"C'est le genre de rendez-vous pour lequel tu travailles toute une carrière et quand tu y parviens, c'est un sentiment très fort. Comme sportif de haut niveau, tu veux toujours aller le plus haut et le plus loin possible." Le décor est planté par Anke De Mondt, 29 ans, 1m80, est au faîte de sa carrière. Sa deuxième saison à Salamanque, en provenance de Burgos, est déjà couronnée de succès, à titre personnel, au niveau du club aussi. Malgré la déception d'une élimination en quarts de finale lors de la Copa de la Reina déjà organisée à Salamanque, la formation galicienne reste en embuscade en Liga derrière l'ogre de Ros Casares Valence. "Le championnat est important aussi, c'est sûr. Nous allons essayer de rester deuxième au classement pour aborder les play-off avec l'avantage du terrain et surtout aussi pour éviter Valence en demi-finale."
Mais toute l'attention de l'ailière anversoise reste braqué, c'est évident, sur le Final Four, "son" Final Four. "Cela va être une fête incroyable. C'est un évènement unique pour la plupart d'entre nous. Les gens sont fous de basket ici. Nous avons travaillé toute une saison pour ça. C'est passionnant. Nous allons essayer de gagner notre demi-finale pour jouer la finale."
Mais toute l'attention de l'ailière anversoise reste braqué, c'est évident, sur le Final Four, "son" Final Four. "Cela va être une fête incroyable. C'est un évènement unique pour la plupart d'entre nous. Les gens sont fous de basket ici. Nous avons travaillé toute une saison pour ça. C'est passionnant. Nous allons essayer de gagner notre demi-finale pour jouer la finale."
Un sentiment extraordinaire
Salamanque a en effet toutes ses chances devant Sopron en demi-finales, même si les Hongroises n'auront strictement rien à perdre face au club organisateur pour leur première accession aussi au Final Four de l'Euroligue. Le vainqueur jouera contre un club russe, le Spartak Moscou ou Ekaterinburg.
"Notre parcours a été incroyable. Je pense que nous avons commencé avec l'étiquette d'outsider et personne ne nous attendait au Final Four. Nous avons pourtant réussi, en équipe, grâce à notre collectif et grâce à la furia espangole ! Notre public nous a porté très loin. Chaque match à domicile se joue devant 3.000 fans complètement fous ! Ils nous poussent toujours à nous dépasser. L'un des meilleurs moments jusqu'ici cette saison, c'est bien sûr le quart de finale face au CSKA Moscou (... d'Ann Wauters). Le troisième match, décisif, a été vraiment incroyable, (ndlr, après 2 prolongations] ", preuve qu'un match n'est jamais joué jusqu'à la dernière seconde. Par deux fois, nous décrochons une prolongation sur un panier à trois points... ça donne des frissons. Bien sûr le match à Pecs était très spécial aussi, ce fut le match où notre rêve de jouer le Final Four devenait réalité. Un sentiement extraordinaire !" Viva !
"Notre parcours a été incroyable. Je pense que nous avons commencé avec l'étiquette d'outsider et personne ne nous attendait au Final Four. Nous avons pourtant réussi, en équipe, grâce à notre collectif et grâce à la furia espangole ! Notre public nous a porté très loin. Chaque match à domicile se joue devant 3.000 fans complètement fous ! Ils nous poussent toujours à nous dépasser. L'un des meilleurs moments jusqu'ici cette saison, c'est bien sûr le quart de finale face au CSKA Moscou (... d'Ann Wauters). Le troisième match, décisif, a été vraiment incroyable, (ndlr, après 2 prolongations] ", preuve qu'un match n'est jamais joué jusqu'à la dernière seconde. Par deux fois, nous décrochons une prolongation sur un panier à trois points... ça donne des frissons. Bien sûr le match à Pecs était très spécial aussi, ce fut le match où notre rêve de jouer le Final Four devenait réalité. Un sentiement extraordinaire !" Viva !