Arrivé en décembre dernier pour relever Michel Bechoux de son intérim, qui assurait jusque là le relais de Daniel Goethals remercié en octobre, Julian Martinez Alman s'est installé à Belfius Namur Capitale. Originaire de Séville où il est né le 6 mars 1970, Julian Martinez Alman a surtout connu des postes d'assistant durant sa carrière. Mais pas n'importe où non plus, à Fenerbahçe, la saison dernière, au London Towers et à Belgrade auparavant et, ensuite, durant plusieurs saisons de l’équipe nationale de Lettonie. Joueur lui-même, l'homme s'est très vite tourné vers le coaching qu'il a apprivoisé dès l'âge de 20 ans. Tout heureux de pouvoir devenir coach principal, il estime faire un pas important dans sa carrière en prenant la tête d'un club à l'étranger, en l'occurence ici Namur où il se dit fier de pouvoir travailler dans un championnat belge, qu'il sait imparfait. Mais il estime cependant que ce championnat a tous les ingrédients nécessaires, en terme de structure, de motivation, de niveau des clubs pour progresser et pour faire progresser les jeunes joueuses belges chez elles, sans devoir les pousser à s'expatrier.
Il se dit étonné que le sélectionneur national encourage les joueuses belges à évoluer à l'étranger, Julian Martinez Alman estime en effet qu'il y a tout ce qu'il faut en Belgique pour progresser, mais que bien entendu, cela demande du temps et des idées. Le mentor de Namur - qui parle anglais et qui apprend le français - s'est livré (en Espagnol) après la première manche de la finale des play-off. La clé du succès namurois, selon lui, aura été cette capacité de gérer le stress et surtout d'être présent dans les derniers instants, que ce soit dans les derniers instants des systèmes ou dans les derniers instants de la rencontre, l'important est d'être prêt à conclure.
La deuxième manche de la finale aura lieu samedi (20h45) à Kangoeroes-Boom. La belle éventuelle, mercredi 24 avril (20h30) à Namur.
Il se dit étonné que le sélectionneur national encourage les joueuses belges à évoluer à l'étranger, Julian Martinez Alman estime en effet qu'il y a tout ce qu'il faut en Belgique pour progresser, mais que bien entendu, cela demande du temps et des idées. Le mentor de Namur - qui parle anglais et qui apprend le français - s'est livré (en Espagnol) après la première manche de la finale des play-off. La clé du succès namurois, selon lui, aura été cette capacité de gérer le stress et surtout d'être présent dans les derniers instants, que ce soit dans les derniers instants des systèmes ou dans les derniers instants de la rencontre, l'important est d'être prêt à conclure.
La deuxième manche de la finale aura lieu samedi (20h45) à Kangoeroes-Boom. La belle éventuelle, mercredi 24 avril (20h30) à Namur.