Valentin Cavelier, 36 ans, c’est le “Eric Leloup” de l’ESBVA, à moins qu’Eric Leloup ne soit le “Valentin Cavelier” de Castors Braine. L’homme est un devenu un passioné, c’est surtout le manager général de Villeneuve d’Ascq qu’il a (re)mis sur les rails depuis son arrivée en 2011. L'ESBVA était alors en mauvaise position financière.
“C’était le but”, souligne le bras droit du président, Carmelo Scara. “L’objectif était de structurer le club, d’assurer son développement sur 3 ans et d’asseoir une certaine stabilité. Avec un objectif de top 6 dans le championnat de France et de retrouver la Coupe d’Europe. Nous sommes un an en avance sur nos objectifs.”
Passé par la Chorale de Roanne chez les messieurs avec un titre de champion en 2007, et un dossier d’Euroligue un an plus tard, Valentin Cavelier s’est branché rugby ensuite, avec Montauban durant deux saisons. Son parcours dans le management sportif l’a emmené ensuite sur le terrain féminin, avec le basket et l’ESBVA.
Le parcours du club nordique et sa progression ressemblent beaucoup à la courbe prise par Castors Braine toute proportion gardée vu la différence de niveaux entre les deux championnats nationaux, mais voilà les deux cercles devenu partenaires s’affronter en finale de la Coupe d’Europe.
“C’était le but”, souligne le bras droit du président, Carmelo Scara. “L’objectif était de structurer le club, d’assurer son développement sur 3 ans et d’asseoir une certaine stabilité. Avec un objectif de top 6 dans le championnat de France et de retrouver la Coupe d’Europe. Nous sommes un an en avance sur nos objectifs.”
Passé par la Chorale de Roanne chez les messieurs avec un titre de champion en 2007, et un dossier d’Euroligue un an plus tard, Valentin Cavelier s’est branché rugby ensuite, avec Montauban durant deux saisons. Son parcours dans le management sportif l’a emmené ensuite sur le terrain féminin, avec le basket et l’ESBVA.
Le parcours du club nordique et sa progression ressemblent beaucoup à la courbe prise par Castors Braine toute proportion gardée vu la différence de niveaux entre les deux championnats nationaux, mais voilà les deux cercles devenu partenaires s’affronter en finale de la Coupe d’Europe.
Beaucoup de points communs avec Braine
“Nous partageons les mêmes valeurs, nous sommes ambitieux et si l’évolution se fait très vite, nous n’avons sauté aucune étape. Comme Braine”, reprend Valentin Cavelier. “Au-delà des échanges, s’est instauré un rapport très amical avec Eric. Nous sommes, comme eux, ouverts d’esprit et il y a beaucoup à apprendre l’un de l’autre. Le championnat français est autrement plus exigeant, mais d’un autre côté Braine a construit une équipe et une façon de fonctionner qui fait des malheurs. Et puis il y a beacoup de points communs. L’organisation, la volonté de jouer l’Eurocup dans un premier temps, plutôt que l’Euroligue, la progression, les supporters aussi, nous avons les Z’hurlants, ils ont leur groupe (le Beaver Spirit)”
Demi-finaliste l’an dernier avec Emma Meesseman dans cette Eurocoupe, finaliste cette saison avec Ann Wauters, l’ESBVA prend Castors Braine très au sérieux, refusant l’étiquette de favori. “Je vois deux matches serrés, tant à l’aller qu’au retour. L’expérience est peut-être chez nous, mais Braine, c’est une équipe jeune, fougeuse, qui joue avec une telle passion, une telle rage , mais sans jamais tomber dans la méchanceté, avec eux c’est l’explosion à chaque fois.”
Demi-finaliste l’an dernier avec Emma Meesseman dans cette Eurocoupe, finaliste cette saison avec Ann Wauters, l’ESBVA prend Castors Braine très au sérieux, refusant l’étiquette de favori. “Je vois deux matches serrés, tant à l’aller qu’au retour. L’expérience est peut-être chez nous, mais Braine, c’est une équipe jeune, fougeuse, qui joue avec une telle passion, une telle rage , mais sans jamais tomber dans la méchanceté, avec eux c’est l’explosion à chaque fois.”