La Belgique a ouvert son championnat du monde par trois victoires 10 à 9 face à la Thaïlande, 14 à 6 face aux Pays-Bas et 19 à 9 face à la Tunisie vendredi à Djakarta, Indonésie. Les filles d'Arvid Diels vont affronter ensuite l'Angleterre (14h20 belges) puis l'Italie à 17h00 belges sur un terrain qui pourrait bénéficier d'un livestream sur le site de l'évènement. Ce seront ensuite les 8es de finale.
"Nous étions pas encore bien dedans le premier match", a expliqué Arvid Diels. "C'est vraiment très différent. Il a fallu s'adapter. Ce fut bien mieux déjà dans les deux matches suivants. Nous avons opéré plus de rotations par exemple. C'est un bon niveau, c'est intéressant. Ce qui est bien, c'est que nous sommes déjà sûr d'être au tour suivant et que nous seront mieux que la 4e place, afin d'éviter les Etats-Unis. Nous croisons en effet une forte poule avec les Américaines, mais aussi la Lituanie que nous connaissons de cet été, la Chine, l'Espagne. Cela se passe bien et c'est très gai."
"Nous étions pas encore bien dedans le premier match", a expliqué Arvid Diels. "C'est vraiment très différent. Il a fallu s'adapter. Ce fut bien mieux déjà dans les deux matches suivants. Nous avons opéré plus de rotations par exemple. C'est un bon niveau, c'est intéressant. Ce qui est bien, c'est que nous sommes déjà sûr d'être au tour suivant et que nous seront mieux que la 4e place, afin d'éviter les Etats-Unis. Nous croisons en effet une forte poule avec les Américaines, mais aussi la Lituanie que nous connaissons de cet été, la Chine, l'Espagne. Cela se passe bien et c'est très gai."
Ce 3x3 U18, c'est une première pour le basket belge. Aline Verelst, Anneleen Debaets, Kyara Linskens et An-Katrien Nauwelaers sont en quelque sort des pionnières. Arvid Diels, le coach malinois, devait puiser dans son noyau des U18 pour composer l'équipe pour l'Indonésie. Il aurait bien voulu prendre aussi des filles de Point Chaud Sprimont comme Julie Allemand et Manon Grzesinki. C'est le club liégeois qui a décliné l'invitation. "Nous avons effectivement que nous étions flattés par l'intéret porté à nos filles", a expliqué Christian Grandry, le team manager liégeois. "Mais il faut être réaliste. Trois campagnes en deux mois pour nos jeunes, c'est suicidaire. Elles ont déjà fait les U18, les jeux de la Francophonie. Faire encore le 3x3, c'est trop. Déjà que les instances nationales nous avaient promis de limiter les campagnes nationales à une seule."
Samedi, la suite de la poule verra les Belges affronter l'Angleterre (12h40) puis l'Italie (14h40). Les 4 premiers de chacun des 4 groupes disputent les 8es de finale (élimination directe). La Fédération internationale avait proposé le 3x3 comme sport olympique pour les jeux Olympiques de Rio de Janeiro pour 2016.
Le carnet de notes de Serge Kovaleni
"C'est une ambiance très particulière," a expliqué Serge Kovaleni, le team manager. "J'ai déjà connu l'Inde, donc je ne suis pas surpris, mais pour les autres, c'est exceptionnel de vivre ça. Tout est vraiment très particulier. Il fait chaud, très chaud. Ils attendent les orages, ou la mousson que sais-je. Nous sommes prêts de la mer, donc c'est encore différent qu'à l'intérieur des terres. Il y a du monde partout, cela grouille. Il faut du temps pour la moindre petite chose. Mais nous sommes très bien logés. Les organisateurs ont promis de tout faire pour que les matches sur le court N.1 soit en livestream. Vous pourrez peut-être nous voir à 17h00 en Belgique, à 22h00 ici, il y a 5 heures de décalage."
Samedi, la suite de la poule verra les Belges affronter l'Angleterre (12h40) puis l'Italie (14h40). Les 4 premiers de chacun des 4 groupes disputent les 8es de finale (élimination directe). La Fédération internationale avait proposé le 3x3 comme sport olympique pour les jeux Olympiques de Rio de Janeiro pour 2016.
Le carnet de notes de Serge Kovaleni
"C'est une ambiance très particulière," a expliqué Serge Kovaleni, le team manager. "J'ai déjà connu l'Inde, donc je ne suis pas surpris, mais pour les autres, c'est exceptionnel de vivre ça. Tout est vraiment très particulier. Il fait chaud, très chaud. Ils attendent les orages, ou la mousson que sais-je. Nous sommes prêts de la mer, donc c'est encore différent qu'à l'intérieur des terres. Il y a du monde partout, cela grouille. Il faut du temps pour la moindre petite chose. Mais nous sommes très bien logés. Les organisateurs ont promis de tout faire pour que les matches sur le court N.1 soit en livestream. Vous pourrez peut-être nous voir à 17h00 en Belgique, à 22h00 ici, il y a 5 heures de décalage."
Tout est particulier
Une aventure exceptionnelle en effet pour les jeunes de Sint-Katelijne-Waver représentant la Belgique au bout du monde. "C'est amusant parfois, et il faut s'adapter. Ainsi le premier jour à l'hôtel, pour manger, il n'y a pas de table. Ce sont des bols dans lequel nous prenons le riz, la viande et les légumes, mais il n'y a pas de quoi réchauffer la nourriture. On les prend et on s'installe soit sur les escaliers, ou on retourne en chambre. C'est très bon, mais nous ne sommes pas habitués. Le deuxième jour, on a eu droit à deux micro-ondes pour réchauffer les plats. Il avait aussi vu que ce n'était pas l'habitude de tout le monde, alors ils ont fait des plats de pâtes. Mais c'est parti.. comme des petits pains et nous n'en avions plus alors que nous n'étions qu'au milieu de la file."