La Belgique jouera donc pour les places 9 à 16 à partir de lundi à Udine, Italie, à l'Euro U20. Après trois revers face à la Tchéquie, la Russie et la Turquie, les Belges sont versés dans le groupe G, un groupe de 4, avec les 3 autres pays ayant terminé 4e et dernier de leur poule lors de la première phase.
Avec la Bélarusse (lundi 14h00), la Suède (mardi 14h00) et la Grèce (mercredi 14h00), les filles de Philip Mestdagh abordent un tryptique plus abordable. "En tous les cas, c'est notre objectif", souligne le coach flandrien des U20. "Réaliser un 2 sur 3, voire un 3/3 est important pour la suite de la compétition. Le seul match que nous pouvions prendre au premier tour fut le duel face à la Tchéquie, mais nous avons manqué de caractère et ce fut notre premier match après une préparation très courte. Nous grandissons au fil du tournoi, c'est sûr et je suis persuadé que nous sommes capables d'un autre match si nous rencontrons à nouveau les Tchèques."
Avec la Bélarusse (lundi 14h00), la Suède (mardi 14h00) et la Grèce (mercredi 14h00), les filles de Philip Mestdagh abordent un tryptique plus abordable. "En tous les cas, c'est notre objectif", souligne le coach flandrien des U20. "Réaliser un 2 sur 3, voire un 3/3 est important pour la suite de la compétition. Le seul match que nous pouvions prendre au premier tour fut le duel face à la Tchéquie, mais nous avons manqué de caractère et ce fut notre premier match après une préparation très courte. Nous grandissons au fil du tournoi, c'est sûr et je suis persuadé que nous sommes capables d'un autre match si nous rencontrons à nouveau les Tchèques."
Notre volume de travail n'a rien de comparable
Il n'y a pas eu photo ensuite face à la Russie et même si les Belges se sont accrochées longtemps face à la Turquie, la différence avec les équipes du top européen est trop flagrante. "Il y a des kgs en plus, des centimètres en plus à chaque poste", analyse Philip Mestdagh. "Mais ce n'est pas qu'une question de physique ou de gabarit. Il y a tout le travail derrière. Ce sont des filles qui sont arrivées à des rythmes de 2 entraînements par jour, nous en sommes de notre côté.. à 3 par semaine pour certaines. Avec tout le respect que j'ai pour notre compétition, notre noyau est constitué notamment de joueuses de Ypres, de Gentson, on ne peut pas rivaliser une fois que l'on arrive chez les U20. Le volume de travail n'a rien de comparable avec celui de nos adversaires. Il y a un problème fondamental en Belgique dans le travail de nos jeunes, une fois qu'elles dépassent 16-17 ans. Cela fait partie de nos faiblesses. Qu'il faut pouvoir compenser par le caractère, le mental, la combativité. Ce ne fut pas toujours le cas non plus. Tout en sachant que certaines reprennent à peine la compétition après deux mois sans avoir travaillé à un bon rythme après la fin de notre championnat. Raison pour laquelle, je dis aussi que nous allons grandir au fil du tournoi."
Cette deuxième phase est importante car elle va déterminer un classement parmi ces 4 équipes du groupe G qui vont rencontrer ensuite les formations non qualifiées pour les quarts de finale. Les trois premiers de chacun des 4 groupes du premier tour se retrouvent en effet dans deux nouvelles poules de 6 dont les 4 premiers de chacune d'elles seront qualifiés pour les quarts de finale et les deux derniers joueront face aux équipes du groupe G. Ce duel que la Belgique disputera face à l'une de ces équipes peut lui assurer, en cas de victoire, le maintien déjà en division A.
Un peu compliqué, mais le plus important est de remporter un maximum de match dans ce deuxième tour à commencer par la Bélarusse lundi. Sans Antonia Delaere, mais avec Jolien Goyvaerts, préservée contre la Turquie samedi. Pour l'Anversoise, l'IRM passé dimanche révèlera son verdict lundi, mais les sensations ne sont pas à l'optimisme concernant le genou d'Antonia Delaere qui ne jouera vraisemblablement plus lors de cet Euro U20.
Un peu compliqué, mais le plus important est de remporter un maximum de match dans ce deuxième tour à commencer par la Bélarusse lundi. Sans Antonia Delaere, mais avec Jolien Goyvaerts, préservée contre la Turquie samedi. Pour l'Anversoise, l'IRM passé dimanche révèlera son verdict lundi, mais les sensations ne sont pas à l'optimisme concernant le genou d'Antonia Delaere qui ne jouera vraisemblablement plus lors de cet Euro U20.