Daniel Goethals se consacre à l'équipe nationale (photo: Ann Dee Lamour/Basketfeminin)
Daniel Goethals se consacre à l'équipe nationale (photo: Ann Dee Lamour/Basketfeminin)
Daniel Goethals ne sera plus le coach de Spirou Monceau la saison prochaine. Le Carolo a pris sa décision en âme et conscience. L'ex-coach de Waregem et de Namur ne veut pas cumuler sa fonction de sélectionneur national avec celle de coach d'un club belge, "pour la sérénité des débats et la tranquillité autour de l'équipe nationale", a confié le nouveau sélectionneur de la Belgique vendredi.
"En outre, faire des journées 8-23 heures, c'est devenu un peu lourd pour moi", a ajouté Daniel Goethals. "J'ai mon job à la fédé, et à l'AWBB. Je peux ainsi me concentrer sereinement sur l'équipe nationale." Daniel Goethals a été nommé coach national pour remplacer Benny Mertens, remercié en début d'année. Le mandat de l'ancien entraîneur de Waregem et de Namur court jusqu'à l'été 2014, au moins, c'est-à-dire jusqu'à la fin de la seconde campagne de qualifications pour l'Euro-2015. Et jusqu'à cet Euro en Hongrie et en Roumanie bien entendu, si la Belgique se qualifie.
La première de ses campagnes aura, vous le savez, lieu en juin avec une première poule à Helsinki contre la Finlande et la Pologne. De tout cela, Daniel Goethals en a longuement parlé. Vous retrouverez au fil de plusieurs articles le programme de l'équipe nationale et les premières impressions de Daniel Goethals dans son costume de sélectionneur national.
Dans l'immédiat, Spirou Monceau préparera son Final 4 de la Coupe de Belgique avec une demi-finale le 27 avril à 21 heures contre Kangoeroes-Boom au Spiroudôme de Charleroi. Ensuite, Pascal Vacavant, le président de Spirou Monceau, devra désigner un successeur à Daniel Goethals arrivé il y a un peu plus d'un mois pour succéder à Patrick Stainier à la salle Ballens. "Ce fut la mort dans l'âme que j'ai annoncé cette décision à Pascal Vacavant. Mais je voulais être clair et qu'il ait le temps de se retourner."
"En outre, faire des journées 8-23 heures, c'est devenu un peu lourd pour moi", a ajouté Daniel Goethals. "J'ai mon job à la fédé, et à l'AWBB. Je peux ainsi me concentrer sereinement sur l'équipe nationale." Daniel Goethals a été nommé coach national pour remplacer Benny Mertens, remercié en début d'année. Le mandat de l'ancien entraîneur de Waregem et de Namur court jusqu'à l'été 2014, au moins, c'est-à-dire jusqu'à la fin de la seconde campagne de qualifications pour l'Euro-2015. Et jusqu'à cet Euro en Hongrie et en Roumanie bien entendu, si la Belgique se qualifie.
La première de ses campagnes aura, vous le savez, lieu en juin avec une première poule à Helsinki contre la Finlande et la Pologne. De tout cela, Daniel Goethals en a longuement parlé. Vous retrouverez au fil de plusieurs articles le programme de l'équipe nationale et les premières impressions de Daniel Goethals dans son costume de sélectionneur national.
Dans l'immédiat, Spirou Monceau préparera son Final 4 de la Coupe de Belgique avec une demi-finale le 27 avril à 21 heures contre Kangoeroes-Boom au Spiroudôme de Charleroi. Ensuite, Pascal Vacavant, le président de Spirou Monceau, devra désigner un successeur à Daniel Goethals arrivé il y a un peu plus d'un mois pour succéder à Patrick Stainier à la salle Ballens. "Ce fut la mort dans l'âme que j'ai annoncé cette décision à Pascal Vacavant. Mais je voulais être clair et qu'il ait le temps de se retourner."
C'est la première fois qu'un sélectionneur national occupera sa fonction pratiquement à temps plein, en tous les cas sans avoir à combiner sa fonction avec celle de coach d'un club belge. Si une proposition intéressante arrive entre-temps de l'étranger, Daniel Goethals l'étudiera. "C'est un peu différent, car l'on ne pourra pas me reprocher de jouer sur deux tableaux équipe nationale et club. Et je peux me ménager des périodes pour mes joueuses de l'équipe nationale durant la saison. On sait s'organiser. Certains argueront peut-être que rester sans coacher entre l'été 2013 et l'été 2014 n'est pas idéal. Mais j'ai l'opportunité de pouvoir choisir et ma décision est prise. Je comprends la position des anciens sélectionneurs, mais je sais aussi que même si l'on reste le plus correct possible et que l'on fait la part des choses, être assis entre deux chaises prête quoiqu'il arrive le flan à la critique."