Justine Derenne monte sur les hauteurs de Bouge (photo: Ch. Béka/www.amaphoto.eu)
Olivier Trips se retrousse les manches, mais il n'est pas seul, l'équipe dirigeante du Novia Munalux Namur poursuit son travail pour poursuivre l'aventure en D1. Avec quelques remaniements dans la façon d'y arriver. Et avec Michel Deneil en plus. L'ancien dirigeant du First Andenne occupe en effet le poste de vice-président et devient le bras droit d'Olivier Trips. Le comité a décidé de renoncer à son équipe de R1 concentrant ses objectifs sur ses jeunes pour les amener le plus loin possible. Et c'est une formation toujours axée sur la jeunesse qui caractérisera le listing 2009-2010.
Didier Prinsen reste en poste avec Stéphane Dehasse comme adjoint. Sarah Deneil, Stéphanie Slavério, Elodie Remy, Sarah Dochez, Charlotte Ippersiel, Camille Gamache composeront l'ossature du noyau namurois sur les hauteurs de Bouge. Un noyau que vient rejoindre Justine Derenne. La jeune intérieure natoyenne, 21 ans, 1m85, n'effectue pas un très grand déplacement du Dexia Namur voisin. "Nous continuons à travailler en coulisses", précise Olivier Trips lançant un signal apaisant aux sceptiques. "C'est du boulot, c'est vrai. Parfois c'est ingrat, mais nous sommes en train de finaliser notre structure et notre effectif. La conjoncture n'est pas bonne, tant au niveau des sponsors qu'au niveau du matériel humain. Mais cela ne nous empêche pas de suivre plusieurs pistes et de les concrétiser."
Didier Prinsen reste en poste avec Stéphane Dehasse comme adjoint. Sarah Deneil, Stéphanie Slavério, Elodie Remy, Sarah Dochez, Charlotte Ippersiel, Camille Gamache composeront l'ossature du noyau namurois sur les hauteurs de Bouge. Un noyau que vient rejoindre Justine Derenne. La jeune intérieure natoyenne, 21 ans, 1m85, n'effectue pas un très grand déplacement du Dexia Namur voisin. "Nous continuons à travailler en coulisses", précise Olivier Trips lançant un signal apaisant aux sceptiques. "C'est du boulot, c'est vrai. Parfois c'est ingrat, mais nous sommes en train de finaliser notre structure et notre effectif. La conjoncture n'est pas bonne, tant au niveau des sponsors qu'au niveau du matériel humain. Mais cela ne nous empêche pas de suivre plusieurs pistes et de les concrétiser."