Gros travail défensif pour les uns, une certaine fébrilité et un gros stress pour quelques unes des actrices pour d'autres, les tentatives pour expliquer ce 22-21 à la pause et ce 35-38 à la demi-heure naviguaient entre ces deux eaux. Une chose est sûre, ce fut très serré entre deux formations qui se tiennent de très près. Mais à chaque fois avec la même issue: une victoire namuroise. Au niveau des stats et de la physionomie de la partie, Belfius Namur Capitale et Kangoeroes-Boom ont été sur le même pied dimanche après-midi.
Un pourcentage de 29% à distance pour 28 de l'autre, 40 partout au rebond, 16 à 18 au nombre de pertes de balles, Namuroises et Anversoises ont rivalisé tout au long d'un bras de fer où chacun s'est regardé dans le blanc des yeux.
Laurence Van Malderen (Belfius Namur Capitale) et Dana Boonen (Kangoeroes-Boom), pénalisées de 2 puis 3 fautes très rapidement dans le cadre, ce sont les deux tours de cette finale qui ont causé du soucis à leur coach. Sont venues ensuite les pénalités au compteur de Djenebou Sissoko (Belfius Namur) et Sofie Hendrickx (Kangoeroes-Boom) un peu plus tard dans cette partie où, dans chaque camp, plusieurs éléments sont passés à travers. A contrario, Djenebou Sissoko puis le jusqu'au boutisme de Laurence Van Malderen côté namurois, Nele Deyaert et Vreny Van Driel côté anversois ont tiré leur épingle du jeu et en tous les cas tenté de tirer leur équipe.
La pièce a basculé dans les 3 dernières minutes de ce duel entre Belfius Namur Capitale et Kangoeroes-Boom. On saluait la gestion de ce money-time côté namurois, on s'en voulait du côté de Kangoeroes-Boom d'avoir offert sur un plateau ce 1 à 0 à l'équipe adverse.
Les protagonistes ont une longue semaine pour préparer la deuxième manche. Samedi à Boom (20h45), on prend les mêmes et on recommence.
Un pourcentage de 29% à distance pour 28 de l'autre, 40 partout au rebond, 16 à 18 au nombre de pertes de balles, Namuroises et Anversoises ont rivalisé tout au long d'un bras de fer où chacun s'est regardé dans le blanc des yeux.
Laurence Van Malderen (Belfius Namur Capitale) et Dana Boonen (Kangoeroes-Boom), pénalisées de 2 puis 3 fautes très rapidement dans le cadre, ce sont les deux tours de cette finale qui ont causé du soucis à leur coach. Sont venues ensuite les pénalités au compteur de Djenebou Sissoko (Belfius Namur) et Sofie Hendrickx (Kangoeroes-Boom) un peu plus tard dans cette partie où, dans chaque camp, plusieurs éléments sont passés à travers. A contrario, Djenebou Sissoko puis le jusqu'au boutisme de Laurence Van Malderen côté namurois, Nele Deyaert et Vreny Van Driel côté anversois ont tiré leur épingle du jeu et en tous les cas tenté de tirer leur équipe.
La pièce a basculé dans les 3 dernières minutes de ce duel entre Belfius Namur Capitale et Kangoeroes-Boom. On saluait la gestion de ce money-time côté namurois, on s'en voulait du côté de Kangoeroes-Boom d'avoir offert sur un plateau ce 1 à 0 à l'équipe adverse.
Les protagonistes ont une longue semaine pour préparer la deuxième manche. Samedi à Boom (20h45), on prend les mêmes et on recommence.
Laurence Van Malderen: 'la pression est sur leurs épaules'
Pénalisée de deux fautes après 3 minutes de jeu, Laurence Van Malderen confirmait la tension perceptible lors de ce premier duel dimanche. "La finale des play-off, c’est toujours sensé être entre les deux meilleures équipes du championnat donc oui, les équipes se valent, ça se joue sur des détails en général. Et puis, c’est toujours une ambiance particulière, un peu stressante. Le premier match se déroule chez nous et il faut gérer cette pression, se trouver et trouver notre basket. On gagne 1-0 donc peut-être que l’on aura un petit peu moins de pression que lors du premier match. Maintenant on s’attend à un match très difficile là-bas avec beaucoup de monde. Elles vont revoir ce qui n’a pas été, faire un peu le bilan parce que d’habitude c’est une équipe qui marque beaucoup et sur le premier match, on les limite à 48 points. Les deux équipes vont travailler de leur côté tactiquement plus qu’autre chose".
Avec le 1 à 0 en poche, Belfius Namur Capitale peut se déplacer à Kangoeroes-Boom avec l'idée de pouvoir déjà être champion samedi soir, ou à défaut, revenir mercredi (27 avril) au Hall O. Henry. "Maintenant je pense que Kangoeroes-Boom sera nerveux parce que c’est un peu 'do or die' pour elles. La pression est un peu plus sur leurs épaules. De notre côté, ça ira un petit peu mieux. De mon côté, je vais essayer ne pas faire deux fautes après cinq minutes. Ce serait pax mal (sourire). Il faudra se concentrer et exécuter. Les moments où nous n’exécutons pas nos systèmes, on se met en difficulté. Exécuter, jouer notre jeu et ne pas douter."
Avec le 1 à 0 en poche, Belfius Namur Capitale peut se déplacer à Kangoeroes-Boom avec l'idée de pouvoir déjà être champion samedi soir, ou à défaut, revenir mercredi (27 avril) au Hall O. Henry. "Maintenant je pense que Kangoeroes-Boom sera nerveux parce que c’est un peu 'do or die' pour elles. La pression est un peu plus sur leurs épaules. De notre côté, ça ira un petit peu mieux. De mon côté, je vais essayer ne pas faire deux fautes après cinq minutes. Ce serait pax mal (sourire). Il faudra se concentrer et exécuter. Les moments où nous n’exécutons pas nos systèmes, on se met en difficulté. Exécuter, jouer notre jeu et ne pas douter."