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"La décision de partir de Valenciennes fut difficile. L'USVO est mon premier club professionnel. Le club nordiste m'a donné l'occasion de me révéler en Europe. Et je leur en suis très reconnaissant. Mais après 6 saisons, je ressens le besoin de relever un autre challenger. Nous avons grandi en équipe et nous avons tout gagné. Valenciennes... c'est là que tout a commencé et je le garderai toujours dans mon coeur. Les supporters seront tout aussi inoubliables. Je vous les remercier d'avoir été derrière nous durant toutes ces années."
"J'ai donc décidé de rejoindre Samara la saison prochaine. Ils auront une très bonne équipe avec de belles ambitions dans le championat russe et en Euroligue, qui reste la priorité absolue pour moi.
Champion de Russie et vainqueur de la Coupe de Russie, Samara, entraîné par Igor Groudine avait été sorti avant les quarts de finale en Euroligue cette saison. Ilona Korstine (ex-Bourges) voit donc arriver deux anciennes adversaires du championnat de France, Edwige Lawson et Ann Wauters
www.annwauters.be
"J'ai donc décidé de rejoindre Samara la saison prochaine. Ils auront une très bonne équipe avec de belles ambitions dans le championat russe et en Euroligue, qui reste la priorité absolue pour moi.
Champion de Russie et vainqueur de la Coupe de Russie, Samara, entraîné par Igor Groudine avait été sorti avant les quarts de finale en Euroligue cette saison. Ilona Korstine (ex-Bourges) voit donc arriver deux anciennes adversaires du championnat de France, Edwige Lawson et Ann Wauters
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Ann Wauters tourne la page... à Samara
Après Edwige Lawson, c'est Ann Wauters qui vient de signer à Samara pour un an. Très convoitée déja l'année dernière par de nombreux clubs, la brillantissime intérieure belge a décidé cette fois de donner un nouveau tournant à sa carrière après six années passées à Valenciennes qui restera cher à son coeur.
Basketactuelles : Qu'est-ce qui a motivé votre décision ?
Ann Wauters : J'ai passé six superbes années à Valenciennes. J'y suis arrivée gamine à 17 ans, c'est là que j'ai évolué, c'est mon premier club pro et on a tout gagné. Maintenant, il est temps de changer, j'ai envie d'une nouvelle
expérience et Samara a de grosses ambitions nationales et européennes. L'Euroligue, c'est un objectif important pour moi. Et puis Valenciennes, cela me permettait de rester près de la Belgique, de mes proches mais j'ai grandi, il m'est plus facile à présent de m'éloigner.
Basketactuelles : Le fait qu'Edwige Lawson aille aussi à Samara, cela vous a-t-il conforté dans votre choix ?
A. W. : En fait quand j'ai pris ma décision, je ne savais pas encore pour Edwige. Mais c'est sûre que c'est une bonne chose car on se connaît déja. Sur le plan social, cela aide, surtout qu'il y a aussi Ilona Korstine. Cela sera plus facile pour s'intégrer.
Basketactuelles : Vivre en Russie, vous n'appréhendez pas trop ?
A. W. : C'est une autre expérience. Ce ne sera pas facile tous les jours, mais de toutes façons on voyage beaucoup et ce n'est que pour un an. Et puis je suis allée en Corée, c'est aussi très différent. Cela permet en tous les cas de découvrir d'autres cultures.
Basketactuelles : Vous aviez envisagé de prendre une année sabbatique, c'est un revirement...
A. W. : Je n'aurais pas pris une année entière, j'aurais peut-être repris en janvier, encore que cela n'aurait pas été évident car avec l'Euroligue, il y a des matches avant la trève. Là en fait, j'ai négocié de rejoindre l'équipe de Samara en novembre justement pour l'Euroligue, cela me laissera le mois d'octobre.
Basketactuelles : Après la saison terminée avec Valenciennes, vous rejoindrez New York Liberty en WNBA, une autre nouvelle équipe pour vous...
A. W. : Oui, je ne ferai pas les premiers matches puisque cela commence le 22 mai. C'est un autre challenge. C'est une équipe rajeunie qui semble prometteuse, je pense qu'elle atteindra les play off.
Basketactuelles : Cette saison a été encore bien remplie, comment envisagez-vous les mois à venir physiquement ?
A. W. : Quand on a l'envie et l'enthousiasme que j'ai, on tient le coup !
Basketactuelles : Vous êtes l'une des meilleures intérieures au monde, pourtant vous n'êtes pas aussi médiatisée que certaines joueuses, comment expliquez vous cela ?
