Emma Meesseman croise Céline Dumerc (photo: Francis Carpentier/esbvalm.fr)
Saint-Amand Hainaut Basket évoluera en Ligue 2 la saison prochaine. Envoyé par le fond par son voisin de l'ESBVA mercredi soir (71-74), l'ancienne équipe de Romina Ciappina, où évolue depuis l'ancienne namuroise Ify Ibewke, Hainaut Basket était obligé de l'emporter. Plus concerné par le maintien, Villeneuve-d'Ascq devait aussi gagner, mais pour rester en course pour le Challenge Round et, donc, aussi pour une qualification européenne. L'ESBVA a rempli sa tâche, revenant à 1 pt de la 8e place, et a trouvé une meilleure carburation après un début de saison difficile. Emma Meesseman a inscrit 18 pts et pris 7 rebonds mardi soir tournant à 12,2 pts, 6,2 rbds de moyenne depuis sa reprise en compétition après une blessure à la main qui l'a écarté de la préparation durant près de deux mois en début d'exercice.
"Ma première expérience comme joueuse professionnelle à l'étranger se passe bien", explique Emma Meesseman au moment de faire un premier bilan. "J'apprends énormément à l'entraînement et en match. Je prends ma chance sur le terrain et cela me plaît bien. Ce n'était pas évident en début de saison, mais le fait d'être proche de ma famille et de mes amis aident beaucoup bien sûr. Vendredi dernier, contre Bourges, un car de supporters de Blue Cats est même venu voir le match. C'était super chouette et je veux encore les remercier."
"Ma première expérience comme joueuse professionnelle à l'étranger se passe bien", explique Emma Meesseman au moment de faire un premier bilan. "J'apprends énormément à l'entraînement et en match. Je prends ma chance sur le terrain et cela me plaît bien. Ce n'était pas évident en début de saison, mais le fait d'être proche de ma famille et de mes amis aident beaucoup bien sûr. Vendredi dernier, contre Bourges, un car de supporters de Blue Cats est même venu voir le match. C'était super chouette et je veux encore les remercier."
Combiner basket et études, c'est lourd
Emma Meesseman bourreau de Saint-Amand (photo: Francis Carpentier/esbvalm.fr)
"La différence entre la France et la Belgique se situe à tous les nivaux. C'est plus rapide, cela joue plus dur. Toutes les joueuses disposent d'une grosse expérience. Tous les matches sont super bien préparés, ce qui veut dire que tout le monde sait ce dont tu es capable et connaissent tes points faibles".
Dans la réserve de recrutement du Spartak Moscou qu'elle doit rejoindre dans deux ans après une seconde saison à l'ESBVA dès août prochain, Emma Meesseman avait opté d'abord pour Villeneuve d'Ascq afin de pouvoir combiner ses études, en éducation physique à l'ULB. La jeune intérieure flandrienne s'astreint ainsi à beaucoup de trajets pour assurer cette double vie. "Combiner les deux est difficile, mais j'ai la chance de ne pas devoir être présente à tous les cours. Parfois, j'y suis malgré tout obligée, ce qui me fait manquer un entraînement, que je rattrape par des séances individuelles. Une journée type pour moi, c'est se lever, aller s'entraîner, cuisiner (rires), travailler un peu pour l'école, un peu de repos, puis de nouveau entraînement, et ensuite je vois ce qu'il est encore possible de faire".
Le plan de carrière d'Emma Meesseman est déjà tout tracé avec un oeil sur le Spartak Moscou, "j'ai parfois un contact avec le club, il me laisse surtout évoluer à Villeneuve d'Ascq, mais je sais qu'ils me suivent. De mon côté, je les suis aussi bien sûr. Dommage vraiment qu'elles aient été éliminées au Final 8, en Euroligue sans pouvoir jouer de demi-finales. Pour l'été, en principe, je jouerai avec l'équipe nationale, j'aimerais aussi faire l'Euro avec les U20, mais rien n'est encore sûr. Nous verrons bien."
Dans la réserve de recrutement du Spartak Moscou qu'elle doit rejoindre dans deux ans après une seconde saison à l'ESBVA dès août prochain, Emma Meesseman avait opté d'abord pour Villeneuve d'Ascq afin de pouvoir combiner ses études, en éducation physique à l'ULB. La jeune intérieure flandrienne s'astreint ainsi à beaucoup de trajets pour assurer cette double vie. "Combiner les deux est difficile, mais j'ai la chance de ne pas devoir être présente à tous les cours. Parfois, j'y suis malgré tout obligée, ce qui me fait manquer un entraînement, que je rattrape par des séances individuelles. Une journée type pour moi, c'est se lever, aller s'entraîner, cuisiner (rires), travailler un peu pour l'école, un peu de repos, puis de nouveau entraînement, et ensuite je vois ce qu'il est encore possible de faire".
Le plan de carrière d'Emma Meesseman est déjà tout tracé avec un oeil sur le Spartak Moscou, "j'ai parfois un contact avec le club, il me laisse surtout évoluer à Villeneuve d'Ascq, mais je sais qu'ils me suivent. De mon côté, je les suis aussi bien sûr. Dommage vraiment qu'elles aient été éliminées au Final 8, en Euroligue sans pouvoir jouer de demi-finales. Pour l'été, en principe, je jouerai avec l'équipe nationale, j'aimerais aussi faire l'Euro avec les U20, mais rien n'est encore sûr. Nous verrons bien."