Le Conseil juridique de la fédération a communiqué jeudi à Willebroek qu’après une enquête interne, la situation de l’Américaine de Castors Braine, Céleste Trahan-Davis, était bien régulière le 23 février lors du déplacement des Brainoises en terre anversoise.
Basket Groot Willebroek reste cependant sur sa faim, sur la manière surtout, et pose un certain nombre de questions, pour l’heure sans réponse, a fait savoir la direction du club anversois vendredi.
Il est évident d’une chose: la liste des joueuses autorisées à jouer publiée sur le site de l’AWBB – une liste qui rappelons-le, fait foi – n’était pas à jour. Parce qu’elle a oublié de l’être ? ou parce que la situation de la joueuse concernée n’était pas en ordre ? C’est ce que BGW voulait savoir.
Basket Groot Willebroek reste cependant sur sa faim, sur la manière surtout, et pose un certain nombre de questions, pour l’heure sans réponse, a fait savoir la direction du club anversois vendredi.
Il est évident d’une chose: la liste des joueuses autorisées à jouer publiée sur le site de l’AWBB – une liste qui rappelons-le, fait foi – n’était pas à jour. Parce qu’elle a oublié de l’être ? ou parce que la situation de la joueuse concernée n’était pas en ordre ? C’est ce que BGW voulait savoir.
Un besoin de transparence et de structure
Une enquête interne et les documents produits par Braine et l’AWBB, questionnée à ce sujet, démontrent que la joueuse était bien en ordre. BGW s’étonne que la réaction ne s’est faite que tardivement et que le Conseil juridique n’ait donné son avis que 48 heures avant le début des play-down alors que la plainte de BGW date du 3 mars. C’est par ailleurs avec un communiqué de presse de Basket Groot Willebroek transmis lundi dernier que la chose avait été rendu publique, et il semble que la fédération n’ait réagit que peu avant ce week-end.
Il convient aussi de souligner que plusieurs fois cette saison, cette liste de joueurs/joueuses habilitées à jouer n’était pas à jour alors que les joueurs/joueuses étaient bien en ordre auprès de l’AWBB. Question légitime de BGW, à quoi sert dès lors cette liste qui crée la suspicion à chaque non-mise à jour ?
BGW estime que leur plainte n’a en définitive pas été traitée comme telle et repose la question du fonctionnement de la fédération, avec sa coupole et ses deux ligues, soulignant aussi un manque de transparence.
Tout ceci démontre en tous les cas une fois de plus que la division 1 féminine a réellement besoin d’une attention particulière, de par sa spécificté, d’autant qu’elle tend à prendre de l’ampleur, mais il faut que les structures qui la gèrent suivent le mouvement ou qu’une solution en tous les cas soit trouvée pour assurer une bonne gestion de l’élite et assurer son développement.
Il convient aussi de souligner que plusieurs fois cette saison, cette liste de joueurs/joueuses habilitées à jouer n’était pas à jour alors que les joueurs/joueuses étaient bien en ordre auprès de l’AWBB. Question légitime de BGW, à quoi sert dès lors cette liste qui crée la suspicion à chaque non-mise à jour ?
BGW estime que leur plainte n’a en définitive pas été traitée comme telle et repose la question du fonctionnement de la fédération, avec sa coupole et ses deux ligues, soulignant aussi un manque de transparence.
Tout ceci démontre en tous les cas une fois de plus que la division 1 féminine a réellement besoin d’une attention particulière, de par sa spécificté, d’autant qu’elle tend à prendre de l’ampleur, mais il faut que les structures qui la gèrent suivent le mouvement ou qu’une solution en tous les cas soit trouvée pour assurer une bonne gestion de l’élite et assurer son développement.