A. W. : Ce n'est pas mon but prioritaire. Et puis les Européennes sont moins reconnues que les Américaines. Cela tient aussi au fait que l'équipe nationale belge ne joue pas de titre européen ou de coupe du monde même si elle a eu de bons résultats l'été dernier. Mais je pense qu'on peut améliorer les choses. En ce qui me concerne, mon passage à New York devrait m'être bénéfique.
Basketactuelles : Entre le grand chelem que vous êtes en passe de rééditer avec Valenciennes et votre départ, vous vous préparez à une sacrée fête avec toute votre équipe...
A. W. : Oui on a vraiment envie de gagner les quatre titres, après c'est sûre, ce sera la fête !
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Après Edwige Lawson, c'est Ann Wauters qui vient de signer à Samara pour un an. Très convoitée déja l'année dernière par de nombreux clubs, la brillantissime intérieure belge a décidé cette fois de donner un nouveau tournant à sa carrière après six années passées à Valenciennes qui restera cher à son coeur.
Basketactuelles : Qu'est-ce qui a motivé votre décision ?
Ann Wauters : J'ai passé six superbes années à Valenciennes. J'y suis arrivée gamine à 17 ans, c'est là que j'ai évolué, c'est mon premier club pro et on a tout gagné. Maintenant, il est temps de changer, j'ai envie d'une nouvelle
expérience et Samara a de grosses ambitions nationales et européennes. L'Euroligue, c'est un objectif important pour moi. Et puis Valenciennes, cela me permettait de rester près de la Belgique, de mes proches mais j'ai grandi, il m'est plus facile à présent de m'éloigner.
Basketactuelles : Le fait qu'Edwige Lawson aille aussi à Samara, cela vous a-t-il conforté dans votre choix ?
A. W. : En fait quand j'ai pris ma décision, je ne savais pas encore pour Edwige. Mais c'est sûre que c'est une bonne chose car on se connaît déja. Sur le plan social, cela aide, surtout qu'il y a aussi Ilona Korstine. Cela sera plus facile pour s'intégrer.
Basketactuelles : Vivre en Russie, vous n'appréhendez pas trop ?
A. W. : C'est une autre expérience. Ce ne sera pas facile tous les jours, mais de toutes façons on voyage beaucoup et ce n'est que pour un an. Et puis je suis allée en Corée, c'est aussi très différent. Cela permet en tous les cas de découvrir d'autres cultures.
Basketactuelles : Vous aviez envisagé de prendre une année sabbatique, c'est un revirement...
A. W. : Je n'aurais pas pris une année entière, j'aurais peut-être repris en janvier, encore que cela n'aurait pas été évident car avec l'Euroligue, il y a des matches avant la trève. Là en fait, j'ai négocié de rejoindre l'équipe de Samara en novembre justement pour l'Euroligue, cela me laissera le mois d'octobre.
Basketactuelles : Après la saison terminée avec Valenciennes, vous rejoindrez New York Liberty en WNBA, une autre nouvelle équipe pour vous...
A. W. : Oui, je ne ferai pas les premiers matches puisque cela commence le 22 mai. C'est un autre challenge. C'est une équipe rajeunie qui semble prometteuse, je pense qu'elle atteindra les play off.
Basketactuelles : Cette saison a été encore bien remplie, comment envisagez-vous les mois à venir physiquement ?
A. W. : Quand on a l'envie et l'enthousiasme que j'ai, on tient le coup !
Basketactuelles : Vous êtes l'une des meilleures intérieures au monde, pourtant vous n'êtes pas aussi médiatisée que certaines joueuses, comment expliquez vous cela ?
A. W. : Ce n'est pas mon but prioritaire. Et puis les Européennes sont moins reconnues que les Américaines. Cela tient aussi au fait que l'équipe nationale belge ne joue pas de titre européen ou de coupe du monde même si elle a eu de bons résultats l'été dernier. Mais je pense qu'on peut améliorer les choses. En ce qui me concerne, mon passage à New York devrait m'être bénéfique.
Basketactuelles : Entre le grand chelem que vous êtes en passe de rééditer avec Valenciennes et votre départ, vous vous préparez à une sacrée fête avec toute votre équipe...
A. W. : Oui on a vraiment envie de gagner les quatre titres, après c'est sûre, ce sera la fête !
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