Guillaume Barbieux avait fait part de son sentiment à la veille de son 16e de Coupe de Belgique face aux vice-championnes de Belgique flandriennes mercredi dernier, mais aucune décision ferme n'a encore été prise à Montegnée. “Vous savez, comme coach, après avoir terminé 2 ans premiers et ne pas pouvoir monter, c'est frustrant”, explique le jeune liégeois. “Alors cette saison, j'avais vraiment envie de pouvoir faire avancer les choses. J'ai construit un dossier sponsoring, en amenant de nouvelles personnes dans le comité, en prenant contact avec des politiques, en essayant de donner un nouvel enthousiasme pour faire aboutir le projet. Mais force était de constater que la sauce ne prend pas”, reconnaît Guillaume Barbieux un brin découragé. “Alors lancer que Montegnée ne pouvait pas monter, c'était aussi essayer de faire réagir et de titiller les sensibilités. Ce n'est pas facile, notre équipe est bien balancée, et nos objectifs sont sains. Contrairement aux idées reçues, je vous le garanti nous avons le 7e ou 8e budget de la R1, loin derrière ce que certains autres clubs peuvent proposer comme avantages.”
La Renaissance Montegnée poursuit donc son travail et si le chemin vers la D1 est encore très loin et dépendant de très nombreux paramètres, la volonté initiale est là et Guillaume Barbieux est loin d'avoir renoncé. “Nous avons une belle équipe, les joueuses doivent suivre aussi. Contre Waregem en Coupe mercredi, l'écart est important, mais l'équité recommande de préciser que nous jouions sans trois pivots. Daphné Piret, Bénédicte Lhonneux et Anne-Marie Glazemakers étaient absentes, j'ai du jouer avec Amandine Halin et Aurore Julémont au poste 4, cela situe un peu. Mais en préparation, nous avions démontrés de bonnes choses: -6 à Monceau sans Michèle Decors, -2, puis + 3 chez nous face à Jeugd Genston, -10 au Novia Munalux, je crois que nous étions loin d'être larguées, même s'il est clair qu'il y a beaucoup de travail encore à accomplir, et il nous faut un budget plus conséquent, c'est une certitude aussi.”
Avec 1 défaite au compteur, la Renaissance Montegnée figure dans le peloton de tête de la R1 avec Natoye et Prayon-Trooz (1 défaite), derrière Verviers-Pepinster et Herve-Battice (0 défaite), et devant Fleurus et Ganshoren (2 défaites) après 5 journées de championnat.
La Renaissance Montegnée poursuit donc son travail et si le chemin vers la D1 est encore très loin et dépendant de très nombreux paramètres, la volonté initiale est là et Guillaume Barbieux est loin d'avoir renoncé. “Nous avons une belle équipe, les joueuses doivent suivre aussi. Contre Waregem en Coupe mercredi, l'écart est important, mais l'équité recommande de préciser que nous jouions sans trois pivots. Daphné Piret, Bénédicte Lhonneux et Anne-Marie Glazemakers étaient absentes, j'ai du jouer avec Amandine Halin et Aurore Julémont au poste 4, cela situe un peu. Mais en préparation, nous avions démontrés de bonnes choses: -6 à Monceau sans Michèle Decors, -2, puis + 3 chez nous face à Jeugd Genston, -10 au Novia Munalux, je crois que nous étions loin d'être larguées, même s'il est clair qu'il y a beaucoup de travail encore à accomplir, et il nous faut un budget plus conséquent, c'est une certitude aussi.”
Avec 1 défaite au compteur, la Renaissance Montegnée figure dans le peloton de tête de la R1 avec Natoye et Prayon-Trooz (1 défaite), derrière Verviers-Pepinster et Herve-Battice (0 défaite), et devant Fleurus et Ganshoren (2 défaites) après 5 journées de championnat.