14 rebonds pour Sofie Hendrickx contre l'Allemagne mardi
Belgium / Deutschland 55-59
18-11/8-10/15-18/14-20
Belgium: 14/34 à 2pts, 6/20 à 3pts, 9/12 LF, 36 rbds, 16 pdb, 17 f. Van Dessel 8 (2x3), Van Loo 8, Michiels 2, Hendrickx 4 (14rbds), Leemans 10 (2x3), Van Malderen 13 (1x3), Raman 9 (1x3, 6rbds), Crelot, Bas 1
Deutschland: 20/43 à 2pts, 3/18 à 3pts, 10/14 LF, 33 rbds, 20 pdb, 16 f. Mersch 2, Barnert 4, Koop 6, Austmann 4, Berger, Bavendam 7 (7rbds), Muller 11 (2x3), Danckert , Weber, Glaser 14 (6rbds), Thimm 2, Bar 9 (1x3)
BOX SCORE
Revivez le Live
Tout comme la veille, les jeunes Belges encadrées notamment, mardi, par Laurence Van Malderen, ont apporté un vent de fraîcheur et d'enthousiasme bienvenu pour l'ambiance générale d'une équipe nationale qui se cherche une identité. En menant à deux reprises de dix points face à une formation allemande certainement surprise la veille par la résistance d'un noyau belge au sein duquel figurent notamment deux joueuses de 15 ans à peine (Julie Van Loo et Emma Meeseman), la Belgique a démontré que son avenir avait un futur. Le reste de la moyenne d'âge n'est guère plus élevée, Laurence Van Malderen fait figure de doyenne, encore jeune, avec ensuite Daphne Van Dessel, alors que Stéphanie Dubuc devait avant tout soigner son élongation pour espérer être au poste en Croatie. Rien n'est moins sûr.
Evelien Callens incertaine pour la Croatie
Pas plus d'ailleurs qu'Eveline Callens. La pensionnaire d'Umbertide a joué 30 minutes dimanche pour la dernière journée (défaite face à la lanterne rouge de 4 pts à Viterbo) et est rentrée lundi, malade. Son déplacement en terre croate pour le premier des quatre matches de barrage le 4 janvier reste en suspens et sa participation est plus qu'incertaine.
La délégation belge partira vendredi après-midi pour Sibenik où la rencontre face à la Croatie est programmée dimanche à 18h00.
18-11/8-10/15-18/14-20
Belgium: 14/34 à 2pts, 6/20 à 3pts, 9/12 LF, 36 rbds, 16 pdb, 17 f. Van Dessel 8 (2x3), Van Loo 8, Michiels 2, Hendrickx 4 (14rbds), Leemans 10 (2x3), Van Malderen 13 (1x3), Raman 9 (1x3, 6rbds), Crelot, Bas 1
Deutschland: 20/43 à 2pts, 3/18 à 3pts, 10/14 LF, 33 rbds, 20 pdb, 16 f. Mersch 2, Barnert 4, Koop 6, Austmann 4, Berger, Bavendam 7 (7rbds), Muller 11 (2x3), Danckert , Weber, Glaser 14 (6rbds), Thimm 2, Bar 9 (1x3)
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Tout comme la veille, les jeunes Belges encadrées notamment, mardi, par Laurence Van Malderen, ont apporté un vent de fraîcheur et d'enthousiasme bienvenu pour l'ambiance générale d'une équipe nationale qui se cherche une identité. En menant à deux reprises de dix points face à une formation allemande certainement surprise la veille par la résistance d'un noyau belge au sein duquel figurent notamment deux joueuses de 15 ans à peine (Julie Van Loo et Emma Meeseman), la Belgique a démontré que son avenir avait un futur. Le reste de la moyenne d'âge n'est guère plus élevée, Laurence Van Malderen fait figure de doyenne, encore jeune, avec ensuite Daphne Van Dessel, alors que Stéphanie Dubuc devait avant tout soigner son élongation pour espérer être au poste en Croatie. Rien n'est moins sûr.
