Présent depuis la création du Basket Club Saint-Servais, là où a commencé toute l'histoire du basket féminin namurois, Gérard Besson a présenté sa démission du Belfius Namur où il occupait les fonctions de manager de l'équipe dames de D1. C'est l'une des dernières figures de la tradition namuroise qui jete le gand.
"Cela fait un moment que je ne me retrouve plus en phase avec la politique du club", a expliqué Gérard Besson qui ne veut cependant pas polémiquer pour autant. "Je ne veux pas me disputer, ni polémiquer. J'ai transmis un courrier au président avec ce que j'avais sur le coeur. J'espère que l'un ou l'autre point aura attiré son attention. Cela fait tellement longtemps que je suis dans le basket namurois, c'était mon plaisir. Mais à partir du moment où l'esprit n'est plus là, je ne veux pas me mettre martel en tête."
"Cela fait un moment que je ne me retrouve plus en phase avec la politique du club", a expliqué Gérard Besson qui ne veut cependant pas polémiquer pour autant. "Je ne veux pas me disputer, ni polémiquer. J'ai transmis un courrier au président avec ce que j'avais sur le coeur. J'espère que l'un ou l'autre point aura attiré son attention. Cela fait tellement longtemps que je suis dans le basket namurois, c'était mon plaisir. Mais à partir du moment où l'esprit n'est plus là, je ne veux pas me mettre martel en tête."
L'esprit a disparu, il n'y a plus d'âmes
Gérard Besson aura connu le Basket Club Saint-Servais devenu ensuite BCSS Namur, puis le Mosa Jambes, à une époque aussi où le Féminamur complètait le trio de clubs en division 1 à Namur. Les anecdotes et les ambiances de derby sont telles qu'un seul tome ne pourrait à lui seul être suffisant pour les narrer toutes. Le Novia Namur fut le premier fruit de la fusion entre le Mosa jambes et le Novia Namur. Une autre a depuis limité à un seul le nombre de club sur la place namuroise.
"Ce qui a disparu surtout c'est l'esprit", regrette Gérard Besson lorsque l'on pousse un peu plus la discussion. "Les gens ne s'y retrouve plus, c'est dommage. Il suffit de voir l'assistance au match et le nombre de gens qui travaillait pour le club qui sont partis." Gérard Besson ne veut pas en dire plus se laissant le temps de digérer une page de son histoire qui se tourne, une histoire qui s'est conjugée depuis des décennies avec le basket féminin namurois, là où tout à commencé...
"Ce qui a disparu surtout c'est l'esprit", regrette Gérard Besson lorsque l'on pousse un peu plus la discussion. "Les gens ne s'y retrouve plus, c'est dommage. Il suffit de voir l'assistance au match et le nombre de gens qui travaillait pour le club qui sont partis." Gérard Besson ne veut pas en dire plus se laissant le temps de digérer une page de son histoire qui se tourne, une histoire qui s'est conjugée depuis des décennies avec le basket féminin namurois, là où tout à commencé...