L'ambiance générale n'était pas vraiment à la fête dans tous les camps mardi lors de la présentation du nouveau club namurois, le BC Namur Capitale. L'Echevin des Sports, Maxime Prévot, affichait sans feindre sa satisfaction d'avoir réuni autour de la table les soeurs ennemies pour ne former désormais plus qu'un seul club, mais l'on a vite compris que l'union du Novia Munalux Namur et du Dexia Namur a été imposée voire forcée. Vous le lirez dans la revue de presse, l'Assemblée générale du club st-servaitois a décidé de n'envoyer personne collaborer à la nouvelle structure.
On n'aurait malgré tout voulu savoir ce qu'en pensait Pierre Olivier, l'emblématique président fondateur du club St-Servaitois qu'il a mené au sommet du basket féminin belge lui donnant ses lettres de noblesses sur la scène européenne jusqu'aux portes de l'Euroligue. Il faudra attendre son retour de l'étranger pour le savoir. Le Novia Munalux Namur peut lui légitimement se réjouir puisqu'il conserve entièrement sa structure, ses équipes, sa philosophie et bénéficie désormais de moyens dont il n'aura jamais pu rêver en d'autres circonstances. Un mariage douloureux sans aucun doute, pas sûr du tout qu'il y ait eu une nuit de noces, mais porteur de belles promesses si l'on évite le piège de la folie passée des grandeurs. Le discours de Jean-François Davreux va dans ce sens. C'est déjà positif.
La Meuse Namur
Canal C
On n'aurait malgré tout voulu savoir ce qu'en pensait Pierre Olivier, l'emblématique président fondateur du club St-Servaitois qu'il a mené au sommet du basket féminin belge lui donnant ses lettres de noblesses sur la scène européenne jusqu'aux portes de l'Euroligue. Il faudra attendre son retour de l'étranger pour le savoir. Le Novia Munalux Namur peut lui légitimement se réjouir puisqu'il conserve entièrement sa structure, ses équipes, sa philosophie et bénéficie désormais de moyens dont il n'aura jamais pu rêver en d'autres circonstances. Un mariage douloureux sans aucun doute, pas sûr du tout qu'il y ait eu une nuit de noces, mais porteur de belles promesses si l'on évite le piège de la folie passée des grandeurs. Le discours de Jean-François Davreux va dans ce sens. C'est déjà positif.
- Ce que la presse namuroise en dit
La Meuse Namur
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