuses de Svan Van Camp font valoir un jeu collectif en attaque pour garder leur avantage de 20 points et même le faire grandir. Mais Valerie Boydens et Tamara Van Respaille ramenaient leur équipe à cette barre avant que Dana Boonen ne donne au score son aspect final (76-51).

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• Réactions

Tanja Popivoda (coach Tulikivi Deerlijk): « On a pas bien démarré dans le premier quart-temps (7-25) donc cela nous a handicapé pour le deuxième quart et la seconde mi-temps. On a gagné le deuxième quart, il y avait plus de mouvement dans notre jeu en défense mais on a pas réussi à les faire travailler en attaque, à leur empêcher d’avoir un match facile. (…) Ma préoccupation pour le prochain match sera que l’équipe travaille dur, soit mieux concentrée"

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Pour le dernier match de la journée, Blue Cats Ieper, le champion en titre se mesurait à une équipe candidate au Top 8 cette saison, Basket Groot Willebroek. Privé de leur intérieur LaToya Drake (administratif), les joueuses de Philip Mestdagh n’ont pu conserver le contrôle d’un match durant lequel elles ont souvent menés au score.

Marieke Versavel commence fort avec 2 triples pour faire 8-4 auquel Miteva rajoute 2 lancers et un panier mais Karen Hendrickx ramène Willebroek à trois points puis à une unité sans que les joueuses de Didier Pardons sur la fin du premier quart-temps (12-11).

Les sœurs Devliegher font passer l’écart à 5 points mais Vercauteren et Custerman ramènent Willebroek à égalité tandis qu’Inès Beauraing donne l’avantage… effacé par Loes Breughe. Sien Devliegher redonne un peu d’air aux Blue Cats mais Katrien Vercauteren et ses coéquipières collent aux basques des Yproises (30-28).

Beaurang et Op De Beeck permettent à Willebroek de repasser devant mais Miteva remet les deux équipes à égalité. Les deux camps se rendent panier pour panier ou alors loupent chacune à leur tour l’occasion de prendre de l’avance même si Sien Devliegher conclut le duel de shoots longue distance de la fin du 3ème quart en faisant 47-43.

Le chassé-croisé se poursuit avec Kazadi qui redonne l’avantage à Willebroek sur un 2+1 suivi d’un autre 2+1 d’Hendrickx mais Plasmann réagit imitée par Kazadi. Op De Beeck donne même 7 points d’avance à son équipe à l’entrée du money-time.

Un avantage que les joueuses de Didier Pardons arrivent à maintenir et même à agrandir jusqu’à 14 points grâce à Lemmens notamment. Devliegher ramènera bien ses couleurs à 10 points mais Willebroek au jeu des lancers-francs entérinera sa victoire. Une victoire sur le score de 55-69.

• Réaction

Didier Pardons (coach Basket Groot Willebroek): "C'est une victoire très importante pour le groupe. Ce sont des nouvelles joueuses, un nouveau coach, une nouvelle tactique. Il est important pour la confiance que cela marche assez vite. J'ai 7 ou 8 joueuses entre 8 et 11 points, je crois que c'est ça qui a fait la différence. Nous avons mieux pressé aussi après un début de match où nous ne marquions pas. Cela nous a permis de piquer des ballons et de marquer plus facilement. Je suis plus que content. Il faut reconnaître aussi que nous avons pris Ypres au meilleur moment. Ils doivent encore s'adapter au départ de deux joueuses clés et leur Américaine n'était pas là."

Philip Mestdagh (coach Crack Blue Cats Ieper): "Il est primordial que les filles comprennent qu'il faut du caractère. Nous avons peut-être un noyau de qualité un peu moins élevée que la saison dernière, c'est le nouveau visage de Ieper à présent, mais sans caractère, ce n'est pas possible. Il faut de l'envie. Les jeunes doivent pouvoir compter sur des filles comme Sien, Lien, Marieke, Steffi Miteva. Sans ça, elles n'avanceront pas. Il faut se remettre en question et montrer plus d'agressivité. Il nous a manqué de l'intensité et du tempo. Tant offensivement que défensivement."

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