Evelien Callens incertaine pour la Croatie
Pas plus d'ailleurs qu'Eveline Callens. La pensionnaire d'Umbertide a joué 30 minutes dimanche pour la dernière journée (défaite face à la lanterne rouge de 4 pts à Viterbo) et est rentrée lundi, malade. Son déplacement en terre croate pour le premier des quatre matches de barrage le 4 janvier reste en suspens et sa participation est plus qu'incertaine.
La délégation belge partira vendredi après-midi pour Sibenik où la rencontre face à la Croatie est programmée dimanche à 18h00.
De bonnes choses, mais suffisantes pour les barrages ?
Un groupe livré à lui-même sur la base du BNT Jeunes
Cela dit la double confrontation face aux Allemandes, certes pas au complet non plus, a accouché de bonnes choses. De l'envie et de l'enthousiasme, notamment, mais pas seulement. "Il y a eu du positif, mais est-ce que cela sera suffisant pour être dans le match face à la Croatie et l'Italie, nous le verrons bien", Arvid Diels avait dit qu'il réservait son jugement sur les chances des Belges dans ces qualifications additionnelles pour l'Euro-2009 jusqu'après cette double confrontation. Il réserve toujours sa réponse. Certes, il y eut de bonnes choses, mais l'expérience dans des moments cruciaux et le physique, en terme de gabarit et de tempo, ne s'acquièrent pas en deux coups de cuillières à pot. Alors ? Le raisonnement du coach malinois reste le même. Il faut préparer l'avenir. "Nous avions fait une bonne prestation la veille, cette fois, l'idée était de travailler différents types de défense et de contrôler l'offense. On a bien travaillé sur les éléments qui avaient été demandés tant offensivement que défensivement. Si nous jouons pour gagner le match, nous jouons différemment. Si l'on prend un mix des deux matches, je pense qui si la Croatie n'est pas dans un bon jour, nous pouvons jouer 'avec'. Mais il faut aussi augmenter notre pourcentage offensif. De 2 sur 6 à 3 sur 5 par exemple. Des petites choses. Gérer l'enthousiasme. Jana Raman et Sofie Hendrickx pour ne citer qu'un exemple ont arraché des rebonds, très bien, mais on se précipite trop pour monter très vite le ballon et c'est une perte de balle. C'est certain que nous manquons d'expérience, de physique. Jouer un championnat d'Europe avec ce groupe, c'est trop dur. Aligner plusieurs matches de suite, c'est trop dur. Le groupe, je parle en général, n'a pas assez de bouteille pour pouvoir aligner plusieurs grosses prestations de suite. Un match, un bon jour, ça oui. Ce n'est pas évident de mettre en place quelque chose en quelques jours. L'idée est de travailler sur le long terme."
Structures incontournables dans le sport de haut niveau
Sans structure professionnelle, il y autant de chances d'aller au JO que de gagner au lotto...
Alors qu'Ann Wauters participait à un meet and greet avec l'un des partenaires de la fédération, het Nieuwsblad quelques kilomètres plus loin, suscitant beaucoup d'interrogations sur son absence au Country Hall et ne générant qu'une réponse embarrassée des responsables fédéraux, ses coéquipières préparaient leur campagne dans une trop grande discrétion.
