De l'officiel après le tirage au sort du 11 février à Madrid
Du côté du BNT Dames, le représentant AWBB, Christian Grandry, s’est borné à un étrange "no comment" renvoyant à une communication officielle mi-février. La team manager Caroline De Roose n’a pas encore répondu à notre message.
Le représentant VBL, Stefan Garaleas, a confirmé "qu’une conférence de presse serait organisée au lendemain du tirage au sort pour combiner la présentation du coach et du staff de l’équipe nationale, et faire part des réactions à l’issue du tirage".
Ouf ! Il n’y a donc pas anguilles sous roche… "Dans tous les dossiers, le financement du BLOSO doit suivre une voie protocolaire", rassure-t-il. "Le dossier suit son cours et nous sommes sur la bonne voie. Il n’est pas toujours facile de respecter les deadlines, mais cela ne veut pas dire que l’on est engagé sur une mauvaise voie. Quand on travaille dur, il vaut mieux parfois prendre un peu plus de temps."
Le représentant VBL, Stefan Garaleas, a confirmé "qu’une conférence de presse serait organisée au lendemain du tirage au sort pour combiner la présentation du coach et du staff de l’équipe nationale, et faire part des réactions à l’issue du tirage".
Ouf ! Il n’y a donc pas anguilles sous roche… "Dans tous les dossiers, le financement du BLOSO doit suivre une voie protocolaire", rassure-t-il. "Le dossier suit son cours et nous sommes sur la bonne voie. Il n’est pas toujours facile de respecter les deadlines, mais cela ne veut pas dire que l’on est engagé sur une mauvaise voie. Quand on travaille dur, il vaut mieux parfois prendre un peu plus de temps."
Chez ces gens-là monsieur...
Reste qu’en coulisses, cela paraît bien plus agité que ce que l’on veut bien nous faire comprendre officiellement. Le 9 janvier dernier, lorsqu’un confrère français avait vendu la mèche ‘Laurent Buffard’ dans l’Equipe, nous avions écrit: "Pour le BNT Dames, il existe un pré-accord portant sur trois ans qui n'attend plus qu'à être entériné. Ce ne devrait être d'ailleurs qu'une formalité. Un miracle dans le contexte « francophono-flamando-belge» !" Seulement voilà, il s’est confirmé que c’eusse effectivement été un miracle de voir les bidons s’arranger aussi facilement… il existait en fait moins de chance que de gagner à l’Euromillions ! Vu l’aura et la réputation du, en principe, futur coach national, il eût été sage et logique de lui laisser le choix de son staff. Mais on est en Belgique, monsieur, et chez ces gens-là … comme dirait l’ami Jacques nous faisant regretter une Belgitude désormais à des années lumière de la réalité…. C’est là que les Romains s’empoignèrent… sans les Gaulois, car plus aucun village désormais ne veut désormais résister à quoi ou à qui que ce soit.
Par Toutatis
Sans que cela le fasse fuir à l’autre bout du monde, il a quand même fallu expliquer à l’ami Laurent Buffard, au moins déjà assuré de coacher le Reste du Monde, que la Belgique était divisée en deux, et que, en outre, chaque partie était elle-même divisée … Deux assistants-coaches devraient être désignés. Jusqu’ici tout va bien... Ben oui, un de chaque côté du pays. Le candidat flamand resterait à nommer. Loin de nous l’idée de nous mêler de ce qui ne nous regarde pas, comme dirait d’illustres inconnus, mais le petit sondage populaire ci-contre dégage une large audience pour Arvid Diels. Bien sûr, les lecteurs de Basketfeminin.com n’ont pas voix au chapitre (heureusement diront certains) et ne sont certainement pas les bailleurs de fond du projet. L’idée n’est pourtant pas saugrenue. Coach de l’équipe nationale des moins de 20 ans (comme l’avait confirmé la fédération le 20 décembre déjà), le Malinois, faiseur de miracle du SKW, 27 ans, coordinateur du Topsport basket au BLOSO, a tout du candidat idéal. Mais si tout était aussi simple... Chez ces gens là, monsieur...
L'Union fait la force !
Patience donc avant de connaître ceux qui descendront dans l’arène présider aux destinées de Lionnes. On nous a toujours dit qu’il fallait rester positif et notre devise nationale n’est-elle pas : l’Union fait la Force ! Que l’on puisse tous ensemble, par Toutatis, partager le sanglier autour d’un joyeux banquet … même si le village n’existe plus… !