Marc Foucart (photo: Waregem/Erik Hadermann)
Marc Foucart (photo: Waregem/Erik Hadermann)
Pour s'offrir cette saison, Waregem avait mis le paquet en matière de recrutement, l'Allemande Alke Dietel, la Tchèque Kamila Oplustilova, la Néerlandaise Inga Gosschalk sont venus de renforcer un noyau qu'avait rejoint aussi Julie Billet et Valérie Boydens. "Mais en début de saison, nous perdons aussi Bieke Van Renterghem qui arrête et Angèle Boucquey qui se blesse", se souvient Marc Foucart. "Cela fait une différence de 7 joueuses. C'est beaucoup. Toute l'équipe était à reconstruire. Il est vrai aussi que je travaille toujours de manière à bien finir la saison. Mais malgré tout, nous espérions pouvoir aller plus loin en Coupe de Belgique plutôt que de se faire éliminer prématurément par Sprimont. Ce fut une très grosse déception."
Waregem a pris le temps ensuite pour faire prendre la mayonnaise pour décrocher sa place en play-off que les Flandriennes ont abordé de la meilleure manière qui soit en prenant la mesure de Dexia Namur sur les bords du Gaver. Un succès clé pour assurer une place en finale d'autant que Waregem allait s'imposer à St-Katelijne Waver. "En fin de compte, c'est une bonne saison, même si le fait de gagner le premier match de la finale chez nous aurait peut-être changé un peu la suite. Il y aurait eu un peu plus de stress sur les épaules de Dexia. Nous avons limité St-Servais à 70 pts et nous avons mené beaucoup plus de minutes que Dexia. Maintenant, nous avons craqué dans les fins de match. C'était la philosophie du coach namurois de mettre beaucoup de pression dans les dernières minutes. Physiquement, il était difficile de gérer cela, car en finale j'ai tourné avec moins de rotations qu'en championnat. Et puis il y a le talent de Katryna Gaither. En outre, autour de l'Américaine, il y a chaque fois eu une ou deux joueuses qui ont sorti un gros match. Miedzik et Szymanska-Lara lors du premier, Gaither elle-même et Herrscher au 2e et Agabalova et Deyaert au 3e."
Waregem a pris le temps ensuite pour faire prendre la mayonnaise pour décrocher sa place en play-off que les Flandriennes ont abordé de la meilleure manière qui soit en prenant la mesure de Dexia Namur sur les bords du Gaver. Un succès clé pour assurer une place en finale d'autant que Waregem allait s'imposer à St-Katelijne Waver. "En fin de compte, c'est une bonne saison, même si le fait de gagner le premier match de la finale chez nous aurait peut-être changé un peu la suite. Il y aurait eu un peu plus de stress sur les épaules de Dexia. Nous avons limité St-Servais à 70 pts et nous avons mené beaucoup plus de minutes que Dexia. Maintenant, nous avons craqué dans les fins de match. C'était la philosophie du coach namurois de mettre beaucoup de pression dans les dernières minutes. Physiquement, il était difficile de gérer cela, car en finale j'ai tourné avec moins de rotations qu'en championnat. Et puis il y a le talent de Katryna Gaither. En outre, autour de l'Américaine, il y a chaque fois eu une ou deux joueuses qui ont sorti un gros match. Miedzik et Szymanska-Lara lors du premier, Gaither elle-même et Herrscher au 2e et Agabalova et Deyaert au 3e."
Et pour la saison prochaine ?
Qui sera encore sur la photo la saison prochaine ? (Photo: www.dbcwaregem.be)
Waregem tentera de garder un maximum de joueuses pour la saison prochaine, mais devra de toute façon penser à suppléer Katrien Vercauteren qui prendra le chemin de l'étranger. La meneuse malinoise veut en effet partir pour ses études et pouvoir combiner avec le basket dans un club de bon niveau. Peut-être en Espagne en division 2. Fanny Tirtiaux prend aussi le chemin des Etats-Unis, à Las Vegas. "Pour le reste, je pense que mes 4 intérieures vont rester", précis Marc Foucart. "Il nous faut une position 1/2 et une ailière, tout dépend aussi de ce que vont faire les ailières actuelles." Waregem s'est déjà assuré aussi les services de la jeune meneuse d'Oudenaarde (qui stoppe ses activités en L1), Melissa Cornélis, 1m70, 21 ans.