Anke De Mondt a décidé de stopper net avec Kangoeroes-Boom. L'ailière anversoise, 35 ans, met un terme à sa collaboration avec KaBo "parce que les accords passés avec la direction n'ont pas été respectés". De retour de Kayseri, en Turquie, il y a un an et demi, Anke De Mondt était retournée à Boom pour y apporter son expérience.
"Ce fut pour moi une décision très difficile à prendre", a expliqué Anke De Mondt, victorieuse de l'Euroligue en 2011 avec Salamanque. "Je me plaît énormément dans l'équipe, la relation avec le coach et les joueuses est super bonne. J'ai toujours considéré mon rôle comme quelqu'un qui peut aider à tirer le groupe vers un plus haut niveau et il était clair que les autres joueuses l'ont apprécié comme tel. Mais j'ai décidé d'arrêter. Les raisons sont que les accords avec la direction du club n'ont pas été respectés, même après avoir eu encore un entretien. Je souhaite vraiment à mon coach et mes coéquipières encore beaucoup de succès pour la suite de la compétition."
Anke De Mondt avait quitté Boom en 2001 pour tenter le pas vers l'étranger, à Villeneuve d'Ascq, Las Palmas, Burgos, Salamanque, puis Wisla Cracovie de 2011 à 2013 avant un détour par la Turquie et Kayserie. Elle avait rejoint KaBo début 2014.
Du côté de Kangoeroes-Boom, l'on se dit surpris par l'annonce. "Nous avons eu des discussions c'est vrai sur la période durant laquelle Anke était blessée", a expliqué le président de KaBo dames, Sven Van Assche. "Elle n'a pas joué du 14 octobre au moment de sa blessure contre Jeugd Gentson et n'est revenue que début janvier hormis le match de Coupe de Belgique contre Waregem. Mais depuis son retour, tout avait repris son cours normal."
Kangoeroes-Boom se déplace dimanche après-midi au CEP Fleurus (16h00) en championnat et s'apprête à disputer les demi-finales de la Coupe de Belgique face à Liège Panthers, le 25 février à Boom et le 4 mars à Liège.
"Ce fut pour moi une décision très difficile à prendre", a expliqué Anke De Mondt, victorieuse de l'Euroligue en 2011 avec Salamanque. "Je me plaît énormément dans l'équipe, la relation avec le coach et les joueuses est super bonne. J'ai toujours considéré mon rôle comme quelqu'un qui peut aider à tirer le groupe vers un plus haut niveau et il était clair que les autres joueuses l'ont apprécié comme tel. Mais j'ai décidé d'arrêter. Les raisons sont que les accords avec la direction du club n'ont pas été respectés, même après avoir eu encore un entretien. Je souhaite vraiment à mon coach et mes coéquipières encore beaucoup de succès pour la suite de la compétition."
Anke De Mondt avait quitté Boom en 2001 pour tenter le pas vers l'étranger, à Villeneuve d'Ascq, Las Palmas, Burgos, Salamanque, puis Wisla Cracovie de 2011 à 2013 avant un détour par la Turquie et Kayserie. Elle avait rejoint KaBo début 2014.
Du côté de Kangoeroes-Boom, l'on se dit surpris par l'annonce. "Nous avons eu des discussions c'est vrai sur la période durant laquelle Anke était blessée", a expliqué le président de KaBo dames, Sven Van Assche. "Elle n'a pas joué du 14 octobre au moment de sa blessure contre Jeugd Gentson et n'est revenue que début janvier hormis le match de Coupe de Belgique contre Waregem. Mais depuis son retour, tout avait repris son cours normal."
Kangoeroes-Boom se déplace dimanche après-midi au CEP Fleurus (16h00) en championnat et s'apprête à disputer les demi-finales de la Coupe de Belgique face à Liège Panthers, le 25 février à Boom et le 4 mars à Liège.