Le bonheur ... si je veux! (www.fibaeurope.org)
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L’Euroligue terminée, il reste à Dexia Namur le devoir national. Avec l’armada mise sur pied par le Président et ses associés, la fin de saison s’annonce comme une partie de plaisir pour les Namuroises. Au vu des valeurs en présence, Dexia Namur va et doit survoler tant le championnat que la Coupe de Belgique.
Entre le noyau professionnel de Dexia Namur et le statut purement amateur des autres formations belges, c’est en quelque sorte opposer une Ferrari à une 2CV sur le circuit de Zolder. Comme le dit très justement, le grand manitou du club namurois, "ce n’est pas à Namur à régresser, mais aux autres à progresser", certes. Il reste que, dans les faits, la différence de moyens interdit tout faux suspens. Les trois (ou quatre dans le meilleur des cas) entraînements des formations belges contrastent avec le rythme doublement quotidien des filles de Patrick Delsaux, qui a d’ores et déjà annoncé qu’il ne voulait (déjà) plus être le coach de Dexia Namur.
Question budget n’évoquons même pas une différence de 1 à 3 (250.000 euros pour Waregem, 750.000 euros pour Dexia Namur) pour un seul cas, de 1 à 10 dans la totalité des autres. L’accumulation des rencontres sera même profitable aux non-professionnelles qui n’auront eu que trop rarement et aussi souvent l’occasion d’effectuer des cinq contre cinq. Pour St-Servais, ce n’est pas encore suffisant puisqu’une rencontre amicale est rajoutée contre Valenciennes. Avec l’une ou l’autre blessure ou faiblesse, cela aura au moins le mérite de permettre aux Belges de jouer à l’instar de Sophie Charlier à Roulers. Cela vaudra toujours mieux que les 13,5 (Charlier), 6,3 (Vercauteren) ou 2 (Blommaers) minutes en Euroligue, voire des 10 minutes de Natalia Khalturina.
Dexia Namur n’a pas été ridicule en Euroligue, loin de là. Heureusement d’ailleurs, avec des filles du Top mondial à disposition et un budget qui place Namur aisément dans le top 10 des formations européennes. Malheureusement, Vilnius et son école de jeunes a barré la route aux championnes de Belgique. Elles n’ont donc plus qu’une idée en tête, préparer la saison prochaine. L’accueil chaleureux réservé aux joueuses étrangères devrait permettre assez facilement de convaincre la majorité du noyau de rester une saison de plus. Si pas, d’autres devraient se précipiter à l’appel de sirènes sonnantes et trébuchantes. Reste à trouver un mentor… c’est là que cela ne se bouscule pas au portillon. Il est vrai qu’à force d’un dénigrement systématique et public du coach, la corporation hésite à revêtir un costume de Toone pour servir ensuite de fusible… Alors même si le temps n’est pas l’atout principal de Namur et la Belgique, la chaleur, elle, elle est dans le cœur…
Entre le noyau professionnel de Dexia Namur et le statut purement amateur des autres formations belges, c’est en quelque sorte opposer une Ferrari à une 2CV sur le circuit de Zolder. Comme le dit très justement, le grand manitou du club namurois, "ce n’est pas à Namur à régresser, mais aux autres à progresser", certes. Il reste que, dans les faits, la différence de moyens interdit tout faux suspens. Les trois (ou quatre dans le meilleur des cas) entraînements des formations belges contrastent avec le rythme doublement quotidien des filles de Patrick Delsaux, qui a d’ores et déjà annoncé qu’il ne voulait (déjà) plus être le coach de Dexia Namur.
Question budget n’évoquons même pas une différence de 1 à 3 (250.000 euros pour Waregem, 750.000 euros pour Dexia Namur) pour un seul cas, de 1 à 10 dans la totalité des autres. L’accumulation des rencontres sera même profitable aux non-professionnelles qui n’auront eu que trop rarement et aussi souvent l’occasion d’effectuer des cinq contre cinq. Pour St-Servais, ce n’est pas encore suffisant puisqu’une rencontre amicale est rajoutée contre Valenciennes. Avec l’une ou l’autre blessure ou faiblesse, cela aura au moins le mérite de permettre aux Belges de jouer à l’instar de Sophie Charlier à Roulers. Cela vaudra toujours mieux que les 13,5 (Charlier), 6,3 (Vercauteren) ou 2 (Blommaers) minutes en Euroligue, voire des 10 minutes de Natalia Khalturina.
Dexia Namur n’a pas été ridicule en Euroligue, loin de là. Heureusement d’ailleurs, avec des filles du Top mondial à disposition et un budget qui place Namur aisément dans le top 10 des formations européennes. Malheureusement, Vilnius et son école de jeunes a barré la route aux championnes de Belgique. Elles n’ont donc plus qu’une idée en tête, préparer la saison prochaine. L’accueil chaleureux réservé aux joueuses étrangères devrait permettre assez facilement de convaincre la majorité du noyau de rester une saison de plus. Si pas, d’autres devraient se précipiter à l’appel de sirènes sonnantes et trébuchantes. Reste à trouver un mentor… c’est là que cela ne se bouscule pas au portillon. Il est vrai qu’à force d’un dénigrement systématique et public du coach, la corporation hésite à revêtir un costume de Toone pour servir ensuite de fusible… Alors même si le temps n’est pas l’atout principal de Namur et la Belgique, la chaleur, elle, elle est dans le cœur…