Bourges n'a jamais raté un quart de finale tout au long de sa présence en Euroleague. Ce n'est pas maintenant que Céline Dumerc et leurs coéquipières, championnes de France, veulent manquer ce rendez-vous. Mais après un début de parcours difficile, les Berruyères carburent à plein régime. Un rythme bien nécessaire pour rejoindre Ekaterinburg, l'USK Prague et Orenburg dans le top 4 de ce groupe B. Battues de 5 points à l'aller en France (57-52), les Brainoises rêvent pourtant l'exploit et nec plus ultra d'une victoire de 6 points, mais la tâche face aux championnes de France relève d'un fameux défi pour Mithra Castors Braine.
C'est la dernière rencontre à domicile de cette saison pour les Brainoises, pour leur première campagne en Euroleague avant un dernier déplacement, pas le moins compliqué, à Orenburg la semaine prochaine. Deux rencontres à gagner impérativement pour espérer décrocher la 6e place, qualificative pour l'Eurocup. C'est dire si le défi est énorme.
Bourges peut en outre compter sur sa nouvelle recrue l'Américaine au passeport monténégrin Shay Murphy, qui avait disputé la semaine dernière face à Wisla Cracovie son premier match d'Euroleague avec les Berruyères.
Malades la semaine, Kyara Linskens et Hanne Mestdagh sont rétablies alors que les gênes de Sidney Spencer (au genou) et Julie Allemand (au pied) sont passées également. Philip Mestdagh dispose ainsi d'un groupe au complet.
C'est la dernière rencontre à domicile de cette saison pour les Brainoises, pour leur première campagne en Euroleague avant un dernier déplacement, pas le moins compliqué, à Orenburg la semaine prochaine. Deux rencontres à gagner impérativement pour espérer décrocher la 6e place, qualificative pour l'Eurocup. C'est dire si le défi est énorme.
Bourges peut en outre compter sur sa nouvelle recrue l'Américaine au passeport monténégrin Shay Murphy, qui avait disputé la semaine dernière face à Wisla Cracovie son premier match d'Euroleague avec les Berruyères.
Malades la semaine, Kyara Linskens et Hanne Mestdagh sont rétablies alors que les gênes de Sidney Spencer (au genou) et Julie Allemand (au pied) sont passées également. Philip Mestdagh dispose ainsi d'un groupe au complet.