La Belgique s'est entraînée une ultime fois à Anvers vendredi avant de franchir la manche. Evelien Callens, juste opérée du genou vendredi est allé saluer les Belges avant leur départ pour Worcester là où les attendra une Grande-Bretagne avide elle aussi d'aller décrocher une qualification pour l'Euro-2015. L'autre rencontre du groupe B verra la Lituanie recevoir la Lettonie (dimanche à 17h00, heure belge).
Les rencontres vont s'enchaîner très vite ensuite avec au retour et à domicile à Anvers, face à la Lituanie (mercredi 11 juin à 20h00), la Macédoine (dimanche 15 juin à 15h00) et la Grande-Bretagne (mecredi 18 juin à 20h00) avant deux déplacements en Lituanie (le 22 juin) et Macédoine (le 25 juin).
Il faut être réaliste. Une qualification pour l’Euro-2015 serait un exploit. Il ne faut pas se le cacher. Mais elle n’est pas impossible. Cela non plus, il ne faut pas se le cacher. L’équipe belge, mouture juin 2014 reste légère et manque surtout d’expérience et de planches internationales. Elles sont quelques unes certes à pouvoir apporter la leur, à différents niveaux, mais l’absence de participation à des phases finales pèse très lourd dans la balance sur le plan global et collectif. Même la Grande-Bretagne dispose de trois fois plus d’expérience avec deux championnats d’Europe au compteur, dont un rejoint par le biais des qualifications et une participation aux jeux Olympiques. C’est du lourd en matière de know-how et de background, que dire alors de la Lituanie.
Les rencontres vont s'enchaîner très vite ensuite avec au retour et à domicile à Anvers, face à la Lituanie (mercredi 11 juin à 20h00), la Macédoine (dimanche 15 juin à 15h00) et la Grande-Bretagne (mecredi 18 juin à 20h00) avant deux déplacements en Lituanie (le 22 juin) et Macédoine (le 25 juin).
Il faut être réaliste. Une qualification pour l’Euro-2015 serait un exploit. Il ne faut pas se le cacher. Mais elle n’est pas impossible. Cela non plus, il ne faut pas se le cacher. L’équipe belge, mouture juin 2014 reste légère et manque surtout d’expérience et de planches internationales. Elles sont quelques unes certes à pouvoir apporter la leur, à différents niveaux, mais l’absence de participation à des phases finales pèse très lourd dans la balance sur le plan global et collectif. Même la Grande-Bretagne dispose de trois fois plus d’expérience avec deux championnats d’Europe au compteur, dont un rejoint par le biais des qualifications et une participation aux jeux Olympiques. C’est du lourd en matière de know-how et de background, que dire alors de la Lituanie.
Les mains dans la boue, prêtes à la bagarre
La seule option pour les Belges est de, comme le martèle Daniel Goethals depuis le début de la campagne de préparation, jouer dans l’intensité, dans la dureté, dans le physique et le collectif. Le salut ne passera que par là et que par une solidarité sans faille, au culot. Se serrer les coudes et mettre les mains dans la boue. Tout donner pour ne rien regretter. Car rien ne sera en faveur des Belges, ni la considération, ni l’arbitrage, ni le respect international. Autant le savoir.
Les Belges prennent samedi le chemin de Worcester où l’attend une formation britannique costaude qui placera le match sur le mode physique, à la limite de la bagarre, sans aucun doute. La structure mise en place depuis Helsinki prend forme, l’enthousiasme et la volonté de celles qui ont accepté de défendre les couleurs de leur pays est là.
Plusieurs joueuses, jeunes, entament une carrière à l'étranger, d’autres peuvent s’entraîner de façon plus professionnelle en Belgique, ce sont tous autant qu'ils sont, des pas qui permettent d’avancer dans le bon sens. Ce n'est qu'un début. Et quoi qu’il arrive au bout de cette campagne, chacun d’entre eux sera important pour tracé le chemin futur. Cela non plus il ne faudra pas l’oublier.
- Les Britanniques ont leur 12 filles aussi -
Les Belges prennent samedi le chemin de Worcester où l’attend une formation britannique costaude qui placera le match sur le mode physique, à la limite de la bagarre, sans aucun doute. La structure mise en place depuis Helsinki prend forme, l’enthousiasme et la volonté de celles qui ont accepté de défendre les couleurs de leur pays est là.
Plusieurs joueuses, jeunes, entament une carrière à l'étranger, d’autres peuvent s’entraîner de façon plus professionnelle en Belgique, ce sont tous autant qu'ils sont, des pas qui permettent d’avancer dans le bon sens. Ce n'est qu'un début. Et quoi qu’il arrive au bout de cette campagne, chacun d’entre eux sera important pour tracé le chemin futur. Cela non plus il ne faudra pas l’oublier.
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Evelien Callens opérée vendredi au genou