La Macédoine s'apparente comme l'équipe la moins redoutable du groupe B, mais cela ne veut pas dire qu'elle ne doit pas être redoutée pour autant. Daniel Goethals se méfie de ce genre de rencontre tout en sachant qu'il faut aller chercher une victoire indispensable pour la suite de la compétition.
"La victoire est indispensable, oui, cela ne se discute même pas", a expliqué Daniel Goethals, vendredi. "Mais il ne faut pas non plus se mettre une pression exacerbée. La Macédoine est soi-disant l'équipe la plus abordable. Si elles ont eu difficile en Lituanie, on a vu que c'était déjà mieux contre la Grande-Bretagne (53-78). C'est une équipe où tout tourne autour de Givens."
Krisi Givens est en effet l'une des deux Américaines naturalisées par la Macédoine, avec Ashley Paris. Le réglement prévoit qu'une seule des deux peut être alignée par match. Et tout porte à croire que Goran Jovanovic va poursuivre avec Givens qui tourne à 24 pts, 8,5 rebonds et 4 assists sur les deux premiers matches.
"Elle doit tout faire", analyse encore Daniel Goethals. "Les systèmes sont pour elles, elle score, elle donne les passes, prend les rebonds. Notre travail défensif sera en fonction, mais il faut aussi faire très attention à ce qu'une autre ne sorte pas du lot et mette tout d'un coup 20 points, car Givens, quand elle est prise, sait donner le ballon. C'est une équipe qui est plus petite que nous encore. Ce sera un basket plus mobile, plus agressif. Ce que nous devrons jouer aussi."
Battue 108 à 56 par la Lituanie puis 53-78 face à la Grande-Bretagne, la Macédoine n'a pas d'autres options non plus que de venir gagner en Belgique dimanche, 15h00, à l'Arena de Deurne. Daniel Goethals s'attend à rencontrer de la zone. "Et beaucoup de zone. Il va falloir l'attaquer de façon très agressive et ne pas penser qu'il suffit de faire tourner la balle et jouer le shoot à 3 pts. Il faudra bien bouger le ballon, le mettre à l'intérieur et resté très concentré."
Krisi Givens est en effet l'une des deux Américaines naturalisées par la Macédoine, avec Ashley Paris. Le réglement prévoit qu'une seule des deux peut être alignée par match. Et tout porte à croire que Goran Jovanovic va poursuivre avec Givens qui tourne à 24 pts, 8,5 rebonds et 4 assists sur les deux premiers matches.
"Elle doit tout faire", analyse encore Daniel Goethals. "Les systèmes sont pour elles, elle score, elle donne les passes, prend les rebonds. Notre travail défensif sera en fonction, mais il faut aussi faire très attention à ce qu'une autre ne sorte pas du lot et mette tout d'un coup 20 points, car Givens, quand elle est prise, sait donner le ballon. C'est une équipe qui est plus petite que nous encore. Ce sera un basket plus mobile, plus agressif. Ce que nous devrons jouer aussi."
Battue 108 à 56 par la Lituanie puis 53-78 face à la Grande-Bretagne, la Macédoine n'a pas d'autres options non plus que de venir gagner en Belgique dimanche, 15h00, à l'Arena de Deurne. Daniel Goethals s'attend à rencontrer de la zone. "Et beaucoup de zone. Il va falloir l'attaquer de façon très agressive et ne pas penser qu'il suffit de faire tourner la balle et jouer le shoot à 3 pts. Il faudra bien bouger le ballon, le mettre à l'intérieur et resté très concentré."
Les Belges aussi veulent ouvrir leur compteur victoire face à cette équipe macédonienne. "On sort de deux matches où l'on a pu tenir la dragée haute à notre adversaire, mais on reste sur un goût de trop peu, surtout en Grande-Bretagne, et même contre la Lituanie quand je revois la fin de match."
