Les Belges à l'écoute (photo: S. Kovaleni)
Les Belges à l'écoute (photo: S. Kovaleni)
Belgium - Italia 69-81
20-22/23-25/13-20/13-15
Belgium: 18/33 à 2pts, 8/17 à 3, 9/14 Lf, 27rbds, 18 pdb, 21 f. Van Dessel 2, Van Loo, Dubuc 14 (2x3), Michiels, Hendrickx 2 (5rbds), Leemans 14 (1x3), Vn Malderen 21 (3x3, 5 rbds), Raman 12 (2x3, 5 rbds), Bas 4
Italia: 29/57 à 3pts, 3/8 à 3pts, 14/18 LF, 18 rbds, 11 pdb, 17 f. Gianolla 2, Franchini 6, Pstore, Ballardini 17 (2x3, 9 rbds), Ress 12 (6 rbds), Zanon 2, E. Giauro 4, Sottana 7 (1x3), S. Giauro, Masciadri 10, Nadalin 9, Macchi 12 (5rbs)
BOX SCORE
Revivez le live
"On se retrouve dans 2-3 ans face à cette équipe d'Italie, et on en reparle", lâchait même Arvid Diels persuadé du potentiel de son groupe et surtout, de son avenir. "Je comprends le coach italien qui dit que l'Euro en Lettonie est primordial pour l'Italie, pour cette génération. Qu'en sera-t-il après chez eux ?" Voilà pour le long terme, reste que le court terme. La Belgique s'est inclinée certes face aux Italiennes (69 à 81) qui ont forgé leur succès à la reprise en prenant une dizaine de points d'avance. Un retard que les jeunes Belges n'ont jamais su combler "par manque de bonnes décisions offensives dans les dernières minutes", estime Arvid Diels, le sélectionneur malinois. "Il faut continuer à travailler. Défensivement, nous avions pris 100 points en Croatie, il fallait une réaction et mettre plus d'agressivité. Je n'ai pas vu une équipe d'Italie mise en difficulté, mais bien des joueuses individuellement embêtées." On avance. La Belgique a même mené durant la première période, mais les dernières minutes de chaque quart temps auront été douloureux pour les Belges. "Ce sont quelques moments où l'on est en problème. Pas longtemps, 2 à 3 minutes, il faut s'appliquer beaucoup plus. Mais il y a les sujets de satisfaction. En Croatie, nous avions bien opéré offensivement avec Sara Leemans et Laurence Van Malderen. L'Italie a vu le match bien sûr. Il nous fallait trouver autre chose. Avec Jana Raman et Stéphanie Dubuc, nous avons apporté d'autres forces offensives. Nous avons réalisé de bonnes choses offensivement. On a aussi commis des fautes, il faut les gérer, mais ce n'est pas grave. Je préfère une faute qu'un 'easy basket'."
Il a fallu composer effectivement avec les fautes rapides portées au crédit de Julie Van Loo, doublée par Daphne Van Dessel, ou Virginie Michiels. Reste que l'esprit du groupe est manifestement positif, preuve que le projet passe bien et que l'envie de faire quelque chose est là. A l'image de Laurence Van Malderen, la 'moins jeune' du groupe. Avec 21 points et un bon travail durant toute la partie, l'intérieure bruxelloise affiche un bel enthousiasme dans son jeu. Mardi, ce sera de nouveau la Croatie. Avec l'envie certainement de faire mieux qu'à l'aller. Arvid Diels a donné congé à ses filles. Deux jours ! Un luxe dans le canevas classique du coach malinois. "J'ai juste besoin de trois jours pour préparer le match contre la Croatie, pas quatre", justifie-t-il jonglant toujours entre long et court terme. "Bien sûr, nous pourrions travailler un jour en plus, faire des tests physiques, ou d'autres choses, mais ce n'est pas le moment. Nous jouons la Croatie mardi et il me faut un schéma de trois jours pour aborder le match."
20-22/23-25/13-20/13-15
Belgium: 18/33 à 2pts, 8/17 à 3, 9/14 Lf, 27rbds, 18 pdb, 21 f. Van Dessel 2, Van Loo, Dubuc 14 (2x3), Michiels, Hendrickx 2 (5rbds), Leemans 14 (1x3), Vn Malderen 21 (3x3, 5 rbds), Raman 12 (2x3, 5 rbds), Bas 4
Italia: 29/57 à 3pts, 3/8 à 3pts, 14/18 LF, 18 rbds, 11 pdb, 17 f. Gianolla 2, Franchini 6, Pstore, Ballardini 17 (2x3, 9 rbds), Ress 12 (6 rbds), Zanon 2, E. Giauro 4, Sottana 7 (1x3), S. Giauro, Masciadri 10, Nadalin 9, Macchi 12 (5rbs)
BOX SCORE
Revivez le live
"On se retrouve dans 2-3 ans face à cette équipe d'Italie, et on en reparle", lâchait même Arvid Diels persuadé du potentiel de son groupe et surtout, de son avenir. "Je comprends le coach italien qui dit que l'Euro en Lettonie est primordial pour l'Italie, pour cette génération. Qu'en sera-t-il après chez eux ?" Voilà pour le long terme, reste que le court terme. La Belgique s'est inclinée certes face aux Italiennes (69 à 81) qui ont forgé leur succès à la reprise en prenant une dizaine de points d'avance. Un retard que les jeunes Belges n'ont jamais su combler "par manque de bonnes décisions offensives dans les dernières minutes", estime Arvid Diels, le sélectionneur malinois. "Il faut continuer à travailler. Défensivement, nous avions pris 100 points en Croatie, il fallait une réaction et mettre plus d'agressivité. Je n'ai pas vu une équipe d'Italie mise en difficulté, mais bien des joueuses individuellement embêtées." On avance. La Belgique a même mené durant la première période, mais les dernières minutes de chaque quart temps auront été douloureux pour les Belges. "Ce sont quelques moments où l'on est en problème. Pas longtemps, 2 à 3 minutes, il faut s'appliquer beaucoup plus. Mais il y a les sujets de satisfaction. En Croatie, nous avions bien opéré offensivement avec Sara Leemans et Laurence Van Malderen. L'Italie a vu le match bien sûr. Il nous fallait trouver autre chose. Avec Jana Raman et Stéphanie Dubuc, nous avons apporté d'autres forces offensives. Nous avons réalisé de bonnes choses offensivement. On a aussi commis des fautes, il faut les gérer, mais ce n'est pas grave. Je préfère une faute qu'un 'easy basket'."
Il a fallu composer effectivement avec les fautes rapides portées au crédit de Julie Van Loo, doublée par Daphne Van Dessel, ou Virginie Michiels. Reste que l'esprit du groupe est manifestement positif, preuve que le projet passe bien et que l'envie de faire quelque chose est là. A l'image de Laurence Van Malderen, la 'moins jeune' du groupe. Avec 21 points et un bon travail durant toute la partie, l'intérieure bruxelloise affiche un bel enthousiasme dans son jeu. Mardi, ce sera de nouveau la Croatie. Avec l'envie certainement de faire mieux qu'à l'aller. Arvid Diels a donné congé à ses filles. Deux jours ! Un luxe dans le canevas classique du coach malinois. "J'ai juste besoin de trois jours pour préparer le match contre la Croatie, pas quatre", justifie-t-il jonglant toujours entre long et court terme. "Bien sûr, nous pourrions travailler un jour en plus, faire des tests physiques, ou d'autres choses, mais ce n'est pas le moment. Nous jouons la Croatie mardi et il me faut un schéma de trois jours pour aborder le match."