Du très lourd en effet encore à Mithra Castors Braine la saison prochaine qui a annoncé son retour en Euroleague. Avec le retour d’Anete Steinberga, devenue presqu’une icône après ses deux saisons passées au pied de la Butte du Lion et une finale d’Eurocup en 2015. La Lettone n’avait pas dit adieu, juste au-revoir au moment de rejoindre la Russie et Chevakata, quelques mois, puis l’USK Prague avec qui elle est devenue championnat de Tchèquie après une 4e place au Final Four de l'Euroleague.
Anete Steinberga est de retour. Elle ne revient pas seule, de l’équipe finaliste à Charleroi, Marjorie Carpréaux, 29 ans, 1m65, effectue aussi son come-back. Mithra Castors Braine s’en était séparée la saison dernière après trois saisons au pied de la Butte du Lion, voilà la meneuse boraine de retour après une saison écourtée à Declercq Stortbeton Waregem.
A la mène aussi, la formation brainoise sera guidée par une Américaine au passeport arménien, Sarah Haleijan, 24 ans, 1m75, a été formée à Yale, elle dispose en effet depuis jeudi de la nationalité arménienne et jouait en Suisse, à Winterthur cette saison, victorieuse de la Coupe nationale. Chargée de remplacer Julie Allemand partie à Lyon, Sarah Halejian a terminé son cursus en Ecosse à l’Université d’Edinburgh, où elle a joué avec l’équipe auteur du doublé Coupe-Championnat après se revalidation. La jeune meneuse a en effet été victime d’une déchirure des ligaments du genou en décembre 2014 à Yale, où elle a été formée. En Suisse cette saison, à Winterthur (Zürich), 5e du championnat, elle a affiché une moyenne mirobolante de 26,5 points par match pour 6 rebonds et 4,4 assits par match (en 38,6 minutes).
Autre arrivée, l’Américaine Jada Payne, qui évoluait cette saison au Macabi Raanana en Israel. Cette ailière forte, 23 ans, 1m88, vient d'East Carolina. Elle a affiché au cours de ses 12 matches une moyenne de 16,3 pts et 8 rebonds par match en 35 minutes de jeu.
Un retour aussi, celui d’Emmanuella Mayombo, 24 ans, 1m70, qui avait quitté Mithra Castors Braine après le premier titre des Brabançonnes pour rejoindre le rival de Namur et filer ensuite en Allemagne, à Keltern, jouant un bien mauvais tour aux Brainoises en Eurocup. La Liégeoise est ainsi de retour dans la phalange d’Ainars Zvirgzdins.
Exit donc Kahleah Copper, Annie Tarakchian, Maja Miljkovic, Linda Lehtoranta, et Ance Aizsila. Restent donc au bercail, Antonia Delaere, Manon Grzesinski après une année blanche en raison de sa blessure aux ligaments du genou, Merike Anderson, Celeste Trahan-Davis et Nikolina Milic, qui rempilent également, alors que la jeune moncelloise Maxuella Lisowa, 16 ans, complète le noyau de 11 joueuses. "Il n'y aura pas d'autres arrivées", a confirmé Eric Leloup, le manager sportif brainois.
Anete Steinberga est de retour. Elle ne revient pas seule, de l’équipe finaliste à Charleroi, Marjorie Carpréaux, 29 ans, 1m65, effectue aussi son come-back. Mithra Castors Braine s’en était séparée la saison dernière après trois saisons au pied de la Butte du Lion, voilà la meneuse boraine de retour après une saison écourtée à Declercq Stortbeton Waregem.
