En quittant Blue Cats Ieper sur un titre de champion et une Coupe de Belgique, Emma Meesseman a depuis lors balisé son chemin vers les hauteurs du basket féminin mondial. De la WNBA au Sparta&K Moscou, l'intérieure flandrienne, 21 ans, a passé deux saisons à Villeneuve d'Ascq avec au bout du compte une place en finale de la Coupe de France et une autre en demi-finale de cette même Eurocoupe, l'an denrier, face au futur lauréat du Dynamo Moscou.
"Je ne saurais pas vous donner le résultat de la finale, je n'en ai aucune idée", sourit Emma Meesseman à l'approche de ce "derby" entre voisins, dès jeudi au Palacium entre Villeneuve d'Ascq et Castors Braine, pour la finale aller de l'Eurocup. "Ce sont deux équipes qui jouent très bien ensemble, qui disposent d'une bonne défense et qui peuvent bénéficier d'un groupe de supporters fantastiques capables de leur donner beaucoup d'énergie. Je pense que l'ESBVA dispose de plus d'expérience dans son groupe, mais Castors est aussi une équipe qui est très difficile à arrêter. Je ne peux pas prévoir ce que cela va donner, mais je pense que l'on aura droit de toute façon à une belle finale ! ... Et que le meilleur gagne !"
"Je ne saurais pas vous donner le résultat de la finale, je n'en ai aucune idée", sourit Emma Meesseman à l'approche de ce "derby" entre voisins, dès jeudi au Palacium entre Villeneuve d'Ascq et Castors Braine, pour la finale aller de l'Eurocup. "Ce sont deux équipes qui jouent très bien ensemble, qui disposent d'une bonne défense et qui peuvent bénéficier d'un groupe de supporters fantastiques capables de leur donner beaucoup d'énergie. Je pense que l'ESBVA dispose de plus d'expérience dans son groupe, mais Castors est aussi une équipe qui est très difficile à arrêter. Je ne peux pas prévoir ce que cela va donner, mais je pense que l'on aura droit de toute façon à une belle finale ! ... Et que le meilleur gagne !"