Ironie des circonstances, le premier match lundi a débuté avec 20 minutes de retard et sans chrono finalement, comme s'il fallait arrêter le temps pour rattraper celui perdu depuis tant d'années. Il est grand temps, en effet, de structurer l'équipe gouvernementale qui orientera les destinées de l'équipe nationale. Mettre sur pied un management uniquement dédié à ce groupe pour éviter les couacs de ce genre et professionnaliser tout simplement une cellule d'encadrement. Les anecdotes ne manquent pas, confiées en off et sous le sceau de l'anonymat, mais symptômatiques de l'amateurisme général et de l'absence d'un management pourtant réclamé à grands cris par Arvid Diels (- qui fonctionne pour l'heure avec sa garde rapprochée, Jean Colinet comme assistant/préparateur physique, Xavier Cambioli comme kiné, et Serge Kovaleni comme manager officiel ou officieux selon les sources-). Pourquoi ne le met-il pas en place lui-même, pourquoi cela ne se met-il pas en place ? Manque de consensus entre VBL et AWBB ? Manque de volonté ? Beaucoup de choses interpellent et c'est ce que réclament pourtant les cadres. Peut-être est-ce même aussi l'une des raisons de leur absence dans cette campagne additionnelle.. La réussite passe par là, dans le monde du sport moderne de haut niveau, c'est tout simplement incontournable. La campagne actuelle n'est pas un mois de raccroc obligé, c'est une étape, importante, dans le projet 2013. Il faut donc avancer (et vite), tirer les leçons (c'est urgent) à l'issue de celle-ci, dire les choses (enfin) et prendre des décisions. Certains ont promis de mettre les choses à plat ... et un grand déballage !
Ironie des circonstances, le premier match lundi a débuté avec 20 minutes de retard et sans chrono finalement, comme s'il fallait arrêter le temps pour rattraper celui perdu depuis tant d'années. Il est grand temps, en effet, de structurer l'équipe gouvernementale qui orientera les destinées de l'équipe nationale. Mettre sur pied un management uniquement dédié à ce groupe pour éviter les couacs de ce genre et professionnaliser tout simplement une cellule d'encadrement. Les anecdotes ne manquent pas, confiées en off et sous le sceau de l'anonymat, mais symptômatiques de l'amateurisme général et de l'absence d'un management pourtant réclamé à grands cris par Arvid Diels (- qui fonctionne pour l'heure avec sa garde rapprochée, Jean Colinet comme assistant/préparateur physique, Xavier Cambioli comme kiné, et Serge Kovaleni comme manager officiel ou officieux selon les sources-). Pourquoi ne le met-il pas en place lui-même, pourquoi cela ne se met-il pas en place ? Manque de consensus entre VBL et AWBB ? Manque de volonté ? Beaucoup de choses interpellent et c'est ce que réclament pourtant les cadres. Peut-être est-ce même aussi l'une des raisons de leur absence dans cette campagne additionnelle.. La réussite passe par là, dans le monde du sport moderne de haut niveau, c'est tout simplement incontournable. La campagne actuelle n'est pas un mois de raccroc obligé, c'est une étape, importante, dans le projet 2013. Il faut donc avancer (et vite), tirer les leçons (c'est urgent) à l'issue de celle-ci, dire les choses (enfin) et prendre des décisions. Certains ont promis de mettre les choses à plat ... et un grand déballage !
80.000 euros pour un club qui ne veut pas libérer une joueuse pour son équipe nationale
Suivant que les équipes nationales sont engagées dans les barrages additionnels pour l'Euro-2009, les championnats nationaux font relâche, mais pas tous. Ce qui n'est pas sans poser des soucis pour les internationales placées entre deux chaises entre leur club et leur pays. Une info de Prodep.com.prodem.com rappelle "qu'alors qu'il apparaissait que les clubs n'étaient pas obligés de libérer leur joueuse pour leur sélection nationale respective, la FIBA a rappelé il y a quelques semaines que les clubs pouvaient effectivement refuser de céder leur joueuse, mais avec à la clé une 'compenstation' de 80.000 euros par joueuse non libérée pour une fédération qui la réclame, à moins que le club concerné et la fédération de la joueuse n'ait conclu un accord pour ne pas la sélectionner". Mais - rappelle aussi Prodep.com - beaucoup de fédérations nationales ne sont pas prêtes à se passer de leur meilleure joueuse.