A la mène aussi, la formation brainoise sera guidée par une Américaine au passeport arménien, Sarah Haleijan, 24 ans, 1m75, a été formée à Yale, elle dispose en effet depuis jeudi de la nationalité arménienne et jouait en Suisse, à Winterthur cette saison, victorieuse de la Coupe nationale. Chargée de remplacer Julie Allemand partie à Lyon, Sarah Halejian a terminé son cursus en Ecosse à l’Université d’Edinburgh, où elle a joué avec l’équipe auteur du doublé Coupe-Championnat après se revalidation. La jeune meneuse a en effet été victime d’une déchirure des ligaments du genou en décembre 2014 à Yale, où elle a été formée. En Suisse cette saison, à Winterthur (Zürich), 5e du championnat, elle a affiché une moyenne mirobolante de 26,5 points par match pour 6 rebonds et 4,4 assits par match (en 38,6 minutes).
Autre arrivée, l’Américaine Jada Payne, qui évoluait cette saison au Macabi Raanana en Israel. Cette ailière forte, 23 ans, 1m88, vient d'East Carolina. Elle a affiché au cours de ses 12 matches une moyenne de 16,3 pts et 8 rebonds par match en 35 minutes de jeu.
Un retour aussi, celui d’Emmanuella Mayombo, 24 ans, 1m70, qui avait quitté Mithra Castors Braine après le premier titre des Brabançonnes pour rejoindre le rival de Namur et filer ensuite en Allemagne, à Keltern, jouant un bien mauvais tour aux Brainoises en Eurocup. La Liégeoise est ainsi de retour dans la phalange d’Ainars Zvirgzdins.
Exit donc Kahleah Copper, Annie Tarakchian, Maja Miljkovic, Linda Lehtoranta, et Ance Aizsila. Restent donc au bercail, Antonia Delaere, Manon Grzesinski après une année blanche en raison de sa blessure aux ligaments du genou, Merike Anderson, Celeste Trahan-Davis et Nikolina Milic, qui rempilent également, alors que la jeune moncelloise Maxuella Lisowa, 16 ans, complète le noyau de 11 joueuses. "Il n'y aura pas d'autres arrivées", a confirmé Eric Leloup, le manager sportif brainois.
Tout ce beau monde va planer sur les compétitions nationales sans nul doute, mais l'objectif n'est pas là pour Mithra Castors Braine et son président Jacques Platieau. "Nous avons décidé de nous inscrire en Euroligue avec la garantie reçue de la FIBA de ne pas devoir passer par les barrages. Nous sommes toujours convaincus que c'est le plus court chemin pour rejoindre les quarts de finale de l'Eurocup, notre objectif". , a expliqué le patron des Brainoises en conférence de presse vendredi.
"De ce que nous avons retenu de notre précédente expérience est que pour y arriver la stabilité est nécessaire, il faut un coach de qualité internationale, c'est une condition sine qua non, il faut de la discipline, une discipline de fer dans et autour de l'équipe, car avec un voyage tous les quinze jours il faut que tout soit bien organisé et je pense que nous avons la structure pour faire face à cette contrainte. Il faut de la détermination et nous jouerons à un seul endroit", a encore ajouté Jacques Platieau.
Où ? la question doit encore trouver réponse, mais la salle André Renauld est peu adaptée et nécessite de toute façon quelques aménagements alors que le Spiroudôme tient plus que jamais la corde, même si d'autres clubs sont venus proposer leurs installations à Castors Braine.
"De ce que nous avons retenu de notre précédente expérience est que pour y arriver la stabilité est nécessaire, il faut un coach de qualité internationale, c'est une condition sine qua non, il faut de la discipline, une discipline de fer dans et autour de l'équipe, car avec un voyage tous les quinze jours il faut que tout soit bien organisé et je pense que nous avons la structure pour faire face à cette contrainte. Il faut de la détermination et nous jouerons à un seul endroit", a encore ajouté Jacques Platieau.
Où ? la question doit encore trouver réponse, mais la salle André Renauld est peu adaptée et nécessite de toute façon quelques aménagements alors que le Spiroudôme tient plus que jamais la corde, même si d'autres clubs sont venus proposer leurs installations à Castors Braine.