Eka veut gagner chez lui (FIBA Europe / Elio Castoria)
Si la défaite de Schio face au Spartak Moscou n'est pas une surprise, 88-79, le revers de Galatasaray face aux Slovaques de Kosice 65 à 71 est plus étonnant. Dans le groupe A, les Turques ont du subir la loi de Kosice en seconde période. Ann Wauters a inscrit 4 pts (2/8 à 2pts, 0/2 aux lancers) et pris 6 rebonds en 15 minutes de jeu. L'autre rencontre de la poule a permis à Ekaterinburg de gagner chez lui face aux Polonaises de CCC Polkowice 68 à 45.
Galatasaray surpris (FIBA Europe / Elio Castoria)
Dans le groupe B, les Italiennes ont fait de la résistance en première mi-temps avant de devoir lâcher prise en seconde armure. Kathy Wambe a joué 12 minutes (0/1 à 2pts, 2 rebonds, 2 assists) L'autre rencontre du groupe B a vu Fenerbahce Istanbul dominer les championnes de France de Bourges, 69 à 44.
Ce Final 8 de l'Euroligue est peut-être la chance d'Eka. Sacré en 2003, Ekaterinbourg a aussi, et peut-être surtout, fini 3e des cinq dernières éditions. Le plus souvent - par quatre fois entre 2008 et 2011 -, barra par le Spartak Moscou, qui s'est dressé sur son chemin en demi-finale. Il y a deux ans, Ekaterinbourg accueillait déjà ce qui était alors le Final Four. Mais il avait fini par craquer, sous la pression de l'événement, face aux Moscovites en demi-finale. Meilleure équipe à l'issue de la phase régulière (11 victoires, 1
défaite), Ekaterinbourg entend saisir sa chance cette fois-ci. Le club russe peut compter sur l'immense talent de ses deux championnes olympiques made in USA Diana Taurasi (16,8 points de moyenne) et Candace Parker (16,6 pts, 9,4 rebonds).
Ce Final 8 de l'Euroligue est peut-être la chance d'Eka. Sacré en 2003, Ekaterinbourg a aussi, et peut-être surtout, fini 3e des cinq dernières éditions. Le plus souvent - par quatre fois entre 2008 et 2011 -, barra par le Spartak Moscou, qui s'est dressé sur son chemin en demi-finale. Il y a deux ans, Ekaterinbourg accueillait déjà ce qui était alors le Final Four. Mais il avait fini par craquer, sous la pression de l'événement, face aux Moscovites en demi-finale. Meilleure équipe à l'issue de la phase régulière (11 victoires, 1
défaite), Ekaterinbourg entend saisir sa chance cette fois-ci. Le club russe peut compter sur l'immense talent de ses deux championnes olympiques made in USA Diana Taurasi (16,8 points de moyenne) et Candace Parker (16,6 pts, 9,4 rebonds).