La Belgique est en récupération lundi matin à Louvain-La-Neuve, encore ensemble au lendemain des trois rencontres du tournoi des 4 Nations, le groupe sera réduit à 12 pour entamer les qualifications en vue de l'Euro-2015. Un choix dicté par les circonstances. Evelien Callens doit se faire opérer au genou et Sien Devliegher victime d'une grosse entorse en Slovénie s'arrêtent là.
La dernière ligne droite avant la première rencontre en Grande-Bretagne dimanche est entamée. Avec une progression intéressante pour les Belges. "Les choses se mettent en place comme on l'espérait", a expliqué Daniel Goethals lundi. "Après tout le travail que l'on a fourni, il nous fallait un déclic. Ce dernier quart temps contre l'Italie l'a été certainement. Et nous, au niveau du staff, notre discours a changé entre le match contre les Pays-Bas où l'on a un peu balbutié notre basket et celui de l'Italie. Se préparer, mettre les choses en place, c'est bien, mais maintenant il faut gagner. Voilà ce que l'on a répété aux filles. C'était leur mettre de la pression, mais c'était nécessaire."
La dernière ligne droite avant la première rencontre en Grande-Bretagne dimanche est entamée. Avec une progression intéressante pour les Belges. "Les choses se mettent en place comme on l'espérait", a expliqué Daniel Goethals lundi. "Après tout le travail que l'on a fourni, il nous fallait un déclic. Ce dernier quart temps contre l'Italie l'a été certainement. Et nous, au niveau du staff, notre discours a changé entre le match contre les Pays-Bas où l'on a un peu balbutié notre basket et celui de l'Italie. Se préparer, mettre les choses en place, c'est bien, mais maintenant il faut gagner. Voilà ce que l'on a répété aux filles. C'était leur mettre de la pression, mais c'était nécessaire."
La partie contre l'Ukraine aura confirmé la bonne tenue des Belges dans ce désormais déjà fameux quatrième quart temps contre les Italiennes. "On a été dans l'agressivité dès le début, face à une équipe qui a joué l'Euro aussi, qui est plus costaude, plus physique. C'était notre challenge. Il était aussi intéressant de savoir vraiment où l'on se situait aussi face à ce genre d'équipe. Le groupe est resté très concentré, même dans les moments où l'Ukraine nous met la pression dans le 4e quart. Mais si l'on s'est pris du 0-5, on réagissait directement derrière avec du 4-0. On a souffert, mais on a pris pas mal de rebonds. Comme j'ai dit aux filles, j'ai peut-être du bol, mais l'objectif que je fixe de prendre plus de 40 rebonds par match est atteint lorsque l'on gagne le match. Cela s'est passé la première fois contre l'Italie, puis contre l'Ukraine, même si les Ukrainiennes ont pris plus de rebonds que nous. Cette bataille là est importante."
La Belgique se retrouvera mercredi à Anvers, puis vendredi. "Pour leur permettre de souffler aussi et de limiter les trajets néfastes à la récupération. Puis nous restons ensemble à partir de vendredi jusqu'à dimanche, en Grande-Bretagne", poursuit Daniel Goethals satisfait, mais réaliste aussi. "Avec ce match contre l'Ukraine, nous n'avons rien. La défaite ne change rien pour l'Ukraine, la victoire ne change rien pour nous. Nous avons connu de bonnes séquences, collectives. Les meneuses commencent à comprendre et à bien être en phase dans le relationnel avec ce que je leur demande."